_ Je viens de passer en voiture devant l’appartement, où, toute jeune mariée, j’ai installé mon premier arbre de Noël et où notre fille est née. Que de souvenirs heureux. Puis la voiture semblait se diriger toute seule devant la maison où nous avons fêté le premier Noël du bébé. Cette maison était la première que nous avions jamais cherché à d’acheter. Finalement, l’affaire n’a pu se conclure, et, pendant que j’étais assise dans ma voiture, en face, en train d’admirer leurs décorations de Noël, je me rappelais combien ça m’avait fait mal au cœur de perdre cette maison. Des souvenirs pas tellement heureux. _ Pour certains, rentrer à la maison pour les Fêtes fait revivre les meilleurs souvenirs. Pour d’autres, rentrer remue des regrets, en raison d’expériences depuis longtemps oubliées qui refont surface. Quelques-uns évitent totalement de rentrer. Beaucoup doivent faire preuve de courage pour le voyage. Mais il existe un moyen de rentrer qui peut être une guérison, un progrès, et grâce auquel tu te trouveras mieux par la suite. Dans une autobiographie qui relate sa vie et son voyage spirituel, y compris des souvenirs heureux et aussi, ceux difficiles de sa propre enfance et de ses mariages, Mary Baker Eddy a décrit l’histoire matérielle humaine : « Nos années disparaissent comme un souffle » et « comme l’ombre du soir. » (Rétrospection et Introspection, p.21) Le problème est que nous pourrions nous trouver en train de pourchasser ces ombres, ou bien de les fuir, à moins de prendre à coeur les leçons spirituelles apprises de nos expériences personnelles, et de choisir de vivre dans la lumière et la plénitude du bien présent de Dieu. _ Eddy a expliqué, « Selon le dessein céleste, les ombres terrestres servent à purifier les affections, à réprouver la conscience humaine et à la détourner joyeusement d’un faux sens matériel de vie et de bonheur, pour la tourner vers la joie spirituelle et vers l’appréciation véritable de l’être. » Mais naturellement la question se présente, comment abandonner un faux sens et réclamer pour nous-mêmes la joie spirituelle et une appréciation véritable de nos vies ? Voici une courte liste d’idées qui peuvent aider. Ces points sont tirés des pages 21-22 de l’autobiographie d’Eddy.
Retourner à la maison n’est pas toujours chose facile, mais cela peut guérir, dans la mesure où nous sommes réceptifs aux leçons spirituelles de l’amour divin qui nous attendent. Eddy a écrit, elle qui comprenait les difficultés, « Le réveil hors d’un faux sens des vie, de substance et d’entendement dans la matière, est encore imparfaite ; mais pour ces claires et ineffaçables leçons de l’Amour, qui tendent à ce résultat, je bénis Dieu .» (ibid.) Toute expérience peut être un point de démarrage pour aimer davantage, pour renouveler notre amour, pour faire de nouveau l’expérience de l’amour de Dieu. Comme l’a dit Jean, « La crainte n’est pas dans l’amour, mais l’amour parfait bannit la crainte. » (1 Jean 4 : 18) Laisse l’amour de Dieu te conduire à la maison ce Noël et prendre soin de toi pendant ton séjour. Vous pouvez visiter: PAGE D'ACCUEIL DU SITE-WEB LA PAGE DES BLOGS MES AUTRES DOCUMENTS PUBLIES READ THIS BLOG POST IN ENGLISH
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31/3/2014 1 Commentaire Un Noël éternelA mon avis ma maison n’avait jamais été si belle. La paix était descendue. Tout était calme. Tous étaient au lit, bien au chaud . Entourée de bougies parfumées, près de cheminée où crépitait un bon feu, je me suis pelotonnée dans un grand fauteuil devant le sapin, et je me régalais du tableau. J’étais reconnaissante de la paix et du calme, mais je ne me sentais ni à l’aise ni tranquille. Loin de là. On m’avait demandé de prier pour un enfant malade chez qui on avait diagnostiqué une infection grave à la colonne vertébrale. Je cherchais depuis le début de la soirée, mais je n’avais pas encore ressenti la douce assurance qui vient lorsque l’on sait que tout est bien. Noël avec toutes les préparations avaient toujours signifié énormément pour moi. J’adorais créer un Noël de conte de fées plein de magie et douceur, et réjouissant pour les yeux et les oreilles. Mais alors que je priais, je sentais que mes priorités étaient en train de se modifier. Seule devant le sapin, je considérais