Quelle grand-mère ne se réjouirait pas à la perspective de s’occuper de son petit-fils qui vient de naître ? Quand ma fille m’a demandé de l’aider avec son nouveau-né j’étais une grand-mère ravie ! J’avais des visions où je tiendrais le tout petit dans mes bras dans une chaise à bascule, chantant des berceuses, le mettant sur mon épaule en lui tapotant le dos. Il n’y avait qu’un couac dans ce scénario idyllique. En arrivant chez ma fille, j’ai été accueillie par un très grand chien noir. Et, comme je devais bientôt le découvrir, c’était un chien très malade. Nous nous sommes enlacées ma fille et moi, et elle m’a présentée à Eli, un adorable petit garçon tout potelé. Et à son chien, Pneuma, un chien maigre et pas si adorable. Très vite j’ai eu beaucoup d’occasions de bercer Eli, assise dans la chaise à bascule, de lui tapoter le dos, et de le changer. Je m’amusais !...mais il y avait ce chien. Puisque ma fille et mon gendre suivaient des cours à l’université durant la journée, il me revenait de m’occuper du bébé et du chien en leur absence. Le chien, Pneuma, refusait de s’alimenter. J’ai découvert aussi, qu’il avait tendance à vomir par terre de temps à autre. Je ne m’étais pas attendue à devoir nettoyer après le chien. Alors je me contentais de couvrir les endroits où il avait vomi avec de l’essuie-tout en attendant que mon gendre s’en occupe en rentrant. Pour obtenir que le chien mange, j’ai tenté de mettre un peu de sucreries dans son pâté. Peut-être qu’un peu de goût sucré le tenterait ? Pas vraiment. Il tournait le dos à son bol. Puis je me suis réveillée. J’ai réalisé que le problème n’était pas chez le chien ; c’était chez moi. Au lieu d’aimer le chien, j’éprouvais de la rancune à son égard. J’avais essayé de le tromper, recourant à la ruse pour le faire manger. Egoïstement j’avais laissé la corvée du nettoyage à mon gendre. Et dans mes prières j’omettais cet animal chéri. Une fois que j’avais reconnu cette terrible négligence, j’ai fait le vœu de l’inclure dans mon étude spirituelle quotidienne et dans mes prières, et j’ai commencé à changer d’attitude. En berçant le bébé, je caressais Pneuma sur la tête et ma compassion pour lui s’est accrue. Je remplissais son bol avec ses aliments préférés, qu’il les mange ou non. Et j’ai nettoyé après lui, au plus grand soulagement de mon gendre. En ouvrant mon livre-guide spirituel, Science et Santé avec la Clef des Ecritures, par Mary Baker Eddy, je me suis rappelé que dans ses pages il était question du terme biblique Vent. J’ai découvert que le mot grec pour Vent (pneuma)…est défini en partie, comme ce qui indique « les mouvements du gouvernement spirituel de Dieu, embrassant toutes choses. » (597) C’était une belle journée ensoleillée, avec une bonne brise, alors j’ai attrapé une couverture, Pneuma, et le bébé, et je suis sortie m’installer sous un arbre. Je désirais sentir la douceur de la brise et méditer sur la signification spirituelle de vent (pneuma). J’ai pensé, le gouvernement de Dieu est certainement harmonieux, ordonné, et juste. Il est perpétuel et ininterrompu. Il embrasse chacun de nous, nous gouverne tous. J’ai pensé à Pneuma le chien comme la création parfaite, spirituelle de Dieu, complètement sous Son contrôle. J’ai senti une onde d’assurance que tout était bien. Le lendemain, quand je suis descendue, Pneuma se tenait devant la fenêtre de la salle à manger ; la lumière du soleil remplissait la pièce. Il avait l’air d’une de ces vaches émaciées et mourantes que l’on voit sur les photos de sécheresse ou de famine. J’ai pensé : « Humph, ça c’est juste une image de « mort » pas de « chien !» Dans le Sermon sur la Montagne, Christ Jésus a appris à ses disciples à guérir avec les pensées « Oui » et « Non »--c’est-à-dire les affirmations de la véritable création de Dieu, et des dénégations fermes et nettes de ce qui n’a rien à voir avec l’œuvre bonne et créatrice de Dieu. (voir Matthieu 5 : 33-36) C’est exactement ce qu’ont fait mes prières. J’ai reconnu et affirmé la perfection de Pneuma comme étant sous le contrôle parfait de Dieu, et j’ai vu avec une clarté parfaite que la maladie n’entrait pas dans l’idée que Dieu se fait d’un chien. Pneuma s’est mis à manger ce jour même. Il a cessé de vomir et a vite retrouvé une santé normale. Dieu aime chaque élément de Sa création spirituelle. Et quand nous reflétons l’amour de l’Amour divin qui est Dieu, nous devenons témoins de pneuma, du puissant gouvernement de Dieu qui guérit, qui n’exclut rien, ni personne. Ceci a fait bouger ta pensée ? Alors partage-le, s’il te plaît !
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