 J'ai le plaisir de vous annoncer que la semaine prochaine le magazine Psychologie Réussir incluera un article complet sur la Science Chrétienne. Le Comité de publication, le rédacteur en chef du magazine, et moi avons travaillé pendant plusieurs semaines pour produire cette interview. Le magazine devrait être disponible à l'achat dans les kiosques dans toute la France la semaine prochaine.
Par ailleurs, la web TV Baglis TV (http://www.baglis.tv/) a prévu de mettre en ligne lundi (3 mars) une interview au sujet de la Science Chrétienne réalisée avec un journaliste et le Comité de publication.
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 LA CREATION D'ADAM Michel-Ange Le mythe ancien d’Adam et de sa tribu fournit la définition du terme dysfonctionnel. Il relate l’histoire d’un homme façonné de poussière, installé dans un joli jardin où la supposition était qu’il allait y prospérer. Mais était-il heureux ? Non. Il souffrait de solitude et il s’ennuyait. Ce n’est pas qu’il manquait d’activité. Il y avait des fruits à cueillir et à nommer. Mais Adam ne se plaisait pas dans son travail, qu’il ne trouvait pas satisfaisant. Sa solution ? Il a reçu une partenaire. Quel cadeau ! On aurait pu penser qu’ils étaient parfaitement assortis, mais non. Malheureusement elle a reçu un peu de l’attitude d’Adam. Après tout, elle avait été tirée directement de sa côte. Eve était malheureuse dans son jardin entourée de tous ces animaux. Une des créatures a suggéré que ce serait intelligent de manger du fruit d’un arbre interdit. Mauvaise idée. Et Adam, pauvre abruti, a suivi sa femme dans le même piège. Très rapidement le couple s’est trouvé sur la pente descendante. Mécontent, insatisfait, s’ennuyant ferme, désobéissant, et, à présent épuisé… (ai-je mentionné qu’Adam avait été déclassé—de cueilleur de fruits et chargé de nommer les animaux il n’était plus que laboureur des champs ?)…le couple a décidé que c’était le moment parfait d’avoir des enfants. Deux fils sont nés. Et oui, Caïn et Abel étaient deux pommes qui ne sont pas tombées loin de l’arbre. L’insatisfaction a conduit à la jalousie, la jalousie aux luttes intestines. Etant donné leurs racines, il semblerait naturel qu’ils deviennent à leur tour prédateurs et victimes.  CAIN ET ABEL Adrien de Vries Selon l’histoire telle qu’on la raconte, c’était plus fort qu’eux. La tribu d’Adam était née comme ça. C’était la faute du créateur, bien entendu—la faute de ce dieu misérable qui, utilisant de le vapeur et de la terre, a activé un scénario qui était destiné dès le départ à dégénérer en dysfonction. A tout prendre, le mythe d’Adam est une assez bonne explication de ce à quoi ressemble le cauchemar de l’existence mortelle dès lors qu’on raisonne à partir de la fausse prémisse que l’homme est victime des circonstances matérielles et que les dieux, ou Dieu, nous a faits comme cela. Certaines portions de la population prennent littéralement l’histoire d’Adam pour la vérité. Certaines rejettent la généralité de la narration, tout en acceptant comme globalement correcte la logique sur laquelle elle insiste—origines matérielles, comportement dysfonctionnel inévitable. Mais un troisième point de vue a été proposé pour la première fois par un prophète au Ve siècle, réitéré et démontré par Christ Jésus, propagé par les apôtres et les premiers Chrétiens, et plus tard, documenté, prouvé et publié dans les œuvres de Mary Baker Eddy. Ils donnent une vision meilleure, plus précise de la création comme spirituelle, non matérielle, et nous montre le chemin pour sortir de la réaction en chaîne du dysfonctionnement. Un mortel mécontent et discordant n’est pas plus un homme que la discordance n’est la musique. EDDY SCIENCE ET SANTE AVEC LA CLEF DES ECRITURES, 305 Par suite de la fausse idée que l’on se fait de l’âme comme résidant dans les sens et de l’entendement comme résidant dans la matière, la croyance s’égare jusqu’à tomber dans un sens de perte momentanée ou l’absence de l’âme, la vérité spirituelle. Cet état d’erreur est le rêve mortel de la vie et de la substance paraissant exister dans la matière, et il est diamétralement opposé à la réalité immortelle de l’être. Tant que nous croirons que l’âme peut pécher ou que l’Ame immortelle est dans un corps mortel, nous ne pourrons jamais comprendre la Science de l’être. Quand l’humanité comprendra vraiment cette Science, celle-ci deviendra pour l’homme la loi de la Vie, voire la loi supérieure de l’Ame, qui triomphe du sens matériel par l’harmonie et l’immortalité. IBID. 311
La bonne nouvelle concernant le dysfonctionnement, c’est que nous ne sommes pas nés comme cela. Nous ne prenons pas perpétuité. Nous POUVONS faire mieux, en partant d’une vision meilleure, correcte de qui nous sommes et d’où nous venons. En nous approchant de l’interprétation plus large, spirituelle, de l’être, et que nous gagnons une vision plus claire de Dieu et de l’homme, le dysfonctionnement sera—complètement et définitivement—dépouillé. Ceci a fait bouger ta pensée ? Alors partage-le, s’il te plaît !
