8/10/2013 0 Commentaires La théologie simple qui guéritLa Science Chrétienne est caractérisée par une belle simplicité claire, pure et spirituelle. La théologie toute entière peut se résumer en quelques points de base : 1) Dieu existe. 2) Dieu est bon. 3) Dieu est tout. 4) L’univers, y compris l’homme, est le reflet de Dieu. 5) Il n’y a pas de mal. Mary Baker Eddy, la Découvreuse de la Science Chrétienne, a expliqué que son travail consistait en deux parties : 1) La découverte de cette Science—ces cinq points de base 2) La preuve par la démonstration présente que ceci est le Principe par lequel Jésus guérissait. On ne peut avoir la découverte sans la preuve. Mrs. Eddy a découvert l’action de l’Entendement sur les esprits et les corps mortels. Mais les modes de pensée mortels et limités ont creusé un sillon dans la conscience collective humaine, explorant, diagnostiquant, et disséquant la matière comme à la fois cause et effet. Donc nous nous laissons aller à penser que les problèmes sont matériels donc compliqués à guérir. Pour Christ Jésus, la théologie et la médecine étaient une seule et même chose. La théologie de Jésus est simple et limpide. Dieu est tout, le Bien. Le mal n’est rien, irréel. Ce que nous affrontons dans chaque cas est un défi à la théologie simple du Christ. Pouvons-nous compter sur le fait que Dieu est bon ? Pouvons-nous le prouver ? L’homme est-il vraiment le reflet—l’image et la ressemblance de Dieu ? Pouvons-nous le démontrer ? Chaque cas aborde une question théologique. La tâche du Chrétien qui guérit est simplement de répondre à la question et d’observer l’apparition de la preuve. Le travail devrait toujours être aussi simple. Mais il n’est pas sans opposition. Ce que Mrs. Eddy nommait l’esprit mortel—le raisonnement limité basé sur la matière qui génère le doute et la crainte—chercherait à faire paraître la tâche de la guérison compliquée, peu claire, et difficile. La crainte et le doute nous poussent à en faire trop ou pas assez dans l’activité de la prière qui guérit ; ils nous incitent à douter de notre expérience avec le Christ, à changer de méthode de manière répétée, et finalement à permettre au problème de conduire le cas. J’ai reçu un appel d’un père dont l’enfant avait sauté d’un arbre, et s’était fait mal à la jambe. Elle semblait cassée. On m’a demandé de prier pour lui tandis que la famille s’occupait des considérations pratiques. Quand j’ai raccroché, j’ai pensée immédiatement, Eh bien, Dieu, qu’avez-vous à dire à ce sujet ? Science et Santé avec la Clef des Ecritures était ouvert sur mon bureau. Mes yeux sont tombés sur une déclaration de Jésus qu’on trouve en page 45 : « Un esprit n’a ni chair ni os, comme vous voyez que j’ai. » En levant les yeux, j’ai pensé, Ne sois pas dupée par le tableau de chair et d’os. Ce n’est pas vraiment cet enfant. Sa substance est Esprit. Tout ce qu’il est et possède provient de l’Esprit qui est Dieu. Cela semblait une réponse si simple à la question théologique, Ce garçon est-il l’image et la ressemblance de Dieu ? Pendant que je considérais en prière les implications—qu’il était en fait spirituel et que tout ce qui avait trait à la chair et aux os, en bien ou en mal, ne le touchait pas—un doute s’est manifesté. Je voulais être certaine de recevoir correctement le message. Je me suis demandé, Mais est-ce que Jésus ne parlait pas de lui-même ? Puis j’ai tourné la page et j’ai lu, « L’Esprit divin, qui permit d’identifier ainsi Jésus il y a des siècles, a parlé par la Parole inspirée et parlera par elle dans tous les âges et dans tous les pays. Il est révélé au cœur réceptif, et on le voit de nouveau chassant les maux et guérissant les malades. » (46) J’ai pensé, OK, alors l’Esprit connaît cet enfant de la même manière qu’il connaissait Jésus—comme parfait, spirituel, intact, entier, invulnérable, non déchu. Le même Esprit énonçant la vérité par les paroles de Jésus à ses disciples communiquait avec moi par la Parole inspirée de Science et Santé à cette époque-ci. Mon cœur réceptif acceptait le message. Puis est arrivée une crainte. Est-ce que ça peut être si facile ? Et la fracture ? Est-ce que je ne dois pas m’en occuper dans ma prière ? J’ai regardé une fois de plus le livre et lu la phrase suivante comme si elle était énoncée avec force, « Le Maître disait clairement que le physique n’est pas Esprit… » Je me suis rappelée l’ordre de Jésus dans le Sermon sur la Montagne, et j’y pensais en relation à la prière, « Que votre parole soit oui, oui, non, non ; ce qu’on y ajoute vient du malin. » (Matthieu 5 :37) Je devais dire Oui, Oui à la claire et simple réalité de l’être intact et spirituel. Et je devais dire un Non, Non direct et clair à la croyance physique que l’enfant était matériel et cassable. C’était tout. J’y ai consenti, et dit OUI, OUI. En fait, j’étais si prise par ce à quoi je disais OUI que j’ai entièrement oublié le cas et j’ai continué ma lecture. Environ trente minutes plus tard, le téléphone a sonné. C’était la mère. Elle m’a raconté que deux minutes après m’avoir appelée, elle tenait son fils dans ses bras et priait pour savoir ce qu’il fallait faire ensuite. Ils avaient discuté de la possibilité d’appeler une ambulance ou de l’emmener à l’hôpital. Puis ils ont entendu un bruit distinct venant de sa jambe « comme le bruit d’une fermeture éclair. » Et il a été guéri simplement, comme ça. La pure simple théologie du Christ est révélée. Et elle guérit. Ceci a fait bouger ta pensée ? Alors partage-le, s’il te plaît !
