25/12/2013 0 Commentaires De nouveau c'est Noël![]() Une étude du célèbre cantique par Phillips Brooks « O Bethléhem dans l’ombre » révèle un petit secret. A l’origine il y avait dans le manuscrit du cantique une quatrième strophe rarement utilisée dans les hymnaires. Certains éléments doctrinaux dans la strophe d’origine ont provoqué des critiques, ce qui a poussé Brooks à les retirer complètement du cantique. Cependant, cette quatrième strophe fut publiée dans l’Hymnaire Anglais (1906), Chants de Louange (1925) et Le Livre de Cantiques d’Oxford (1928), et certaines parties continuent à figurer encore aujourd’hui dans l’Hymnaire de la Science Chrétienne, où des parties des deuxième et quatrième strophes sont unies pour n’en former qu’un. Les astres luisent doucement Au fond du firmament Louez Dieu notre Roi première partie originale de la 2e strophe Paix, bonne volonté ! Si la charité veille, Si la foi veut le ciel, A nos yeux point le jour réel, De nouveau, c’est Noël ! deuxième partie originale de la 4e strophe (Cantique 222) Pendant que la controverse à propos de la quatrième strophe se focalisait sur les questions de la naissance de Jésus et le débat doctrinal concernant l’Immaculée Conception, le bébé fut presque jeté avec l’eau du bain, pour ainsi dire, quand le verset fut retiré de tous les hymnaires sauf celui de la Science Chrétienne. Quelle perte, si la référence au pouvoir de la charité et de la foi avaient été éliminée . La charité et la foi ouvrent grande la porte au glorieux Christ de Dieu, qui, à son tour, change de sombres paysages mentaux en inspiration et lumière spirituelles, et fait entrer l’idée nouveau-né de Dieu dans nos coeurs encore et encore. J’aime beaucoup le concept de charité. Souvent utilisée comme synonyme d’amour dans les références aux Ecritures, la charité est en réalité l’amour humain avec en plus un petit quelque chose de divin. La charité implique qu’on aime quand l’amour est difficile, refusé, que l’autre y résiste, ou lorsqu’on n’en a simplement pas envie. La charité est l’amour qui force le passage au-delà de la crainte, le doute, l’égoïsme, la réticence—pour laisser briller le Christ jusqu’à ce que le besoin trouve sa réponse. Pour moi, les paroles, « Si la charité veille » dans le cantique de Phillips pourraient être reformulées ainsi « Quand nous sommes prêts pour l’amour et n’acceptons pas un seul NON chargé de limites comme réponse. » Ma reformulation n’est pas jolie, mais elle explique mon idée. La charité est un don qui apporte autant au donneur qu’à celui qui reçoit, bien que pour être vraiment charitable, l’offrande d’amour ne soit jamais intéressée. La charité est l’amour. L’amour véritable. L’amour humainement exprimé. La charité nous incite à toucher les intouchables, parce qu’elle n’accepte personne comme étant intouchable. Il y a longtemps j’avais une conférence programmée à Vero Beach, Floride. Le dimanche matin avant la conférence, j’ai assisté au service dans une église proche. Au moment où nous nous levions pour chanter, un sans-abri et entré dans l’auditorium où il y avait peu de monde. En examinant les lieux, il m’a repérée, assise seule, et est venu sans un instant d’hésitation s’asseoir à côté de moi. C’était à l’évidence sa première visite à cette église. Je l’ai aidé avec l’hymnaire et lui ai montré comment suivre l’ordre du service. Au bout de quelques minutes seulement, il est devenu très agité. Il sentait fortement l’alcool et semblait être aux prises avec ce qui ressemblait à des symptômes de manque. J’ai tendu le bras et lui ai pris la main. Il est devenu très calme tout en s’accrochant à la mienne. Durant le reste de l’heure il a à peine bougé. Je lui ai tenu la main durant tout le service. A la fin, il s’est tourné vers moi et m’a remerciée, m’a dit qu’il m’aimait, et s’est dirigé vers le hall, où des membres l’ont salué. Rencontrer cet homme fut un cadeau. Si tu penses que c’était moi qui étais charitable, je dois dire que tu te trompes. Ce n’était pas énorme pour moi de tendre la main et toucher cet homme. Mais pour lui ! Il a brisé la résistance au fait d’assister à un service religieux dans une église qu’il n’avait jamais visitée auparavant—la résistance au fait de laisser à l’extérieur sa bouteille et son caddie plein de ses affaires personnelles, pour entrer, bien que n’ayant pas pris un bain, et qu’il ignorait tout de la réception qu’il pouvait recevoir. Cet homme est entré dans l’église et m’a fait le don de sa présence. Il m’aimait et m’a donné l’occasion de l’aimer en retour. Son expression de la charité—entrant dans l’église en passant la porte de la foi, et dépassant toute résistance pour partager le service avec moi—a changé pour toujours la façon dont je conçois l’amour du prochain. Si la charité veille Si la foi veut le ciel, A nos yeux point le jour réel De nouveau c’est Noël ! Ceci a fait bouger ta pensée ? Alors partage-le, s’il te plaît !
