26/7/2012 0 Commentaires Ôte la poutre de ton oeil - un billet dans la série "Actes Radicaux de Jésus" par Kay Olson CSB Une fois, Jésus a dit , » Ne jugez pas selon l’apparence, mais jugez selon la justice ». (Jean 7 :24). Il a dit aussi, « Ôte premièrement la poutre de ton œil, et alors tu verras comment ôter la paille de l’œil de ton frère. » (Matthieu 7 :5) Jésus insistait sur ce que nous voyons et comment nous jugeons les problèmes devant nos yeux, et je crois que cela peut faire une énorme différence quand il s’agit de guérir les malades. Une petite fille s’est fait mal au bras en jouant dans la cour de récréation, et a été renvoyée chez elle. Quand son papa a essayé de soigner la blessure, elle a dit, « Papa, ne vois pas ce que tu vas regarder ! » Cette petite fille allait à l’Ecole du dimanche de la Science Chrétienne, et apprenait que Dieu était Esprit, le seul créateur, et que Son unique création était spirituelle. En tant qu’enfant de Dieu, elle savait intuitivement que la blessure n’avait rien à voir avec son identité vraie et parfaite. En soignant la blessure physique, le papa a vu, ou compris, que l’identité spirituelle, créée par Dieu, n’était pas touchée par le mal, et par conséquent le mal n’avait aucun fondement. Le papa a été touché par la foi et la compréhension de sa fille. Sans aucun doute, cela a influencé sa propre prière, et la guérison a suivi rapidement. Mary Baker Eddy plaçait beaucoup d’importance sur ce que nous regardons quand nous prions pour une guérison. Elle a écrit, « Le sculpteur tourne ses regards du marbre vers son modèle afin de perfectionner sa conception. Nous sommes tous des sculpteurs travaillant à des formes diverses, modelant et ciselant la pensée. Quel modèle l’entendement mortel a-t-il devant lui ? Est-ce l’imperfection, la joie, la peine, la péché, la souffrance ? Avez-vous accepté le modèle mortel ? Le reproduisez-vous ? Alors vous êtes obsédés dans votre travail par des sculptures indignes et des formes hideuses. » (Science et Sante avec la Clef des Ecritures 248) Plus loin elle a utilisé l’exemple de Jésus pour nous indiquer l’issue. Elle a expliqué, « Jésus voyait dans la Science l’homme parfait, qui lui apparaissait là où l’homme mortel pécheur apparaît aux mortels. En cet homme parfait le Sauveur voyait la ressemblance même de Dieu, et cette vue correcte de l’homme guérissait les malades. Ainsi Jésus enseignait que le royaume de Dieu est intact, universel, et que l’homme est pur et saint. » (Ibid. 476) J’ai vu, tant et tant de fois, que l’approche de Jésus à l’égard de la guérison—cherchant et voyant la ressemblance parfaite de Dieu—etait rapide et efficace. Une fois, quand mon fils était ado, une grosseur très laide s’est développée sur l’un de ses doigts. Il a demandé à un médecin de l’examiner et on lui a dit qu’elle était d’un genre inhabituel et serait longue à guérir. Mon fils pensait obtenir des résultats plus rapides grâce à la prière et a résolu d’aborder la situation à partir du point de vue spirituel de la Science Chrétienne. Nous avons prié au sujet de son identité spirituelle comme enfant de Dieu, ni touché, ni vu, ni défiguré par le mal. Peu après, un soir mon fils était en train de taquiner sa sœur. En le faisant il s’est cogné le doigt, qui a commencé à saigner abondamment. Attrapant une serviette pour le nettoyer, j’ai pensé que la scène dont j’étais témoin—la taquinerie, le saignement—ne pouvait absolument pas avoir quoi que ce soit à voir avec l’Esprit, Dieu, ou avec mon fils, Son enfant formé parfaitement et bien élevé. Pendant que je priais, je ne voyais plus ce que je regardais. J’ai fait un pansement à son doigt, me suis assurée qu’il était OK, et puis je suis sortie avec mon mari ; nous avions un dîner programmé de longue date. J’ai continué à prier pour voir seulement ce qui était vrai spirituellement concernant mon fils. Durant le dîner, le téléphone de nos amis a sonné ; c’était notre fils. Il était si impatient de nous dire que l’étrange grosseur s’était simplement détachée et était tombée ! Il était guéri. ___________________________________________________________________________ Kay Olson est practicienne et professeur de la Science chrétienne en Pennsylvanie, USA. Son blog aujourd’hui soutient « Radical Acts » à Time4thinkers.com—un programme pour l’été, en ligne et œcuménique—conçu pour encourager et soutenir la pratique de 18 des enseignements de Jésus, destinés à ses disciples.
