_ Je n’y accordais pas beaucoup d’importance pendant ma jeunesse. En fait, j’ai le souvenir très clair d’un jour où je marchais dans le couloir de mon dortoir à la fac et en me disant, « Cela n’a aucune importance ce que je pense, puisque personne d’autre que moi ne connaît mes pensées ! » Je songeais sans doute à quelque chose que je n’aurais pas voulu voir écrit sur mon front . Quelques années plus tard, j’ai découvert combien les pensées intérieures sont importantes. Il s’agissait de maux de tête. Je n’avais jamais eu de maux de tête avant un matin où j’ai senti une douleur intense. Ma première pensée a été d’essayer de trouver un soulagement en me faisant couler un bain chaud—mon endroit habituel où trouver du réconfort quand j’étais perturbée par quelque chose. Me voilà assise, le visage baigné de larmes, parce que je ne trouvais pas de soulagement.
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_ Est-ce que tu t’es trouvé un jour dans une situation si noire que tu t’as demandé s’il y avait vraiment une issue ? Depuis un moment je réfléchis à l’étoile de Bethléhem. Dans la nuit la plus noire, un rayon de lumière a illuminé l’endroit où était couché l’enfant Christ. Etait-elle l’étoile de Jésus ? Il me semble l’avoir toujours cru. Mais c’étaient les bergers-prophètes et les rois mages qui l’ont vue et suivie. Je crois que l’étoile leur appartenait à eux et qu’elle appartient à chacun d’entre nous. Dans un message de Noël, Mary Baker Eddy—découvreur de la Science Chrétienne—a écrit, « L’étoile qui contemplait tendrement la crèche de notre Seigneur prête à cette heure sa lumière resplendissante ; la lumière de la Vérité qui réconforte l’homme, le guide et le bénit tandis qu’il cherche à atteindre l’idée naissante de la perfection divine se levant sur l’imperfection humaine—lumière qui calme les craintes de l’homme, porte ses fardeaux, le conduit à la Vérité et à l’amour qui tendrement l’affranchissent du péché, de la maladie et de la mort. » (Ecrits Divers, p 320) Lire plus 11/12/2011 2 Commentaires N’oubliez pas le plus essentiel pendant les préparations de vos repas de Fêtes Cela a commencé comme d’habitude—une belle dinde et tout ce qui va avec, la table dressée avec soin, la famille venue de loin se régalant des plats. Puis, pendant le dessert, quelqu’un a fait une réflexion désobligeante. Un autre a reçu un verre d’eau dans la figure. Et soudain une parente alliée avait mis ses mains sur la gorge d’un autre dans une tentative d’étranglement! J’ai hurlé, « Stop ! » et regardé la moitié de nos invités se glisser avec un air coupable dans l’autre pièce pour se mettre à l’abri de ma colère pour le restant de la soirée. Cette nuit j’ai perdu ma voix—j’étais choquée et furieuse –et j’ai mis une semaine avant de la retrouver. Mais grâce à ce dîner j’ai appris certaines choses qui depuis ont changé pour toujours la dynamique familiale. Lire plus _ Le 18 novembre a marqué trente jours consécutifs des posts sur ce blog en anglais. Pour la plupart des blogueurs ce serait normal. Mais pour moi ? Ma période d’écriture la plus réussie de toutes a eu lieu en 1998 quand j’ai écrit sept articles de suite en seulement deux ou trois jours. Par la suite, j’ai posé mon stylo et me suis détendue—écrivant une ou deux fois par an—parce que je considérais qu’une écriture si prolifique constituait une exception. Mais lorsque tout récemment j’ai réalisé combien il y avait de petits poissons affamés qui montaient tous les matins à la surface de l’étang de l’internet à la recherche d’un contenu plein d’espoir et d’inspiration pour les aider à nager chaque jour, je me suis sentie incitée à sauter dans le grand bain du blog, en dépit de mes doutes personnels. J’adore écrire. J’adore explorer une idée à partir d’angles divers, et raconter une histoire mémorable. (J’ai plein d’histoires !) J’adore tout spécialement partager la bonne nouvelle de ce que Dieu est et fait. Tout ce qui peut aider les autres à ressentir la puissance et l’amour de Dieu, tout autour d’eux, me transporte de joie. Lire plus 1/12/2011 0 Commentaires S’accrocher et lâcher prise_ Déménager d’une maison de 186 m2 dans le New Jersey, USA pour emménager dans un appartement de 65 m2 en France n’était pas si compliqué. J’ai laissé à peu près tout derrière moi. Et ce faisant j’ai découvert que tous ces beaux appareils ménagers dont je croyais ne jamais pouvoir me passer, (et dont les prises n’étaient pas adaptées de toutes façons) pouvaient être remplacés par une grosse cuillère et un couteau bien aiguisé. Maintenant, presque sept ans plus tard, je dois m’occuper de toutes ces choses dont à l’évidence je n’ai pas besoin, pendant que je suis en train de vider ma maison avant de la mettre en vente. C’est drôle quand même. Alors que, selon la logique, je n’ai pas besoin de ces choses, je suis face à un débat d’ordre émotionnel du genre, « Mais je les veux ! » Lire plus |
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