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20/12/2013 0 Commentaires Tout là-haut, comme l'aigle![]() Si un serpent arrivait à s’infiltrer dans un nid d’aigle et à s’enrouler autour des pattes du puissant oiseau, que devrait faire l’aigle? S’il baisse les yeux pour regarder le serpent et se bat, il risque d’être mordu. Mais s’il prend son envol et se lève loin au-dessus de son nid, finalement le serpent lâchera prise et tombera sous son propre poids. Voici le message de Dieu aux enfants d’Israël, qui explique ce même processus : « Vous avez vu ce que j’ai fait à l’Egypte, et comment je vous ai portés sur les ailes d’aigle et amenés vers moi. » Exode 19 :4 Quand tu es dans le doute, ou empêtré dans un problème, il peut être utile de penser à l’aigle, qui nous indique la voie pour sortir du danger par le haut. Nous aussi, nous pouvons prendre notre essor mental et spirituel et, en prière, monter très haut. Lorsque nous laissons l’Amour puissant révéler son tout-pouvoir, le gouvernement parfait, spirituel de l’Entendement nous entoure et nous sentons le courant montant. Nous nous élevons dans les hauteurs. En réalité, nous sommes façonnés solidement, toujours capables de surmonter le mal, et de prendre notre essor. …ils prennent le vol comme les aigles. Le serpent du mal ne tiendra pas à tout jamais. Et il ne peut pas voler. L’air pur de l’altitude spirituelle d’un Entendement—et de l’attitude de l’Amour divin—coupe le souffle du mal jusqu’à ce qu’il suffoque et lâche prise. Souviens-toi de l’aigle, et vole. "Que l’Eternel, son Dieu, soit avec lui, et qu’il monte !" II Chroniques 36 :23. ![]() Quelle grand-mère ne se réjouirait pas à la perspective de s’occuper de son petit-fils qui vient de naître ? Quand ma fille m’a demandé de l’aider avec son nouveau-né j’étais une grand-mère ravie ! J’avais des visions où je tiendrais le tout petit dans mes bras dans une chaise à bascule, chantant des berceuses, le mettant sur mon épaule en lui tapotant le dos. Il n’y avait qu’un couac dans ce scénario idyllique. En arrivant chez ma fille, j’ai été accueillie par un très grand chien noir. Et, comme je devais bientôt le découvrir, c’était un chien très malade. Nous nous sommes enlacées ma fille et moi, et elle m’a présentée à Eli, un adorable petit garçon tout potelé. Et à son chien, Pneuma, un chien maigre et pas si adorable. Très vite j’ai eu beaucoup d’occasions de bercer Eli, assise dans la chaise à bascule, de lui tapoter le dos, et de le changer. Je m’amusais !...mais il y avait ce chien. Puisque ma fille et mon gendre suivaient des cours à l’université durant la journée, il me revenait de m’occuper du bébé et du chien en leur absence. Le chien, Pneuma, refusait de s’alimenter. J’ai découvert aussi, qu’il avait tendance à vomir par terre de temps à autre. Je ne m’étais pas attendue à devoir nettoyer après le chien. Alors je me contentais de couvrir les endroits où il avait vomi avec de l’essuie-tout en attendant que mon gendre s’en occupe en rentrant. Pour obtenir que le chien mange, j’ai tenté de mettre un peu de sucreries dans son pâté. Peut-être