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« Depuis le temps de Jean-Baptiste jusqu’à présent, le royaume des cieux est forcé, et ce sont les violents qui s’en emparent. » (Matthieu 11 :12) Ainsi parla Christ Jésus dont la propre expérience a prouvé que la violence insensée ne peut pas arrêter l’avancement du royaume des cieux, le déroulement perpétuel de la bonté de Dieu et de l’amour sur la terre. Chrétienne vivant au vingtième siècle, Mary Baker Eddy a énoncé sa réponse à la mentalité agressive, destructrice, au mal ou à l’erreur qui cherche à trahir l’innocence et à massacrer la vie. Elle a écrit, « Qu’un autre haïsse, moi je veux aimer. Je veux augmenter mon crédit en faveur du bien, mon être véritable. Cela seul me donne les forces de Dieu grâce auxquelles je puis surmonter toute erreur. (Ecrits Divers, p. 104) Au moment où nous entourons des grands bras forts de la prière les victimes à Aurora, Colorado—ainsi que toutes les victimes de massacres, d’attentats suicides, et de conflits violents qui se déroulent partout dans le monde—souvenons-nous de deux choses : D’abord, le royaume des cieux, le règne d’harmonie universelle sur la terre, avance encore et toujours, quelque agressive que soit la résistance. Ensuite, la seule réponse efficace à la haine dans toutes ses formes est l’amour pur. Ne rate pas une seule occasion d’aimer, même une toute petite. Chaque expression individuelle d’amour fait entrer en jeu les forces de l’amour de Dieu et révèle davantage du royaume des cieux sur la terre. Ne passons pas à côté du pouvoir de l’amour d’effacer les effets de la haine et de réconforter ceux qui sont affligés. Pour ceux qui lissent l’anglais : une discussion utile a lieu à Time4thinkers.com sous le blog « Radical Acts of Jesus » « Faire le bien à ceux qui vous haïssent ». Si tu cherches de la nourriture pour tes prières et du soutien à tes actes radicaux de l’amour de Dieu aujourd’hui j’en recommande la lecture. ET : chaque lien dans ce post conduit à un article, un blog, une discussion une chanson, ou un podcast pour t’élever et permettre à ton amour de briller. Tes prières sont si efficaces. Il y a un grand besoin de ton amour. A Time4thinkers.com, l''un des actes radicaux de Jésus sous les projecteurs cet été est l’'exigence de « Défier les Pharisiens. » Justin Belote est l'’un des Acteurs Radicaux qui s'’en préoccupe. J’'ai adoré son point de vue. Il a écrit : « Selon Jésus, un Pharisien est un hypocrite. La loi sans l’esprit. Les paroles et pas les actes. « On connaît tous quelqu'un comme ça. Un patron, un professeur, ou même un ami. Quelqu'un qui semble passer complètement à côté— quelqu'un qui sacrifie la véritable signification afin de vivre selon les seules règles. « Mais pour moi, il ne s’agit pas cet été de défier un patron injuste ou de rectifier le tir avec un ami. Il s’agit de défier le Pharisien du dedans. Est-ce que mes actes ont toujours pour origine la vraie inspiration —l'’unité vraie avec l'’infini ? En tant qu’'artiste, est-ce que je crée à partir de la source la plus vraie, ou à partir d’un niveau superficiel, dénué