la signification plus profonde de Noël. Les accessoires matériels de la saison des fêtes ont commencé à disparaître du centre de mon attention, dès que je me suis rappelé quelque chose que Mary Baker Eddy avait écrit au sujet de la vraie signification de Noël. « Un Noël éternel ferait de la matière une étrangère, sauf en tant que phénomène, et la matière se retirerait avec révérence devant l’Entendement. Le despotisme du sens matériel, c’est-à-dire la chair, fuirait devant une telle réalité, pour faire place à la substance, et l’ombre de la frivolité ainsi que l’inexactitude du sens matériel disparaîtraient. En Science Chrétienne, Noël représente le réel, l’absolu et l’éternel—les choses de l’Esprit, non de la matière. » Bien qu’entourée par toute la beauté matérielle que l’on pouvait désirer, j’ai réalisé qu’une seule chose pouvait commémorer d’une manière juste et convenable ce Noël-là —que cet enfant soit rapidement et complètement guéri. Je voulais abandonner complètement un sens matériel de Noël afin de faire place au Christ guérisseur. Je ne marchandais pas avec Dieu. Je cédais à quelque chose de hautement essentiel à la guérison Chrétienne—un amour dégagé de soi qui accepte de sacrifier le matériel et temporaire, pour faire place à ce qui est spirituel et permanent. Désormais ma prière était devenue très focalisée. Je voyais l’Amour divin comme le créateur de cet enfant et que l’Amour n’avait pas ajouté—ne voulait, ni ne pouvait ajouter—un élément matériel destructible à Sa création parfaite. Ma prière est allée au-delà des mots jusqu’à me faire ressentir véritablement la présence de cet amour tout-puissant m’entourant dans mon salon. Ce n’était pas dans les choses autour de moi ; mais cette présence sacrée, complètement spirituelle, m’a assurée que tout était bien. L’enfant était guéri. De l’état de paralysie totale un soir, il est passé à celui d’un enfant qui grimpait sur le toit pour aider son père à poser des lumières de Noël le soir suivant. Mme. Eddy expliquait, « A des époques différentes, l’idée divine revêt des formes différentes, selon les besoins de l’humanité. A notre époque, elle revêt, avec plus d’intelligence que jamais auparavant, la forme de la guérison chrétienne. C’est là le petit enfant que nous devons chérir. C’est là le petit enfant qui entoure affectueusement de ses bras le cou de l’omnipotence et fait appel à la sollicitude infinie de son cœur aimant.» (Ecrits Divers, p. 370) Ce post a été publié pour la première fois le 24 décembre 2011 sur ce site. Je suppose que j’ai envie de fêter Noël. J’ai toujours envie d’une guérison rapide et complète de quelqu’un qui souffre. Quoi qu’il en soit, mon cœur me dit de mettre ce poste sous les projecteurs aujourd’hui. Ceci a fait bouger ta pensée ? Alors partage-le, s’il te plaît !
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Cependant, cette quatrième strophe fut publiée dans l’Hymnaire Anglais (1906), Chants de Louange (1925) et Le Livre de Cantiques d’Oxford (1928), et certaines parties continuent à figurer encore aujourd’hui dans l’Hymnaire de la Science Chrétienne, où des parties des deuxième et quatrième strophes sont unies pour n’en former qu’un. Les astres luisent doucement Au fond du firmament Louez Dieu notre Roi première partie originale de la 2e strophe Paix, bonne volonté ! Si la charité veille, Si la foi veut le ciel, A nos yeux point le jour réel, De nouveau, c’est Noël ! deuxième partie originale de la 4e strophe (Cantique 222) Pendant que la controverse à propos de la quatrième strophe se focalisait sur les questions de la naissance de Jésus et le débat doctrinal concernant l’Immaculée Conception, le bébé fut presque jeté avec l’eau du bain, pour ainsi dire, quand le verset fut retiré de tous les hymnaires sauf celui de la Science Chrétienne. Quelle perte, si la référence au pouvoir de la charité et de la foi avaient été éliminée . La charité et la foi ouvrent grande la porte au glorieux Christ de Dieu, qui, à son tour, change de sombres paysages mentaux en inspiration et lumière spirituelles, et fait entrer l’idée nouveau-né de Dieu dans nos coeurs encore et encore. J’aime beaucoup le concept de charité. Souvent utilisée comme synonyme d’amour dans les références aux Ecritures, la charité est en