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Godrey Johns, bien-aimé praticien, professeur et conférencier de la Science Chrétienne a publié un poème basé sur l’histoire vrai d’une petite fille en Afrique du Sud. (« Gentil Serpent », en anglais « Nice Snake », Octobre 23, 1991, Christian Science Monitor) L’enfant était assise sur le porche de sa maison, en train de manger un bol de céréales pour son petit-déjeuner, quand un boa s’est enroulé autour de la chaise et de l’enfant. En toute innocence elle a offert au serpent une cuillerée de ses céréales et lui a dit qu’il était un gentil serpent. Il a mangé, puis patiemment il l’a laissée leur donner à manger, chacun son tour. Soudain, le serpent a plongé sa tête dans le bol. La fillette lui a donné une tape sur la tête en disant, « Vilain, vilain ! Attends ton tour. » Le serpent s’est redressé et a posé son visage contre la joue de la fillette. Puis ils ont continué à tour de rôle à manger les céréales et à siroter le lait jusqu’à vider le bol. Enfin - repu, content, aimé - le boa s’est déroulé, a libéré l’enfant et la chaise, et a poursuivi son chemin. (NB – il y a bien des années, Mr. John m’a donné la permission de partager cette histoire dans mon travail de conférencière, ce que je fais encore de temps à autre.)  L’innocence est forte. Elle porte tout le poids de l’autorité et du bien, de l’affection pure. L’innocence est courageusement courageuse. Elle ouvre les grands yeux sur le réel et le bon. Elle protège de l’agression, réforme l’agresseur, transforme l’ennemi en voisin de table. L’innocence est sans peur et calme. Elle cède au bien, comme le seul, le tout pouvoir. L’enfant dans cette histoire était innocente, mais pas naïve. La naïveté est le contraire de l’innocence. Tandis que l’innocence cède tout empire au bien, et seulement au bien, la naïveté remet le contrôle à n’importe quelle influence qui passe par là—bonne ou mauvaise. L’innocence est stable, la naïveté est instable. L’innocence est alerte et consciente, la naïveté est aveugle. La naïveté est un type d’ignorance du bien présent, alors que l’innocence est une force du bien, jaillissant d’une intelligence naturelle. Le découvreur de la Science Chrétienne, Mary Baker Eddy a écrit, « Honnêteté est pouvoir spirituel. Malhonnêteté est faiblesse humaine et prive du secours divin. » (Science et Santé avec la Clef des Ecritures, 453) Nous pouvons déclarer également que l’innocence est pouvoir spirituel. Naïveté est faiblesse humaine qui prive du secours divin. Comprenant l’empire que l’Amour exerce sur toutes choses, Daniel se sentait en sécurité dans la fosse aux lions, et Paul prouva que la vipère était inoffensive. Toutes les créatures de Dieu, se mouvant dans l’harmonie de la Science, sont inoffensives, utiles, indestructibles. La compréhension de cette sublime vérité était une source de force pour les hommes éclairés de jadis. Cette compréhension soutient la guérison chrétienne, et met celui qui la possède à même de suivre l’exemple de Jésus. « Dieu vit que cela était bon. » (EDDY, Science et Santé, 514).  L’Âme est le Père et la Mère de l’univers. Nous ne sommes jamais séparés des attributs spirituels de l’Âme que notre Créateur reflète en nous. Pas même un instant. La création de l’Âme ne perd jamais sa spiritualité, son autorité sur le mal—son innocence. Innocence est pouvoir spirituel. Elle s’exprime par l’intelligence consciente qui donne une tape sur la tête du serpent et exige que le bien, et seulement le bien, soit représenté en lui. L’innocence est invulnérable parce que celui qui est innocent comprend que le bien, et seulement le bien, est aux commandes. Reprenez possession de votre innocence et de l’innocence de ceux qui vous entourent. Rejetez la naïveté en tant qu’influence sur vous ou sur les enfants du monde. Il n’existe aucune création embryonnaire de l’Âme qui est Dieu. Chacun des enfants de Dieu est mûr, complet, fort et innocent. Le nourrisson s’ébattra sur l’antre de la vipère. Et l’enfant sevré mettra sa main dans la caverne du basilic. Il ne se fera ni tort ni dommage sur ma montagne sainte ; Car la terre sera remplie de la connaissance de l’Eternel. ESAÏE 11 Ceci a fait bouger ta pensée ? Alors partage-le, s’il te plaît !