d’'inspiration ? « Mary Baker Eddy, qui a fondé l'’église de la Science Chrétienne, a dit, « Honnêteté est pouvoir spirituel. » Elle a parlé également de « laisser transparaître la vérité »--être une transparence pour Dieu. Elle croyait même possible de « vivre de façon à maintenir la conscience humaine en relation constante avec le divin, le spirituel, et l’'éternel. » Plutôt que d’être, de temps à autre seulement, à la hauteur de la situation. « Les gens s’attendent à ce que notre relation avec Dieu vacille un peu comme la flamme d’une bougie. Qu’on doive connaître des moments de sécheresse, même des saisons entières de sécheresse. Mais pas Jésus. Pour autant qu'’on puisse savoir, il vivait dans le présent sacré. Chaque moment, un moment de vérité. « Cet été je veux vivre dans ce présent sacré, et prendre des décisions tout autant que créer de l’'art à partir de là. Alors, allez-y et défiez les Pharisiens cet été. Là-bas. Et Là-dedans… » Merveilleux, et dans le mille, à mon avis. Justin fait allusion à une de mes phrases favorites de Mary Baker Eddy. La citation complète est , « Vivre de façon à maintenir la conscience humaine en relation constante avec le divin, le spirituel et l’éternel, c’est individualiser le pouvoir infini ; et c’est cela la Science Chrétienne. » (La Première Eglise du Christ, Scientiste et Miscellanées, Eddy, 160) Pour ce qui est des citations, mes favorites sont celles qui m’ont donné le plus de mal. Et c'est certainement le cas ici. Initialement cet énoncé de Mme ’Eddy me mettait en colère. J’'étais souvent aux prises avec une inspiration en dents de scie et je ne parvenais pas à comprendre comment je pourrais jamais tenir la conscience humaine en relation constante avec la spiritualité sur une période prolongée, sans parler de de faire constamment. Puis 'j’ai eu l'’inspiration d’'inverser l’énoncé, comme une équation mathématique. J’ai raisonné comme suit : la Science Chrétienne implique d'’individualiser le pouvoir infini— c’est-à-dire, de comprendre que Dieu est le seul et infini pouvoir, et que je reflète ce pouvoir en tant qu’image et ressemblance. Le résultat de cette individualisation--ou le fait de voir ma relation avec Dieu et de ne pas laisser mon sens de Dieu ou de mon identité spirituelle rester dans l'’abstraction : je trouvais ma conscience humaine en relation constante avec le divin, le spirituel, et l’éternel. Cela marche, les amis. Et ce n’est même pas si difficile que ça. Voici comment je fais. Je veux être certaine d’'individualiser le pouvoir de chacune de mes pensées claires à propos de Dieu. Avec chaque « fait » ou « vérité » que je connais à propos de Dieu, j’essaie de voir comment cela peut s’appliquer à moi en tant que reflet. C’est simple. Le moyen de « vivre de façon à maintenir la conscience humaine en relation constante avec le divin, le spirituel, l’éternel, c’est individualiser le pouvoir infini ; et c'’est cela la Science Chrétienne. » Individualiser le pouvoir, ne pas m'oublier dans l’'équation de l'inspiration, c’'est ça la clé. Chouette, non ? Si tu aimes ce que tu lis, alors partage avec tes amis !