qu’un peu de goût sucré le tenterait ? Pas vraiment. Il tournait le dos à son bol. Puis je me suis réveillée. J’ai réalisé que le problème n’était pas chez le chien ; c’était chez moi. Au lieu d’aimer le chien, j’éprouvais de la rancune à son égard. J’avais essayé de le tromper, recourant à la ruse pour le faire manger. Egoïstement j’avais laissé la corvée du nettoyage à mon gendre. Et dans mes prières j’omettais cet animal chéri. Une fois que j’avais reconnu cette terrible négligence, j’ai fait le vœu de l’inclure dans mon étude spirituelle quotidienne et dans mes prières, et j’ai commencé à changer d’attitude. En berçant le bébé, je caressais Pneuma sur la tête et ma compassion pour lui s’est accrue. Je remplissais son bol avec ses aliments préférés, qu’il les mange ou non. Et j’ai nettoyé après lui, au plus grand soulagement de mon gendre. En ouvrant mon livre-guide spirituel, Science et Santé avec la Clef des Ecritures, par Mary Baker Eddy, je me suis rappelé que dans ses pages il était question du terme biblique Vent. J’ai découvert que le mot grec pour Vent (pneuma)…est défini en partie, comme ce qui indique « les mouvements du gouvernement spirituel de Dieu, embrassant toutes choses. » (597) ![]() C’était une belle journée ensoleillée, avec une bonne brise, alors j’ai attrapé une couverture, Pneuma, et le bébé, et je suis sortie m’installer sous un arbre. Je désirais sentir la douceur de la brise et méditer sur la signification spirituelle de vent (pneuma). J’ai pensé, le gouvernement de Dieu est certainement harmonieux, ordonné, et juste. Il est perpétuel et ininterrompu. Il embrasse chacun de nous, nous gouverne tous. J’ai pensé à Pneuma le chien comme la création parfaite, spirituelle de Dieu, complètement sous Son contrôle. J’ai senti une onde d’assurance que tout était bien. Le lendemain, quand je suis descendue, Pneuma se tenait devant la fenêtre de la salle à manger ; la lumière du soleil remplissait la pièce. Il avait l’air d’une de ces vaches émaciées et mourantes que l’on voit sur les photos de sécheresse ou de famine. J’ai pensé : « Humph, ça c’est juste une image de « mort » pas de « chien !» Dans le Sermon sur la Montagne, Christ Jésus a appris à ses disciples à guérir avec les pensées « Oui » et « Non »--c’est-à-dire les affirmations de la véritable création de Dieu, et des dénégations fermes et nettes de ce qui n’a rien à voir avec l’œuvre bonne et créatrice de Dieu. (voir Matthieu 5 : 33-36) C’est exactement ce qu’ont fait mes prières. J’ai reconnu et affirmé la perfection de Pneuma comme étant sous le contrôle parfait de Dieu, et j’ai vu avec une clarté parfaite que la maladie n’entrait pas dans l’idée que Dieu se fait d’un chien. Pneuma s’est mis à manger ce jour même. Il a cessé de vomir et a vite retrouvé une santé normale. Dieu aime chaque élément de Sa création spirituelle. Et quand nous reflétons l’amour de l’Amour divin qui est Dieu, nous devenons témoins de pneuma, du puissant gouvernement de Dieu qui guérit, qui n’exclut rien, ni personne. Ceci a fait bouger ta pensée ? Alors partage-le, s’il te plaît !
