19/1/2012 0 Commentaires Prière pour l’équipe locale_ Récemment aux Etats-Unis, les demi-finales du foot américain ont commencé, et une amie sur Facebook a dit que si l’on lui demande si elle prie pour des matchs de foot, elle répond, « Bien sûr que oui ! Je prie pour mon équipe locale ! » Cela m’a fait rire doucement, parce que je venais justement d’avoir des pensées similaires ce matin-là au sujet de mon église—je prie pour « l’équipe locale » des chercheurs spirituels qui y vont. Tous les gens qui sont intéressés par la spiritualité ne sont pas attirés par l’église. Moi, cependant, je suis une fervente pratiquante. En fait, ce qui me pousse à y retourner est une petite règle dans notre église concernant la prière. Dans les églises de la Science Chrétienne les prières doivent être « offertes pour l’assistance collectivement et exclusivement. » (Manuel de l’Eglise p.42 :1) Or, quelqu’un pourrait dire : minute! Pourquoi une règle qui nous ordonne pour qui ou pour quoi prier à l’église? Pourquoi on ne peut pas prier pour soi-même, ou pour notre chien ou chat malade, ou pour des élections harmonieuses au Congo? La réponse a trait à ce que nous faisons le reste de la semaine. Lire plus
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Il y a très longtemps j’ai passé un marché avec moi-même. Avec l’apparition des ordinateurs personnels j’ignorais si j’arriverais à en apprendre l’utilisation. J’avais encore du mal à maîtriser les fonctions de base du magnétoscope. Mais lorsque mon mari, pour me manifester son soutien dans mon travail, m’a offert un ordinateur, j’ai décidé de l’aborder en partant d‘un « besoin de savoir. » C’est-à-dire, j’ai consenti à apprendre ce que j’avais besoin de savoir—comme, par exemple, l’allumer, écrire des documents à l’aide du clavier et les imprimer. Le comment et le pourquoi de l’ordinateur ne m’intéressaient nullement. Mais un jour un problème s’est produit et j’étais dépassée. Avec mes capacités minimes, j’étais totalement incapable de le résoudre, et dans mon entourage, personne ne semblait mieux renseigné que moi. Lire plus 16/1/2012 1 Commentaire Maîtriser l’entêtement Le blog de samedi sur la lumière—laisser entrer la lumière jusqu’au fond de nous pour qu’elle effectue les changements nécessaires au progrès—a bien indiqué que ce n’était pas toujours confortable. Mais c’est salutaire. Je peux en fournir un exemple. Il y a environ trois ans, j’ai endommagé notre voiture flambant neuve. En rentrant chez nous, mon mari s’est rendu compte qu’elle n’entrait pas dans le garage, mais moi je n’en étais pas convaincue. Alors, j’ai attendu qu’il parte au travail pour m’en assurer moi-même. J’étais certaine de pouvoir la faire entrer. Et mes huit ou dix premières tentatives ont réussi. Cependant, ça a été la catastrophe lors de la tentative suivante : j’ai coincé la voiture à un angle d’où il m’était impossible de la dégager. J’ai embouti l’arrière avec pour résultat des dégâts considérables. Lire plus 15/1/2012 5 Commentaires Une légende pour cette photo !