Pour t’abonner, va en haut de la page, entre ton mail dans la colonne de droite. C’est gratuit, sans pub ni spam. Par moments je me suis demandé Jésus ne songeait pas au mariage quand il a répondu à la question de Pierre, « Seigneur, combien de fois pardonnerai-je à mon frère, lorsqu’il péchera contre moi ? Sera-ce jusqu’à sept fois ? » Jésus a dit, « Je ne te dis pas jusqu’à sept fois, mais jusqu’à soixante-dix fois sept fois. » Je me suis mariée deux fois, à deux hommes charmants. Et le besoin de pardonner semble un thème récurrent. Une telle promiscuité n’est pas facile à vivre dans l’atelier de la croissance spirituelle qu’on appelle le mariage. Il y a toujours quelqu’un qui est là à observer. Depuis les décisions importantes concernant la vie et les relations familiales, aux habitudes et attitudes personnelles, chacun est témoin des progrès de son partenaire comme des leçons qu’il a encore à apprendre. La patience est une aide. Le pardon est essentiel. Un commentaire paru récemment dans l’Acte Radical de Jésus de Pardonner 70 x 7 fois m’a beaucoup aidée. Nancy a écrit : « Quelqu’un m’a dit que l’expression « aucune condamnation » incluait la signification de « rien d’incurable ». Un jour que je priais avec la pensée d’amour et pardon radicaux, il m’est venu à l’esprit qu’il n’y avait rien qui ne puisse être guéri, parce qu’il n’y avait rien qui ne puisse être pardonné. » En toute honnêteté, c’est parfois suffisant. Se rappeler que rien n’est incurable. Nulle habitude, nulle attitude, nul comportement, nulle condition, nulle maladie, nul péché, n’est sans son antidote dans l’amour de Dieu. Je crois que la douleur de la colère, du moins en ce qui me concerne, vient souvent de la frustration de songer que je devrai supporter un problème pour toujours. Qu’il est incurable. Or, je ne suis pas certaine d’où vient la référence que fait Nancy à l’expression « aucune condamnation », mais à mon avis il se pourrait bien qu’il s’agisse de l’Epître aux Romains, 8, où Paul dit, « Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ. En effet, la loi de l’esprit de vie en Jésus-Christ m’a affranchi de la loi du péché et de la mort. » Je pense que le critère établi par Christ Jésus consistant à pardonner 70 x 7 est la clé pour nous libérer des souffrances causées par nous-mêmes ou par autrui. J’ai fait le calcul. Si on déduit 8 heures de sommeil, cela laisse 16 heures dans la journée, et donc pardonner 70 x 7 signifierait pardonner une fois toutes les deux minutes. Et parfois, c’est justement le genre de concentration qu’un mariage exige. Aujourd’hui je fête mon septième anniversaire de mariage, et j’avoue qu’en me réveillant j’étais en colère contre mon mari. Mais le temps d’écrire ce blog, je lui ai pardonné au moins sept fois—une fois toutes les deux minutes—et je me sens déjà mieux. Imagine combien je me sentirai mieux encore à la fin de la journée quand j’aurai pardonné soixante-dix fois sept ! Ce sera une journée digne d’être fêtée ! Le pardon n’est jamais entre deux personnes, de toute façon. En dernière analyse, celui qui pardonne signe un pacte avec lui-même pour relâcher la blessure, la colère, l’angoisse, concernant la capacité de l’autre d’apprendre et de grandir. Ce relâchement donne de la force. Il ne dépend de personne d’autre. Peut-être qu’il/elle a foiré. Ou c’est peut-être toi. Savoir que rien n’est incurable est une aide. L’Esprit de vie que nous connaissons comme étant Dieu nous assure que tout le monde, un jour ou l’autre, connaîtra et exprimera sa vraie nature de fils et filles de Dieu. Personne ne restera à quai. Et s’il faut un peu de pardon toutes les deux minutes le long du chemin spirituel pour nous aider mutuellement à découvrir qui nous sommes vraiment, on peut bienfaire ça pour nous-mêmes et pour ceux que nous aimons, non ? Si tu aimes ce que tu lis, alors partage avec tes amis !
