20/3/2012 2 Commentaires Cancer—guéri Le mercredi un peu partout dans le monde des gens se rassemblent dans des églises ou par groupes afin de partager ce qu’ils ont vu et comment ils ont vécu le pouvoir de guérison de Dieu, de la Vérité. On entend des choses assez étonnantes au cours des réunions de témoignage dans une église de Science Chrétienne. Ce partage est si spécial, non pas en raison de celui qui parle ni même de la manière dont on raconte l’histoire. L’on ressent le pouvoir et la présence et l’amour de Dieu, par le Christ, qui guérit. Dans le Manuel de l’Eglise, Mary Baker Eddy a écrit, « Il est plus qu’une simple répétition de bienfaits, il s’élève jusqu’au sommet de la louange et illustre la démonstration du Christ, « qui guérit toutes tes maladies » (Psaume 103 :3). » Voici mon témoignage. En 2001 j’ai manifesté des symptômes d’un cancer du sein. Ma mère avait subi l’ablation d’un sein quelques années plus tôt. Ma tante avait subi une mammectomie double, mais elle est décédée de la maladie. J’avais une petite fille. Je n’avais nulle intention de partir, et je ne voulais pas qu’elle devienne victime de la maladie. Alors quand j’ai commencé à montrer des symptômes, mon sentiment était que je n’avais pas le choix : je devais mettre un terme à cette épidémie de crainte et de maladie dans la famille.
2 Commentaires
Pourquoi désires-tu prier aujourd’hui ? Tu t’es posé la question ? Qu’est-ce qui te motive aujourd’hui pour parler avec Dieu ? Ceci n’est pas une question insignifiante. Ce n’est pas non plus une question piège. Afin de trouver ta prière mojo—c’est-à-dire, afin de ressentir la confiance et une réelle connexion dans tes prières—un examen honnête de ce qui te motive peut faire la différence. Si tu ignores où tu te situes, comment pourras-tu jamais arriver là où tu veux aller, là où tu as besoin d’aller ? L’honnêteté en prière et la candeur dans nos mobiles peuvent faire la différence entre rester à la surface de la prière et avoir une vraie conversation avec Dieu qui engage le cœur. Alors, fais une pause. Demande-toi, » Pourquoi est-ce je veux prier aujourd’hui ? (Vas-y. Fais-le avant de poursuivre ta lecture. J’attends). Lire plus Si tu te sens faible, fatigué, ou triste quand tu contemples ta vie, il se peut que tu entretiennes un sens trop réduit de toi-même comme reflet de l’Entendement, Dieu. Dieu prend plaisir à te montrer la plénitude de Son royaume. Mary Baker Eddy a écrit, « Le royaume de Dieu est au-dedans de vous. Sachez donc que vous possédez le pouvoir souverain de penser et d’agir correctement et que rien ne peut vous déposséder de cet héritage et empiéter sur l’Amour divin. » Les enfants de Dieu, nous tous, reflètent l’Entendement omniscient qui est Dieu. Nous reflétons la plénitude de l’Entendement. Ceci signifie que nous pouvons savoir exactement ce que nous avons besoin de savoir au bon endroit, au bon moment, tout le temps. Chacun de nous possède la capacité intégrée de refléter et d’exprimer l’Entendement qui est Dieu, et qui voit tout, sait tout, et entend tout. Cependant, si nous croyons posséder un entendement, intelligence ou égo à part, il se peut que nous vivions dans les limites étroites de l’ignorance, du doute et de la crainte. Ce n’est pas que nous ne pouvons pas voir ; c’est que nos yeux se ferment à ce qu’il y a à voir. Jérémie a dit, « Ainsi parle l’Eternel: Que le sage ne se glorifie pas de sa sagesse…Mais que celui qui veut se glorifier se glorifie d’avoir l’intelligence et de me connaître, de savoir que je suis l’Eternel, qui exerce la bonté, le droit et la justice sur la terre ; car c’est à cela que je prends plaisir, dit l’Eternel.» (9 : 23, 24) L’identification régulière, consistante avec l’Entendement divin par la prière conduit à une meilleure compréhension de nous-même comme reflet illimité de l’Entendement. La compréhension spirituelle nous dépouille des limites que nous nous imposons et montre qu’en réalité la bonté