Voici une photo de ma fille en train d’embrasser mon chat. C’est la photo de fond sur mon écran d’ordinateur. En la regardant, je me souviens de l’habitude de ce chat en particulier, qui consistait à rechercher le coin le plus ensoleillé de l’appartement—mon bureau—pour faire la sieste. Il était couché là, absorbant la chaleur, mais avec les yeux fermés serrés et la tête enfouie dans ses pattes. Je riais à chaque fois que je le voyais, parce que ça semblait si contradictoire. Je disais, « Mais tu as CHOISI de te coucher là ! Arrête d’essayer de bloquer la lumière ! » Lire plus La façon dont nous répondons à cette question est importante. Elle peut avoir des conséquences considérables. La parabole de Christ Jésus concernant le fils prodigue (Luc 15 :10-32) fournit un exemple utile de cette leçon même. L’histoire se focalise sur un fils qui croyait pouvoir s’en sortir tout seul dans la vie sans l’aide de personne. Désirant fortement voler de ses propres ailes, il a demandé, reçu et dilapidé son héritage. Il a pris du bon temps, et par la suite, a fait un gâchis complet. Mais…. et c’est un mais important…la Bible nous dit que « il est rentré en lui-même ». C’est une de mes lignes préférées de l’histoire ! Lire plus 9/1/2012 0 Commentaires C’est toujours la saison pour recevoir des anges - de mon invitée Diane Marrapodi, CSB_ J’ai eu beaucoup de plaisir à discuter avec une amie très chère au sujet de la spiritualité et de la Science Chrétienne. Elle est médecin, très intéressée par la spiritualité. Je n’oublierai jamais notre première conversation. Elle a débuté quand nous quittions le parking après nos courses et s’est prolongée trois heures entières alors que nous étions assises dans ma voiture devant chez moi. Je ne dirais pas que nous avons eu beaucoup de conversations sur la spiritualité, mais plutôt une seule conversation continue en beaucoup d’endroits—assises l’une à côté de l’autre sur la plage, par e-mail, ou face à face à table. Nous reprenons là où nous avions terminé, nous partageons les idées et les ressources qui nous inspirent, et nous discutons de la manière dont nous appliquons ces idées dans nos vies de tous les jours. J’adore ! Récemment nous discutions du sujet des anges. Elle a dit qu’elle ne pensait aux anges qu’à la saison de Noël. Des images d’anges remplissent le paysage spécialement en ce moment-là, n’est-ce pas ? Des individus célestes, au doux visage, éthérés, aux vêtements blancs, flottants, avec des ailes, une auréole, et tenant une harpe. En me rendant compte que concernant les anges, nous ne parlions pas de la même chose, je lui ai dit que nous devions nous arrêter un moment pour définir nos termes. Lire plus _ M.S.E.-Pierre a marché sur l’eau, et nous aussi on peut. Chaque jour présente des occasions pour exprimer et témoigner de l’extraordinaire. L’homme, en tant que reflet de Dieu est complètement illimité. Donc, pourquoi restons-nous assis dans nos bateaux—tout noués, tout ratatinés, et avec l’impression d’aller nulle part—alors que nous sommes créés, par le dessein divin, pour marcher sur l’eau ? Cette fois-ci ma résolution est un peu différente par rapport aux autres années. Plus de petitesse de pensées. Bien sûr, j’aimerais manger mieux, bouger plus, laisser tomber des habitudes inutiles qui sont une perte de temps. Mais plutôt que de focaliser sur les petits poissons qui me mordillent les orteils, j’aimerais mieux partir à la chasse au gros poisson de la crainte qui chercherait à me dire que je ne peux pas sortir du bateau et exprimer mon potentiel illimité pour le bien. Et je pense pouvoir le faire en quatre étapes. Lire plus _ Ce blog parle de M.S.E. (Marcher Sur l’Eau) dans la nouvelle année. Carrie (une lectrice du blog en anglais) avait tout à fait raison en écrivant, « Tout ceci est tellement excitant. Cela fait trop longtemps que je suis enfermée dans la limitation. Je veux arrêter de calculer…combien de temps une tâche va me prendre, combien ça va coûter de le faire ou de le faire faire…Ce que tu nous dis, c’est de poser les pieds dans la foi, mais ce qui est nouveau pour moi c’est le sens d’une attente glorieuse…de possibilité .» Cette fois-ci ma résolution est un peu différente par rapport aux autres années. Plus de petitesse de pensées. Bien sûr, j’aimerais manger mieux, bouger plus, laisser tomber des habitudes inutiles qui sont une perte de temps. Mais plutôt que de focaliser sur les petits poissons qui me mordillent les orteils, j’aimerais mieux partir à la chasse au gros poisson de la crainte qui chercherait à me dire que je ne peux pas sortir du bateau et exprimer mon potentiel illimité pour le bien. Et je pense pouvoir le faire en quatre étapes. Lire plus _ Bonjour, 2012 ! Qui prétend que chaque jour doit être une répétition de la « même vieille routine » ? Pourquoi ne pas essayer quelque chose de neuf, vivre quelque chose de grand, chaque jour ? M.S.E. =Marcher sur l’eau. Pierre l’a fait. Il est sorti du bateau. Il consentait à maîtriser la limitation. La crainte aurait pu essayer de le faire couler, mais il a réussi à marcher sur l’eau, avec l’aide d’une main secourable. Cette fois-ci ma résolution est un peu différente par rapport aux autres années. Plus de petitesse de pensées. Bien sûr, j’aimerais manger mieux, bouger plus, laisser tomber des habitudes inutiles qui sont une perte de temps. Mais plutôt que de focaliser sur les petits poissons qui me mordillent les orteils, j’aimerais mieux partir à la chasse au gros poisson de la crainte qui chercherait à me dire que je ne peux pas sortir du bateau et exprimer mon potentiel illimité pour le bien. Et je pense pouvoir le faire en quatre étapes. Lire plus |
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