Pour t’abonner, va en haut de la page, entre ton mail dans la colonne de droite. C’est gratuit, sans pub ni spam. La plupart des Chrétiens s’accorderaient pour dire que le Sermon sur la Montagne est l’une des Ecritures qu’ils préfèrent, mais combien d’entre nous pratiquent vraiment ce qu’il prêche ? Pris verset par verset, le Sermon sur la Montagne contient quelques-uns des enseignements les plus strictes (traduis : durs) de Christ Jésus. Par exemple, il dit, « Si quelqu’un veut plaider contre toi, et prendre ta tunique, laisse-lui encore ton manteau. Si quelqu’un te force à faire un mille, fais-en deux avec lui. Donne à celui qui te demande, et ne te détourne pas de celui qui veut emprunter de toi. » Matthieu 5 :40-42. Je pense que Jésus fait une demande assez extraordinaire. Il nous demande de pratiquer un christianisme où nos pertes personnelles peuvent être un gain. Il s’agit d’une charité—un niveau d’amour qui place les besoins des autres au-dessus des nôtres. Donne, aime, partage, pense aux autres. Fais plus que ce qu’ils demandent, donne davantage que ce qu’ils désirent ou ce dont ils pensent avoir besoin. Jésus dit que nous devons faire cela. Que nous devons prendre plaisir à donner aux autres. Nulle justification de soi, nul sentiment d’injustice. Nul MOI MOI MOI dans nos prières, ni dans ce qu’on donne, ni dans ce qu’on fait. Cela te semble difficile ? Il est vrai que le Sermon sur la Montagne place la barre très haut. Ces leçons ne sont pas toujours faciles à entendre. Elles ne sont certainement pas toujours faciles à mettre en pratique. Mais combien est-ce que nous désirons pouvoir guérir ? Être une bénédiction pour les autres ? Une fois un homme a dit à Jésus qu’il avait suivi les dix commandements depuis tout petit, mais qu’il voulait savoir ce qu’il devait faire en plus pour obtenir la vie éternelle. Matthieu relate, « Jésus lui dit : Si tu veux être parfait, va, vends ce que tu possèdes, donne-le aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel. Puis viens, et suis-moi. Après avoir entendu ces paroles, le jeune homme s’en alla tout triste ; car il avait de grands biens. » Matthieu 19 :21-22. Son problème n’était pas qu’il avait trop de biens. Son problème était qu’il avait trop d’amour pour ses biens. Plus d’amour pour ses biens que pour sa propre vie. Penses-y. En relâchant la matérialité il gagnait la vie éternelle. Est-ce que cela n’indiquerait pas en quelque sorte que s’accrocher à la matérialité signifie la mort certaine ? Comme la mort de la liberté, la mort de la joie, la mort du progrès spirituel, la mort d’une vie libre de stress et de fardeaux ? La matérialité—le MOI MOI MOI, A MOI A MOI A MOI—doit s’en aller si nous voulons progresser. Je me rappelle un jour vers mes 18 ans, où j’ai lu dans Science et Santé avec la Clef des Ecritures par Mary Baker Eddy, ‘’Un grand sacrifice de choses matérielles doit précéder cette compréhension spirituelle avancée ». (p. 16 :1) J’ai pensé, « Mais je veux me marier ! Je veux une maison, une belle voiture, une vie agréable! » Puis, j’ai réalisé qu’il s’agissait d’une demande de sacrifice de choses matérielles—ce qui pouvait être détruit, ce qui n’était ni fixe ni permanent. J’ai réalisé que j’aurais toujours dans ma vie tout ce qui exprimait l’abondance de Dieu, ce qui soutenait ma pratique de la prière et de la guérison—ce qui est permanent et spirituel. Je m’en souvenais à chaque fois que j’achetais une voiture, ou une maison, ou même avec chaque mariage. Je me demandais, « Est-ce que c’est seulement encore une chose que je désire ? Ou est-ce que cette maison ou cette relation soutient ma spiritualité , en me donnant des occasions de servir Dieu et d’exprimer le bien ? » Si la réponse à cette deuxième question était affirmative, alors je savais qu’il n’y avait aucun risque de perte . Changement et progrès, oui. Mais perte, non. Le fait est qu’un mari, une femme, une maison, un compte bancaire, les transports peuvent être l’expression de la provision et de la