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Un jour, en vacances sur la côte de l’Etat de Caroline du Nord (USA), des membres de ma famille se disputaient sans arrêt. Le soleil et les jeux de plage nous avaient plutôt épuisés et énervés. Mon mari et ma fille ne cessaient de se chamailler. Ma patience avec eux deux avait atteint ses limites. A un certain point, en ayant eu assez, je les ai informés que nous allions assister au service de témoignage du mercredi soir à l’église filiale de la Science Chrétienne. Il n’était pas question de refuser. C’était la première fois que mon mari se rendait à un service du mercredi, et une grande première pour ma fille de huit ans : elle quittait la salle des enfants pour s’installer dans l’auditorium parmi les grands. Le lecteur a lu la Parole inspirée de la Bible et des passages correlatifs pris dans Science et Santé avec la Clef des Ecritures- l’exposé complet de la Science Chrétienne par son découvreur, Mary Baker Eddy- et à mesure que nous écoutions, un changement s’est opéré en nous tous. Ma fille, jusqu’alors agitée, s’est calmée. Les rides de mécontentement sur le front de mon mari –signe de mauvaise humeur, de fatigue et de résistance au fait de se trouver à l’église-se sont estompées. Quant à moi, j’ai commencé à me sentir plus paisible et détendue. Nous avons écouté les lectures, chanté des cantiques, nous avons prié les uns pour les autres, et à travers les témoignages personnels des assistants, nous avons entendu des exemples de la loi d’harmonie de Dieu en action dans leurs vies. Il y a eu des récits d’objets perdus retrouvés de manière stupéfiante, des guérisons physiques par la prière, des difficultés financières surmontées. Cela n’a duré qu’une heure. Mais en quittant l’église, mon mari a dit, « Merci. Je me sens mieux. » Et la suite du voyage s’est avérée parmi les plus heureuses qu’on ait jamais faites. Fréquemment on me demande, « Qu’est-ce que c’est que la Science Chrétienne ? » Comme toute personne activement engagée dans la pratique de la Science Chrétienne, j’ai plusieurs réponses sous la main. Par exemple, il se pourrait que je la décrive comme le système scientifique de guérison divine basé sur les enseignements de Christ Jésus. Mais il y a une autre définition plus simple qu’on trouve dans Science et Santé. C’est « la loi naturelle de l’harmonie qui triomphe de la discordance. » Comme c’est simple et direct ! La référence complète se trouve en page 134 : « Il peut être prouvé que le vrai Logos est la Science Chrétienne, la loi naturelle de l’harmonie qui triomphe de la discordance, non que cette Science soit surnaturelle ou supranaturelle, ni qu’elle soit une infraction à la loi divine, mais parce qu’elle est la loi immuable de Dieu, le bien. » La Science Chrétienne est la loi naturelle de l’harmonie qui triomphe de la discordance. En me remémorant cette réunion du mercredi durant nos vacances d’été, je n’y trouve rien de surnaturel ni même d’exceptionnel. Elle était assez typique de beaucoup de ces réunions auxquelles j’ai assisté au fil des ans. Mais le service nous a fourni une occasion simple, directe pour nous engager avec l’immuable- inchangé à travers les âges, inaltérable, sans âge—la loi de Dieu, le bien : la Science Chrétienne. S’engager, même pour une heure seulement, avec la loi naturelle de l’harmonie, peut dissiper les nuages maussades de la discordance. Cela a marché pour nous. Ceci a fait bouger ta pensée ? Alors partage-le, s’il te plaît !
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