que nous pouvons voir et exprimer ne connaît aucune restriction. La première fois que j’ai visité l’Allemagne avec ma mère, celle-ci avait comme objectif de trouver la maison habitée par un ancêtre. La maison remontait à 1650. Munies d’un livre contenant une photo prise au début des années 1900, mais sans adresse précise, nous nous attendions à devoir nous livrer à pas mal de recherches. Nous sommes arrivées au village en fin d’après-midi. On a décidé d’emprunter une petite rue juste pour humer l’ambiance, mais sans savoir où chercher la maison. On a montré la photo aux habitants assis sur leurs vérandas, mais personne n’a reconnu la maison. Comme beaucoup de villages allemands, celui-ci avait été rasé durant la guerre de ’40, et ce qui n’avait pas été bombardé avait été détruit car menaçant ruine. Par conséquent la plupart des constructions était plus récente. Les maisons anciennes étaient peu nombreuses. On nous a dit que la maison avait probablement disparue. Le soir tombait, et il était temps pour nous de reprendre la route pour trouver notre hébergement pour la nuit. Notre itinéraire ne prévoyait pas le temps pour retourner au village le lendemain et continuer la recherche. Alors, avant de remonter en voiture, on a décidé de pousser un peu plus loin et de profiter de la lumière du crépuscule pour faire quelques photos. Je voyais que maman était déçue. Bien que la généalogie ne présente pas d’intérêt pour moi, cela faisait des années que ma mère faisait des recherches sur sa famille. Retracer les pas des membres de sa famille revêtait une signification spéciale pour elle. Tout en la précédant de quelques pas, je me suis mise à prier, et un verset des Psaumes m’est venu à l’esprit : « Tu me feras connaître le sentier de la vie ; il y a d’abondantes joies devant ta face, des délices éternelles à ta droite. » (16 :11) Il m’est venu à l’idée que l’Entendement, Dieu, prend plaisir à nous ouvrir les yeux au bien, et que nous ne pouvons être privés du plaisir de l’Entendement. Le plaisir de la découverte du bien fait tout à fait normalement partie du chemin de la vie. Avant cette prière j’avais l’impression que chercher la maison revenait à chercher une aiguille dans une meule de foin. Après cette prière j’ai cessé complètement de chercher la maison. J’ai commencé à prendre plaisir à contempler la belle journée, le joli village, et à passer du temps avec ma mère. Puis, en tournant à l’angle d’une rue, j’ai vu une maison peinte d’un bleu invraisemblable. La combinaison de la couleur fluo et la lumière rasante du soleil déclinant la faisait rayonner comme un néon. En outre la ligne inhabituelle du toit a attiré mon attention. En dépit de rénovations importantes, qui la privait de ses éléments particuliers d’origine, j’étais sûre qu’il s’agissait de la maison que maman espérait trouver. Le propriétaire a confirmé, vieilles photos à l’appui, que, en effet, nous avions trouvé la bonne maison. C’était une des plus anciennes du village, remontait à la deuxième moitié du XVIe siècle, Mais d’après son allure, elle aurait pu avoir été construite moins de 20 ans plus tôt. Parce que l’Entendement sait tout et que nous reflétons tout ce savoir, notre divin Entendement prend plaisir à nous conduire tous et chacun pour voir ou vivre quelque chose de spécial, juste à l’angle de la rue. Juste parce que pour Dieu chacun est si spécial. Juste parce que nous sommes tant aimés. Ne te coupe pas aujourd’hui des bienfaits qui proviennent d’être le plein reflet de l’Entendement. En abordant ta journée, rappelle-toi que rien de ce qui vaut la peine de savoir ou de voir ne peut t’être caché aujourd’hui. Identifie-toi avec ton Entendement omniprésent ; avec Dieu qui révèle son royaume merveilleux. Sois ouvert et prêt pour les plaisirs particuliers que ton entendement est impatient de te montrer ! Pour t’abonner, va en haut de la page, entre ton mail dans la colonne de droite. C’est gratuit, sans pub ni spam.