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Commencez par la béatitude, terminez avec la perfection. Pas mal en cas d’urgence !
 Je dois admettre que j’apprécie beaucoup les Pilates. Non pas que je suis un gros fan d’exercice. Mais si je devais choisir une routine, les Pilates seraient probablement l’un de mes premiers choix. J’aime la douceur (à ne pas confondre avec facilité—je trouve que c’est un vrai challenge) et la cadence des mouvements. Et la concentration. Je suis intriguée aussi par le vocabulaire de Pilates, et surtout par le terme « génératrice », (powerhouse)» que j’ai incorporé dans mon travail pour décrire notre noyau (core) spirituel. D’abord un peu d’histoire. La méthode Pilates comprend six principes-clé : centrage, concentration, contrôle, précision, respiration, et fluidité de mouvement. Joseph Pilates, fondateur de la méthode, enseignait que tous les mouvements du corps humain émanaient du centre ou noyau qu’il appelait la génératrice du corps. La méthode fixe parmi ses objectifs premiers de renforcer la génératrice. Selon Joseph Pilates, la génératrice est musculaire. Mais j’utilise le terme en référence au noyau spirituel, ou aux faits véridiques de l’être divin de l’homme. A mon sens, c’est ce qu’enseignait Christ Jésus quand il a dit, « Le royaume de Dieu est au-dedans de vous. » (voir Luc 17 :20-21) Je crois que, afin d’avoir accès à notre génératrice spirituelle et de l’utiliser, nous devons comprendre ce qu’est le royaume de Dieu et en quoi cela nous est utile. Pour traduire « royaume de Dieu » en termes simples, on pourrait dire que c’est là où siège le divin au-dedans de nous. S’il vous plaît, ne faites pas la confusion : « au-dedans » ne signifie pas « confiné à un corps matériel. » Je parle de la conscience spirituelle – l’essence illimitée, sans restriction de l’être véritable qui est spirituel. Chacun d’entre nous possède cette génératrice—la totalité de Dieu—dont l’expression individuelle est au-dedans de nous.  Nous ne sommes pas la compilation de forces / faiblesses que suggère une vue matérielle de l’homme. Nous n’avons pas non plus à créer ou développer le royaume de Dieu du dedans. Dieu exprime Sa propre divinité, et cette expression se reflète en vous et moi. Le divin est déjà là, qu’on le reconnaisse ou non. Et par la prière nous pouvons gagner l’accès complet à la génératrice divine –le royaume de Dieu au-dedans de nous. Le livre d’étude de la Science Chrétienne, Science et Santé avec la Clef des Ecritures par Mary Baker Eddy, faisant allusion à Dieu comme Principe divin, explique, « Le Principe ne fait qu’un avec son idée, et ce « un » est Dieu, Être omnipotent, omniscient et omniprésent, et Son reflet est l’homme et l’univers. » (p. 465) Il ne faut pas penser que vous reflétez une partie de l’être de Dieu, et que moi j’en reflète une partie, et que nous sommes tous nécessaires pour refléter la totalité de l’être de Dieu. La divinité n’est pas comme un gâteau. Elle n’est pas divisée et servie en une variété de formes et de tailles. Elle n’est pas disponible seulement occasionnellement, ou mise de côté en prévision de quelque chose/quelqu’un/ quelque occasion de spécial, à la manière d’un dessert. Comme reflet entier, individuel de Dieu, CHACUN reflète l’omnipotence divine (TOUT- pouvoir), l’omniscience divine (qui sait TOUT) et l’omniprésence divine (TOUTE-présence) Le royaume de Dieu en tant que TOUT est avec nous, est en nous, tout le temps. La prière qui explore la nature infinie de Dieu et la totalité du potentiel et du pouvoir de l’homme comme reflet de Dieu, nous amène à connaître et à vivre notre génératrice de la divinité. La prière peut rediriger radicalement la vision de la réalité afin d’inclure seulement ce que Dieu, le Bien infini, voit et sait de Sa création. Vous, (et je dis bien VOUS) exprimez la plénitude de Dieu qui est l’Entendement divin. D’une façon individuelle, chacun d’entre nous exprime l’omniscience, l’omnipotence, et l’omniprésence. Le terme individuel ne signifie pas petit. Je veux dire que chacun d’entre nous reflète d’une manière unique, la Toute-intelligence, le Tout-pouvoir, et la Partout-présence de Dieu. Il n’y a là rien