réalité l’amour humain avec en plus un petit quelque chose de divin. La charité implique qu’on aime quand l’amour est difficile, refusé, que l’autre y résiste, ou lorsqu’on n’en a simplement pas envie. La charité est l’amour qui force le passage au-delà de la crainte, le doute, l’égoïsme, la réticence—pour laisser briller le Christ jusqu’à ce que le besoin trouve sa réponse. Pour moi, les paroles, « Si la charité veille » dans le cantique de Phillips pourraient être reformulées ainsi « Quand nous sommes prêts pour l’amour et n’acceptons pas un seul NON chargé de limites comme réponse. » Ma reformulation n’est pas jolie, mais elle explique mon idée. La charité est un don qui apporte autant au donneur qu’à celui qui reçoit, bien que pour être vraiment charitable, l’offrande d’amour ne soit jamais intéressée. La charité est l’amour. L’amour véritable. L’amour humainement exprimé. La charité nous incite à toucher les intouchables, parce qu’elle n’accepte personne comme étant intouchable. Il y a longtemps j’avais une conférence programmée à Vero Beach, Floride. Le dimanche matin avant la conférence, j’ai assisté au service dans une église proche. Au moment où nous nous levions pour chanter, un sans-abri et entré dans l’auditorium où il y avait peu de monde. En examinant les lieux, il m’a repérée, assise seule, et est venu sans un instant d’hésitation s’asseoir à côté de moi. C’était à l’évidence sa première visite à cette église. Je l’ai aidé avec l’hymnaire et lui ai montré comment suivre l’ordre du service. Au bout de quelques minutes seulement, il est devenu très agité. Il sentait fortement l’alcool et semblait être aux prises avec ce qui ressemblait à des symptômes de manque. J’ai tendu le bras et lui ai pris la main. Il est devenu très calme tout en s’accrochant à la mienne. Durant le reste de l’heure il a à peine bougé. Je lui ai tenu la main durant tout le service. A la fin, il s’est tourné vers moi et m’a remerciée, m’a dit qu’il m’aimait, et s’est dirigé vers le hall, où des membres l’ont salué. Rencontrer cet homme fut un cadeau. Si tu penses que c’était moi qui étais charitable, je dois dire que tu te trompes. Ce n’était pas énorme pour moi de tendre la main et toucher cet homme. Mais pour lui ! Il a brisé la résistance au fait d’assister à un service religieux dans une église qu’il n’avait jamais visitée auparavant—la résistance au fait de laisser à l’extérieur sa bouteille et son caddie plein de ses affaires personnelles, pour entrer, bien que n’ayant pas pris un bain, et qu’il ignorait tout de la réception qu’il pouvait recevoir. Cet homme est entré dans l’église et m’a fait le don de sa présence. Il m’aimait et m’a donné l’occasion de l’aimer en retour. Son expression de la charité—entrant dans l’église en passant la porte de la foi, et dépassant toute résistance pour partager le service avec moi—a changé pour toujours la façon dont je conçois l’amour du prochain. Si la charité veille Si la foi veut le ciel, A nos yeux point le jour réel De nouveau c’est Noël ! Ceci a fait bouger ta pensée ? Alors partage-le, s’il te plaît !
Pour t’abonner, va en haut de la page, entre ton mail dans la colonne de droite. C’est gratuit, sans pub ni spam. Vous pouvez visiter, aussi: PAGE D'ACCUEIL DU SITE-WEB MES AUTRES DOCUMENTS PUBLIES VOTRE DAILY LIFT - DES PODCASTS DE DEUX MINUTES PAR MICHELLE _ Quand nos enfants étaient petits, notre tradition était : prendre le petit-déjeuner, ouvrir les cadeaux, jouer un temps avec les jouets. C’était un moment heureux, animé et bruyant avec cinq enfants ! Puis nous nous entassions dans le break et nous rendions chez Grand’mère et Grand Père pour le déjeuner et encore des cadeaux. Un certain Noël , nous étions tous assis autour de la table du déjeuner, et Grand’mère a demandé si quelqu’un voulait bien dire la bénédicité (grace en anglais). Matthieu, cinq ans—en général un garçon très calme—s’est proposé pour la prière. « Merci, Dieu, pour tous les cadeaux qu’on a reçus, et pour tous ceux qu’on va recevoir. » Lire plus _ Gloire au jour qui se lève Sur les monts et les grèves Eveillant de ses rêves Le monde où l’aube a lui ! Son éclat pur efface L’erreur la plus tenace O Vérité, tu chasses L’obscurité des nuits. (Hymnaire de la Science Chrétienne, #22) A l’approche de