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En surfant sur le net la semaine dernière, je suis tombée sur une conversation qui se moquait des professeurs de la Science Chrétienne, les accusant d’utiliser trois noms (dans le cas de professeurs femmes) afin d’avoir l’air d’avocats, et de compenser les lacunes dans leurs études. En considérant que je porte trois noms, et que j’ai fait moins d’études que mes collègues, je pense être assez bien placée pour offrir une autre perspective sur ces accusations. Je pourrais avoir cinq noms si j’utilisais chacun qui m’a été attribué ou que j’ai acquis par mariage. J’ai choisi ceux que j’utilise pour une raison spécifique, une raison qui s’applique tout aussi bien à d’autres professeurs : j’ai une longue liste de documents publiés sous deux noms de famille. Ces documents ne sont accessibles qu’à ceux qui connaissent les noms et qui les entrent dans le moteur de recherche. Sitôt la fin de mes études secondaires, j’ai entamé une formation pour être nurse de la Science Chrétienne. Je n’ai pas de diplôme universitaire. Plusieurs années devaient s’écouler avant que cela ne me pose problème. Mais quand c’est arrivé, le manque de confiance m’a frappée come une tonne de briques. Je me sentais moindre que mes nombreux collègues, dont la plupart, sinon tous, ont un diplôme universitaire. Plusieurs ont été jusqu’à la Maîtrise et même plus loin. Une fois j’ai été invitée à participer à un forum pour auteurs organisé par la maison d’édition pour laquelle j’écris souvent. Nous devions apporter un article à des fins de révision. Je n’ai pas pu l’écrire. Bien qu’ayant écrit une vingtaine d’articles qui avaient été publiés, j’étais intimidée par le sentiment d’être stupide et inculte. Je me suis rendue au forum les mains vide et j’ai essayé de me rendre invisible au fond de la classe. ![]() A mesure que j’écoutais la discussion, j’ai été impressionnée par l’humilité des auteurs autour de moi. Ils étaient très diplômés et cependant le fil qui les liait n’était pas les années d’études supérieures. C’était leurs expériences de l’écoute silencieuse de Dieu et l’apprentissage de la confiance dans l’inspiration qui en découlait. Puissant. Emouvant. Libérateur. Cette nuit-là a été un tournant ; je me suis rendu compte que mon éducation s’était réalisée à travers les expériences de vie et les occasions professionnelles uniques que Dieu m’avait offertes. Non-conventionnel ? Oui. Mais à ne pas sous-estimer. Mon instruction au sujet des Ecritures m’a été donnée par des professeurs qui non seulement ont transmis leur savoir, mais qui m’ont appris à écouter et chercher la Parole vivante dans les mots. Faisant partie durant cinq ans d’un comité de conférenciers, j’avais été formée à l’allocution en public par quelques-uns des professionnels les plus connus. En travaillant avec les législateurs pendant trois ans, j’ai appris à écouter, à considérer et à respecter les perspectives variées sur un sujet donné afin de faire ressortir les meilleures solutions disponibles pour élaborer les lois. Au fil des ans j’avais appris à écrire grâce à l’aide de beaucoup d’éditeurs qui avaient travaillé patiemment mes manuscrits. J’avais appris à écouter Dieu et à faire confiance à mon intuition quand je priais. ![]() Cette nuit-là j’ai écrit mon article. Durant l’entretien privé avec mon éditeur à la fin du forum, nous n’avons fait que bavarder. Il m’a dit qu’il n’avait aucune suggestion pour améliorer mon article. Le texte était parfait tel quel. Il a été publié peu de temps après. Mary Baker Eddy, qui a découvert la Science Chrétienne, a été fréquemment taxée par plus érudit qu’elle d’être une péquenaude inculte. Toutes les jeunes campagnardes des années 1820 n’avaient pas accès à l’école comme dans la série La Petite Maison dans la Prairie. Cependant, dans le cas d’Eddy son éducation comprenait d’amples leçons privées de la part de son frère diplômé, qui a assuré à sa petite sœur si intelligente une instruction étendue en anglais, latin, mathématiques, philosophie, et d’autres matières généralement inaccessibles à des jeunes filles de son état. Eddy accordait du prix aux études supérieures et encourageait les autres à les faire. Elle a établi des organisations pour les étudiants, conçues pour soutenir leur éducation et leur progrès spirituel. Elle a écrit, « Tout le but de l’éducation véritable et de nous faire non seulement connaître la vérité, mais la vivre—de faire que nous soyons heureux d’accomplir ce qui et bien, de faire que nous ne travaillions pas par beau temps seulement pour nous enfuir ensuite quand souffle la tempête, mais que nous travaillions au milieu des nuages du mal, de l’injustice, de l’envie, de la haine, et que nous nous en remettions à Dieu, le puissant libérateur qui rétribuera la droiture et punira l’iniquité. (La Première Eglise du Christ, Scientiste et Miscellanées, Eddy (1908) p. 252) Comme le dit le Psalmiste, « Conduis-moi dans ta vérité, et instruis-moi ; Car tu es le Dieu de mon salut, tu es toujours mon espérance. » (Psaumes 25 :5) Bonne fin d’études pour la Classe de 2012. Que votre éducation vous serve bien, ainsi qu’aux autres, et que votre compréhension continue à se développer dans la sagesse et la voie de Dieu. Ceci a fait bouger ta pensée ? Alors partage-le, s’il te plaît !
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![]() BIENVENUE!
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Droits d'Auteur 2011-2025. Tous les droits sont réservés. Michelle Boccanfuso Nanouche, CSB. Mentions Légales. (Pages mises à jour le 3 fevrier, 2025.)
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