de petit. L’entendement humain, pénétré de cette compréhension spirituelle, devient plus souple, est moins prisonnier de lui-même et a besoin de moins de repos. (Science et Santé, p. 128) Alors, est-ce que vous voulez « préserver un sens d’unité, scientifique et positif avec votre divine source » et en voir les effets aujourd’hui ? Mettons-nous au travail sur votre génératrice :  OMNIPOTENCE. Vous êtes fort. Rien ne peut résister au puissant Dieu d’Amour que vous reflétez. La colère, la haine, la malveillance, la maladie, le péché, ni aucune faiblesse n’ont aucun pouvoir d’arrêter, interrompre ou perturber le courant harmonieux de votre vie. Vous reflétez la Vie omnipotente qui est Dieu. Mrs Eddy a écrit, « Attendez-vous patiemment à l’Amour illimité, » (ibid, p.4) Attendez-vous patiemment, à mon sens cela signifie servir patiemment la Vie comme son expression illimitée, entière. « Soyez le reflet de cette Vie, et la pleine puissance de l’être va de pair. » (ibid, p. 4) Et rappelez-vous, vous reflétez le pouvoir entier de l’omnipotence d’une manière individuelle. Science et Santé renforce cette pensée. « Une connaissance de la Science de l’être développe les facultés et les possibilités latentes de l’homme. » (p. 128) A travers votre génératrice - le royaume de l’omnipotence en vous - vous avez un accès sans restrictions au bien divin et à la toute-puissance de Dieu dans votre vie. OMNIPRESENCE Dieu est partout. Puisque vous reflétez l’omniprésence, vous n’êtes jamais en transit vers votre juste place. Vous ne vous dirigez pas vers un meilleur « ailleurs ». La place - que vous l’appeliez foyer, travail, une nouvelle carrière, une occasion neuve - est en vous. Vous êtes toujours présent et en sécurité en Dieu, à l’abri dans l’Amour, actif dans la plénitude du soleil de l’Entendement. Vous êtes toujours là où vous devez être. Tout ce qu’il vous faudra afin d’être heureux et complet, fait partie de vous. Votre expression de l’omniprésence révèle l’idée juste de l’activité et du mouvement-qui est toujours à portée de main. Vous êtes exactement à l’endroit qu’il faut, donc vous êtes toujours à l’heure. Le royaume de l’omniprésence est au-dedans de vous. C’est votre génératrice. Mrs Eddy le formule comme ceci, « Qui vit dans le bien, vit aussi en Dieu,--vit en toute Vie, à travers tout l’espace. » (ibid p.4) OMNISCIENCE Vous êtes le reflet, la manifestation, de l’Entendement omniscient. Comme l’expression unique, qui n’appartient qu’à vous, de l’omniscience de Dieu, vous reflétez en totalité l’intelligence divine. Cela signifie que vous savez exactement ce que vous avez besoin de savoir, à l’endroit juste, à l’heure précise, à tout instant. Puisque l’Entendement ne dépend pas du processus éducatif pour son savoir, vous, comme reflet de l’Entendement, n’en dépendez pas non plus. Vous incluez et exprimez l’Entendement qui voit tout, sait tout, entend tout, l’Entendement qui est Dieu. Dieu est votre Entendement. Vous n’avez pas une intelligence, un ego, ou une capacité créatrice par voie d’un entendement personnel et séparé. Par conséquent vous ne tombez pas sous la propre condamnation, le doute ou la crainte. On ne peut pas vous faire croire que vous êtes ignorant. Par votre génératrice - le royaume d’omniscience en vous - vous acceptez et savez que Dieu, l’Entendement unique et véritable, est la source de votre intelligence. Votre reflet de l’Entendement révèle toujours ce qu’il vous faut savoir. Il n’y a aucune limite à votre intelligence. Science et Santé nous rappelle que comprendre la Science de l’être véritable « élève le penseur à son élément natif de pénétration et de perspicacité. » (p.128) La perspicacité signifie une vision mentale aiguë ou discernement précis. Vous êtes le reflet concentré de l’Entendement omniscient. Rien de ce qui vaut d’être su ou vu ne peut vous être caché. Par votre génératrice d’omniscience, vous êtes réceptif et prêt pour les délices particuliers que votre Entendement reflète en vous. Voici pour votre considération de quoi faire démarrer votre pensée. Comment vos prières vous renseignent-elles sur votre génératrice ? Ceci a fait bouger ta pensée ? Alors partage-le, s’il te plaît !