Noël, j'ai trouvé intéressant le fait de célébrer Noël en décembre, bien que les spécialistes de la Bible soient généralement d’accord pour situer la naissance de Jésus au printemps. Ceux d’entre nous vivant dans l’Hémisphère Nord traversent les jours les plus sombres, cependant, dans les traditions Chrétienne, Juive, et Gnostique, nous commémorons et célébrons la présence de la lumière. Lire plus _ A mon avis ma maison n’avait jamais été si belle. La paix était descendue. Tout était calme. Tous étaient au lit, bien au chaud . Entourée de bougies parfumées, près de cheminée où crépitait un bon feu, je me suis pelotonnée dans un grand fauteuil devant le sapin, et je me régalais du tableau. J’étais reconnaissante de la paix et du calme, mais je ne me sentais ni à l’aise ni tranquille. Loin de là. On m’avait demandé de prier pour un enfant malade chez qui on avait diagnostiqué une infection grave à la colonne vertébrale. Je cherchais depuis le début de la soirée, mais je n’avais pas encore ressenti la douce assurance qui vient lorsque l’on sait que tout est bien. Lire plus 24/12/2011 4 Commentaires Chant des anges : Dieu avec nous ! –un blog par mon invitée Kay Olson, CSB_ Notre fille, Susan, avait décidé de nous rendre visite et de nous aider avec des travaux dans la maison. C’était merveilleux. Ce qu’il y avait de plus touchant, c’était d’installer le sapin ! On l’a décoré avec des tas de lumières. Depuis le 11 septembre nous décorions seulement avec des lumières, car nous trouvions que c’était un rappel à prier pour ceux dont la vie avait été changée ce jour-là. Cependant, quand je suis tombée sur une boîte de vieilles décorations, nous nous sommes beaucoup amusées à les regarder et à nous rappeler les Noël passés. On a senti que le moment était venu de les ajouter aux lumières, alors cette année on l’a fait. Lire plus 23/12/2011 1 Commentaire Joie sur la terre_ Pendant des années, notre grande famille proche se réunissait chez moi vers la mi-décembre pour un repas de fête. De cette façon chaque couple pouvait fêter Thanksgiving et Noël avec leurs enfants et les familles alliées chez eux, tout en nous offrant l’occasion de passer une journée spéciale ensemble. La première année où j’ai reçu à dîner, j’ai préparé beaucoup trop à manger. Le lendemain, j’ai spontanément appelé quelques amis et les ai invités à venir nous aider à terminer les restes. J’ai suggéré qu’avant le repas, nous pouvions sortir dans la rue chanter Noël. La plupart des invités ont accepté avec enthousiasme. Mais un couple a demandé s’il pouvait venir au repas seulement, sans aller chanter. Sachant que notre quartier était habité en majorité par des Juifs, ils avaient peur de les offenser avec les cantiques. Lire plus _ Lumières, cadeaux, spectacles. Cuisine, organisation, décoration, courses. Invitations à des soirées. Listes à suivre. Comment prendre soin de soi quand les activités festives atteignent un tel paroxysme ? L’Apôtre Paul recommande la prière. Il a dit que, en priant, «.. la paix de Dieu, qui passe toute intelligence, gardera vos cœurs et vos pensées en Jésus-Christ. » (Philippiens 4 :7) Mais est-ce que la prière la plus efficace consiste à seulement implorer un répit dans la course frénétique ? J’ai prié de cette façon à l’occasion, mais n’en ai jamais été réellement satisfaite. La prière qui repose et rafraîchit vraiment implique que l’on affirme, et qu’on en vienne à ressentir la toute-puissance et toute-présence de l’Amour divin, l’Entendement omniscient, l’Esprit qui répond à tout besoin. Et cela peut faire une énorme différence. Lire plus 18/12/2011 0 Commentaires Tu cherches le bon cadeau ?_ Il suffit de rappeler le phénomène des Pokémon en 2000, la folie des hamsters en 2010, ou cette année celle des Barbapapa, pour voir que parents et enfants sont souvent emportés par la pression de la tendance marketing à l’approche de Noël. Il n’y a rien de tel que de chercher à la dernière minute un cadeau pour lequel il y a une grosse demande , mais qui n’est disponible qu’en quantité limitée. La crainte de décevoir un enfant, ou même un adulte, peut nous rendre vulnérables à la tentation d’avoir recours à des tactiques peu recommandables pour parvenir à nos fins. |
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