sollicitude de Dieu. Les bras de la prière peuvent enlacer tous les éléments du bien qui soutient le progrès spirituel de nos vies. Mais entasser des choses matérielles pour soi et soi seul constitue une forme mortelle de matérialisme. L’un des défis parmi les « Actes Radicaux » à Time4thinkers.com est : Vends ce que tu as, et donne aux pauvres. Une lectrice qui essaie de mettre en pratique ce défie a écrit, « J’ai réalisé que cela ne suffisait pas de vendre les choses dont je me fichais. Mais je devais vendre ces choses qui pour moi avaient de la valeur. » Merci pour ça, Kate. J’ai pensé à ma cave pleine jusqu’au plafond de cartons contenant les derniers trésors dont je ne voulais pas me séparer après notre déménagement—choses qui ont de la valeur, choses que j’aime. L’inspiration a soufflé en moi comme une fraîche brise d’été. « Laisse-le partir, tout. Donne tout aux autres qui en ont besoin. » Alors je me suis mise à distribuer. Mon objectif cet été est de vider la cave de tout sauf des décorations de Noël. C’est grandiose. Et je me sens très, très bien. Si tu aimes ce que tu lis, alors partage avec tes amis !
Pour t’abonner, va en haut de la page, entre ton mail dans la colonne de droite. C’est gratuit, sans pub ni spam. 18/7/2012 0 Commentaires Ta Majesté Christ Jésus a dit, « Le royaume de Dieu est au-dedans de vous. » (Luc 17 :21) Pour comprendre ce que cela implique en termes de vérité spirituelle et présente, nous devons déplacer notre vision de la réalité. Chacun des enfants de Dieu exprime la plénitude, la majesté de l’unique Entendement divin qui est Dieu. Tout ce qu’inclut l’Entendement, nous l’incluons nous aussi par reflet. Songes-y. Puisque Dieu n’a pas de « dehors », toi en tant que ressemblance de Dieu, tu n’as pas de « dehors. » Tout existe au-dedans, au-dedans de ton être reflété. Alors, quand tu regardes des montagnes énormes et majestueuses, ou la grande étendue d’un océan, n’aie pas l’impression d’être tout petit. Tout grandioses qu’ils puissent paraître, ils ne sont que des suggestions infinitésimales de ta masse et de ta majesté à toi ! Tu les inclus. Tu es plus grand et tu exprimes la domination de Dieu sur eux. Une fois, un homme qui regardait un grand massif montagneux, a dit, « Comme il est beau et étonnant, mon corps. » Encore une fois, songes-y ! Que voyait-il ? Comprenait-il que ce qu’il voyait n’était pas à l’extérieur ou en-dehors de son être infini comme reflet ? Il embrassait la beauté de son intégrité et la majesté de son véritable corps spirituel. Et cependant, même là, ce qu’il voyait de ses yeux ne reflétait que vaguement et de manière infime ses possibilités infinies en tant qu’image et ressemblance de Dieu. D’une façon individuelle, chacun d’entre nous reflète l’omniscience, l’omnipotence et omniprésence. C’était cela le message du 8e Psaume de David. Il a chanté, « Eternel, notre Seigneur ! Que ton nom est magnifique sur toute la terre ! Ta majesté s’élève au-dessus des cieux. Par la bouche des enfants et de ceux qui sont à la mamelle Tu as fondé ta gloire…. « Quand je contemple les cieux, ouvrage de tes mains, La lune et les étoiles que tu as créées : Qu’est-ce que l’homme, pour que tu te souviennes de lui ? Et le fils de l’homme, pour que tu prennes garde à lui ? Tu l’as fait de peu inférieur à Dieu, Et tu l’as couronné de gloire et de magnificence. Tu lui as donné la domination sur les œuvres de tes mains, Tu as tout mis sous ses pieds. » Mary Baker Eddy a résumé sa façon de comprendre le royaume de Dieu au-dedans de nous. Elle a écrit, « ‘Le royaume de Dieu est au-dedans de vous.’ » Sachez donc que vous possédez le pouvoir souverain de penser et d’agir correctement et que rien ne peut vous déposséder de cet héritage et supplanter l’Amour divin…. « Chacun des enfants du Christ reflète l’Unité infinie et par conséquent la déclaration du visionnaire est vraie que ‘un avec Dieu est la majorité.’ » (Pulpit and Press, 3,4, traduction libre) Si tu aimes ce que tu lis, alors partage avec tes amis !