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Au départ l’idée de Rodin était de symboliser l’Homme en train de contempler « les Portes de l’Enfer. » Combien de fois est-ce que nous nous trouvons en train de repasser les événements de la journée, ou de ruminer à propos de ceux à venir ? Je ne suis pas si sûre que la contemplation de l’enfer apporte le bonheur et le progrès que la plupart d’entre nous recherchons. Quand les soucis semblent prendre le dessus, n’est-ce pas que réfléchir et écouter la direction de Dieu, serait une bien meilleure occupation? Mary Baker Eddy, qui a découvert le système de la prière qui guérit en Science Chrétienne, a fait remarquer que les pensées mal orientées ont tendance à produire l’enfer même que nous voulons éviter. Sous la note marginale « Les pensées sont les choses », elle a écrit, « Si nous recherchons le plaisir dans le corps, nous y trouvons la douleur ; la Vie, nous y trouvons la mort ; la Vérité, nous y trouvons l’erreur; l’Esprit, nous y trouvons son opposé, la matière. Maintenant faites le contraire. Détournez votre attention du corps pour contempler la Vérité et l’Amour, le Principe de tout bonheur, de toute harmonie et de toute immortalité. Fixez fermement votre pensée sur ce qui est permanent, bon et vrai, et vous le ferez entrer dans votre existence dans la mesure où cela occupera vos pensées. » (Science et Santé avec la Clef des Ecritures, 260)  J’ai appris une de mes toutes premières leçons en Science Chrétienne un matin où j’avais très mal. J’étais seule, priant pour être libérée. A l’époque j’apprenais que ce que nous nourrissons en pensée avait tout à voir avec la qualité de notre vie et santé. J’ai fait une rapide évaluation de ce qui se passait dans ma pensée cette semaine-là. J’ai été bien obligée d’admettre que je m’étais permis de nourrir des pensées critiques à l’égard de mon voisin. Je savais que c’était mal. Tout d’un coup les paroles du Psaume 46 me sont venues à l’esprit, « Arrêtez, et sachez que je suis Dieu. » D’abord j’ai été secouée. La réorientation de la pensée semblait surgir de nulle part. Mais ensuite j’ai su que c’était le message de Dieu pour moi. C’était obligé, puisque moi je n’étais pas l’auteur de cette pensée. Elle m’avait été révélée. Et aussitôt la pensée venue, la douleur avec laquelle je me débattais s’est évanouie. Une pensée simple à propos de Dieu – en fait, une simple pensée venant de Dieu – a complètement effacé une semaine entière de pensées critiques et la douleur qui les accompagnait. Certaines personnes se surprennent à prier durant un jogging le matin ou pendant une promenade l’après-midi. Certains prient pour avoir la tranquillité d’esprit avant de s’endormir la nuit. D’autres trouvent que fixer la pensée sur ce qui est permanent, bon et vrai—sur les messages venant du Principe, (autrement dit, de Dieu), du bonheur, de la santé et de l’immortalité—soutient totalement leur journée par la prière. Les pensées comptent, vraiment. Et, à mesure que nous cherchons les pensées envoyées par Dieu, elles guérissent. NOTE : Ma chère amie et consoeur, Kay Olson, est passée au-delà de l’horizon, là où nous ne pouvons plus ni la voir, ni l’entendre. Mais la puissance de sa pénétration qui guérissait et son amour pour nous demeurent pour nous bénir. Ce post fut son dernier. Sa perspective claire de Dieu comme source sans fin de la vie et du bien l’a toujours bénie, et assurément continue à lui ouvrir des expériences et des progrès merveilleux. Je serai enchantée de m’asseoir un jour avec elle, qu’on discute ensemble de toutes les aventures qu’on aura eues depuis notre dernière conversation. En attendant, nous avons beaucoup de joies à vivre chacune dans notre coin respectif de l’univers divin. Kay a fait des contributions inestimables à ce blog ; si vous voulez en prendre connaissance, il vous suffit d’entrer son nom et de cliquer sur RECHERCHER dans la barre en haut de la page. Vous en trouverez encore plus en recherchant www.jsh.christianscience.com un site par abonnement qui ouvre l’accès à beaucoup d’articles publiés par la Société d’Edition de la Science Chrétienne. Je sais combien vous avez aimé les posts de Kay. Sa sagesse, son humour et la richesse de son expérience nous ont tous aidés. Quoi qu’elle puisse fabriquer en ce moment, vous savez que ça doit être bon ! Ceci a fait bouger ta pensée ? Alors partage-le, s’il te plaît !
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