5/3/2012 3 Commentaires Je sais à quoi tu penses Nous étions en voiture, ma fille de 12 ans et moi. Elle venait de me dire que je ne contrôlais pas sa vie et qu’elle pouvait faire exactement ce qu’elle voulait quand j’avais le dos tourné. J’ai répondu, « N’oublie pas, Betsy, que ta maman sait ce que penses au moment où tu le penses. » Elle a répliqué, «Nunh unhh. » Cela c’est le code ado pour «C’est même pas vrai. » Alors j’ai dit, « En ce moment même tu es en train de penser, « Ma mère est la pire des mères de la terre entière. » Elle a eu l’air stupéfait et s’est rencognée dans son siège. J’ai eu toutes les peines du monde à garder mon sérieux. Est-ce que tu savais que les chênes avaient un système racinaire dont l’étendue dépasse souvent celle des branches ? Les racines sont conçues pour nourrir et stabiliser l’arbre, tandis que les branches renvoient l’eau et les nutriments vers les racines. Le système racinaire du chêne commence avec la racine pivot, à partir de laquelle des racines plus petites s’étendent au-delà de l’envergure des éléments de l’arbre qui se trouvent hors sol. Durant l’hiver, quand les parties visibles sont dormantes, les racines continuent de fonctionner et de croître même si l’air ambiant est d’un froid extrême. Cette activité constante, persistante au niveau des racines fortifie l’arbre et le prépare pour la croissance rapide du printemps. L’activité hivernale des racines consolide les arbres, leur donnant de quoi résister durant la sécheresse et la chaleur de l’été et de l’automne. Lire plus Cette chatte a décidément une préférence pour mon mari. L’autre matin je donnais des instructions importantes à mon cher époux (Lire : je le tyrannisais). Cela ne semblait pas le déranger. Mais soudain la chatte s’est levée, est venue vers moi, mis son visage tout contre le mien—nez à nez—et avec un regard furieux dans ses yeux grands ouverts, elle a lâché un seul bref « Miiiaou ! » Puis elle est retournée dans son coin, s’est roulée en boule et s’est mis à contempler mon mari avec un regard plein d’admiration et d’adoration. J’ai dit, « Tu as vu ça ? » Il a dit, « Ouais. Elle vient de te dire de la fermer. » La Bible contient aussi quelques passages propres à arrêter les conversations. Ils sont conçus pour nous faire cesser de geindre, de faire des histoires, de râler, d’écumer de rage, de souffrir, de pécher, et pour mettre un terme à la maladie et à la mort. Lire plus L’hôte a accueilli ses visiteurs en disant, « J’ai désiré vivement manger la Pâque avec vous. » Malgré le fait qu’ils étaient contents d’être invités à dîner, il y avait une certaine tension dans l’air. Tous la ressentaient. Ils s’étaient un peu disputés* entre eux en venant dîner. Ils sont arrivés à l’heure, mais quelque chose ne tournait pas rond—quelque chose était encore dans l’air. La courtoisie coutumière voulait qu’en arrivant, les invités se lavent les pieds les uns des autres pour enlever la poussière de la route. Cette fois-ci personne n’a esquissé un geste dans ce sens. Alors l’hôte a avancé, le prenant sur lui. Il a versé d’l’eau dans une bassine et il a lavé les pieds de chaque invité, l’un après l’autre, et ensuite il les a essuyés avec un linge. (Voir Luc 22 New International Version) Lire plus |
BIENVENUE!
|
INFORMATION |
SERVICES |
9 rue, d'Edimbourg, 75008 PARIS - 01.43.87.03.17 - 06.82.67.03.17 - [email protected]
Droits d'Auteur 2011-2024. Tous les droits sont réservés. Michelle Boccanfuso Nanouche, CSB (Pages mises à jour le 28 octobre, 2024)
Droits d'Auteur 2011-2024. Tous les droits sont réservés. Michelle Boccanfuso Nanouche, CSB (Pages mises à jour le 28 octobre, 2024)