Pour t’abonner, va en haut de la page, entre ton mail dans la colonne de droite. C’est gratuit, sans pub ni spam. 3/7/2012 0 Commentaires Plus qu'un vœu ou qu'un hot dog - un billet par mon invitée Diane Marrapodi CSB dans le cadre du projet "Actes Radicaux" Time4thinkers.com vient de lancer un projet excitant pour l’été, intitulé « Actes Radicaux.» Le projet se concentre sur 18 des enseignements les plus difficiles de Jésus, parmi lesquels DEFIEZ les Pharisiens, FAITES LE BIEN à ceux qui vous haïssent—et bien entendu, Cherchez d’abord le royaume—ne vous inquiétez pas de ce que vous mangez, de ce que vous portez, de ce que vous buvez. C’est ce dernier qui inspire le billet d’aujourd’hui par mon invitée Diane Marrapodi, CSB. Comme il est facile de laisser notre prière se transformer peu à peu en une séance du type je veux/je désire. Mais comme le dit Diane, « Il y a plus qu’un hot dog pour toi dans la prière qui cherche à connaître Dieu comme l’Amour qui t’aime de façon très pratique. Actes Radicaux est œcuménique. Tous sont invités sans distinction d’affiliation religieuse (ou sans affiliation). Les anglophones peuvent cliquer sur n’importe lien de ce post pour aller aux pages de Time4Thinkers.com dédiées à Actes Radicaux pour en apprendre plus sur le projet. Pendant très longtemps nos fils faisaient de la natation toute l’année, ce qui signifiait que nous assistions à des compétitions de natation presque chaque week-end quelque part sur la Côte Est des US. Grâce à cette activité nous avons fait la connaissance de beaucoup de merveilleux nageurs et de leurs parents. Aujourd’hui encore j’ai beaucoup d’affection pour Linda, une maman qui faisait constamment preuve d’un merveilleux sens de l’humour. A mi-compétition elle disait à son super mari, « Bob, j’ai vraiment très envie d’un hot dog. » Et d’un geste royal de la main, elle ajoutait, « Fais qu’il en soit ainsi. » Et Bob, avec un petit rire, se levait toujours des gradins, allait au stand, et revenait avec un hot dog. De temps à autre au cours de la pratique publique de la Science Chrétienne, j’entends de telles demandes. Bien sûr, pas pour des hot dog, mais pour d’autres choses : l’admission à une certaine université ; le désir d’une certaine maison, d’un conjoint, d’un déménagement, d’un emploi--le but de toutes ces choses étant d’obtenir quelque chose qu’on croit essentiel au bonheur. Mais est-ce que la prière la plus efficace consiste vraiment à dire à Dieu ce que nous voulons et puis de Lui demander, d’un geste de la main, de « faire qu’il en soit ainsi » ? Il est vrai n’est-ce pas ? que nous nous rappelons tous, un moment où nous avons prié pour quelque chose de précis et qu’on ne l’a pas reçu. Peut-être qu’un peu plus tard nous avons perçu la sottise de notre demande et la sagesse de ne pas avoir reçu ce qu’on avait demandé. Il se peut fort bien que le meilleur mobile pour le recours à Dieu en prière ne soit pas tant d’acquérir quelque chose qui, à notre avis, nous rendra complets, mais bien plutôt de nous éveiller à notre nature comme Son enfant bien-aimé et à Son plan parfait pour nous. Juste avant la Prière du Seigneur dans l’Evangile selon Matthieu, apparaît cette admonition, avec une promesse : « Quand tu pries, entre dans ta chambre, ferme la porte, et prie ton Père qui est là dans le lieu secret ; et ton Père, qui voit dans le secret, te le rendra….En priant, ne multipliez pas de vaines paroles, comme les païens, qui s’imaginent qu’à force de paroles ils seront exaucés…votre Père sait de quoi vous avez besoin, avant que vous le lui demandiez. « (6 :6-8) Ces versets me rappellent que tandis que je peux toujours prier tout en faisant autre chose—en voiture, au supermarché—la prière consacrée exige plus encore. Nous avons parfois besoin « d’aller à l’écart »--peut-être pas physiquement, mais certainement mentalement-- de mettre complètement de côté les souhaits et désirs et soucis qui réclament notre attention—d’arrêter et de guetter des vues neuves de ce que Dieu fait pour Sa création. Cette prière fervente ne consiste pas tant à demander qu’à écouter et à céder à Dieu qui nous aime et ne veut que notre bien. Dieu est Amour. (1 Jean 4 :8) L’Amour divin t’a fait, te connaît, t’aime, et maintient chacun de tes pas. Peux-tu, dès à présent, t’imaginer l’effet que cela ferait de prier profondément avec ce fait et de le garder à l’avant de ta pensée tout au long de la journée ? Il te réconforterait, éliminerait la crainte, te permettrait de te voir ainsi que les autres comme les enfants de Dieu, et ouvrirait la porte du bien abondant. L’harmonie, le bien-être sont spirituellement naturels et normaux. Le prophète Esaïe a dit, « A celui qui est ferme dans ses sentiments tu assures la paix, la paix, parce qu’il se confie en toi. » (26 :3) Le livre par Mary Baker Eddy, Science et Santé avec la Clef des Ecritures, commence avec un bref chapitre de 17 pages intitulé « La Prière ». Il débute avec cet énoncé puissant : « La prière qui réforme les pêcheurs et guérit les malades est une foi absolue dans le fait que tout est possible à Dieu—une compréhension spirituelle de Dieu, un amour détaché de soi-même. » (1) Plus loin elle écrit, « Détournez votre attention du corps pour contempler la Vérité et l’Amour, le Principe de tout bonheur, de toute harmonie, et de toute immortalité. Fixez fermement votre pensée sur ce qui est permanent, bon et vrai, et vous le ferez entrer dans votre existence dans la mesure où cela occupe vos pensées. » (261) Dans une prière de foi absolue en ce qui est possible à Dieu et qui prend sa source dans une compréhension de Dieu comme Amour, il ne s’agit pas de faire un vœu et de te demander ce que tu vas obtenir. Il s’agit de devenir conscient et de reconnaître que l’Amour toujours présent t’aime, et que la volonté de l’Amour est le bien divin pour toi et pour chacun de Ses enfants. Y aura-t-il des résultats ? Fais-moi confiance sur ce point. Il y a bien plus qu’un hot dog pour toi dans ce genre de prière. Diane Marrapodi CSB est practicienne, professeur et blogueuse de la Science Chrétienne. Tu trouveras ce post ainsi que d’autres merveilleux billets sur son blog à DianeMarrapodi.com. Merci, Diane, de nous aider à pratiquer l’acte radical de chercher le royaume. Si tu aimes ce que tu lis, alors partage avec tes amis !
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Droits d'Auteur 2011-2024. Tous les droits sont réservés. Michelle Boccanfuso Nanouche, CSB. Mentions Légales. (Pages mises à jour le 5 novembre, 2024)
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