![]() As-tu jamais souffert à cause d’une colère enfouie ? Souvent la colère est simplement acceptée comme si nous n’avions aucun choix en la matière. Mais ce n’est pas vrai. La colère est péché. Personne n’exige que l’on pèche. En éliminant la colère comme influence, nous pouvons nous attendre à ce que nos prières pour autrui soient plus fortes et plus efficaces. Dans le Sermon sue la Montagne, Jésus présente plusieurs sujets différents en variant les paroles, « Vous avez entendu… » Il pouvait très bien avoir voulu indiquer, sans jugement, que nous avons tous entendu et vécu les mêmes choses, et que par conséquent, nous avons des leçons similaires à apprendre. Le Sermon sur la Montagne enseigne comment aborder et éliminer différentes formes du mal—ces choses auxquelles tout le monde a dû faire face à un moment ou un autre. Un des sujets était la colère. Jésus a dit, « Vous avez entendu qu’il a été dit aux anciens : Tu ne tueras point; celui qui tuera mérite d’être puni par les juges. Mais moi, je vous dis que quiconque se met en colère contre son frère mérite d’être puni par les juges ; que celui qui dira à son frère : Raca ! mérite d’être puni par le sanhédrin ; et que celui qui lui dira : Insensé ! mérite d’être puni par le feu de la géhenne. » (Matthieu 5 : 21-22) ![]() Jésus met le doigt sur l’éventail de la colère—depuis une expression imperceptible d’agacement, au plus cinglant insulte, et jusqu’au meurtre déjà condamné par les Dix Commandements. « Raca » était une petite critique semblable à un moderne « Oh, zut », alors que « Insensé » pouvait aboutir à un échange de coups de poing et l’arrivée de la police. Remarque comment la colère est liée à l’enfer. Nous avons tous été en colère, ou l’objet de la colère, un jour ou l’autre. Qu’est-ce qu’on ressent ? C’est exactement ça. Le feu de l’enfer. Une fois captée l’attention de ses auditeurs, Jésus a donné des instructions quant au moment et à la manière de couper court à la colère avant qu’elle ne commence à nous compliquer la vie. Il a dit, « Si donc tu présentes ton offrande à l’autel, et que là tu te souviennes que ton frère a quelque chose contre toi, laisse là ton offrande devant l’autel, et va d’abord te réconcilier avec ton frère ; puis, viens présenter ton offrande. Accorde-toi promptement avec ton adversaire, pendant que tu es en chemin avec lui, de peur qu’il ne te livre au juge, que le juge ne te livre à l’officier de justice…. » (Voir ibid. 5 ::23-26) ![]() Fais-moi confiance, à partir de là, c’est du gâteau. Pour moi, « laisse ton offrande à l’autel » c’est laisser tout tomber—toute activité, tout intérêt, tout désir—jusqu’à ce que nous trouvions l’amour pour notre frère ou sœur ou voisin ou ennemi—jusqu’à ce qu’on réconcilie notre frère avec notre compréhension de l’Amour divin. C’est entièrement en prière qu’on peut accomplir cela. Dans le cas contraire, une colère non guérie pourrait contaminer toutes nos offrandes, toutes nos prières, et étoufferait toute la joie de notre vie. Une fois, alors que je priais pour la guérison d’une douleur chronique, j’ai réalisé que je souffrais d’une colère enfouie. Que l’offense soit grande ou petite n’a aucune importance. En raison de la colère, je me croyais indigne d’être guérie. La partie de moi qui m’accrochait à la colère (un sens mortel) était la même partie qui suggérait que j’étais victime de la cruauté de quelqu’un. Ce fusil à deux coups de la colère et de la victimisation était pointé sur mon cœur, avec la peur qui pressait sur la gâchette. La suggestion était que je pouvais tout aussi bien succomber à la maladie. Je savais que lorsqu’on relâche la colère, les guérisons arrivent souvent plus vite. Mais comment pouvais-je commencer ? Le message de Jésus sur la guérison de la colère, et la lecture inspirée de sa signification par Mary Baker Eddy, m’ont indiqué le chemin. Jésus a continué le Sermon en disant, « Accorde-toi promptement avec ton adversaire, pendant que tu es en chemin avec lui. » Mrs Eddy a expliqué, « Ne souffrez pas que les prétentions du péché ou de la maladie se développent dans votre pensée. Chassez-les avec la ferme conviction qu’elles sont illégitimes parce que vous savez que Dieu n’est pas plus l’auteur de la maladie que du péché. Il n’a promulgué aucune loi qui rende nécessaire, soit le péché, soit la maladie, mais vous êtes divinement autorisé à nier cette nécessité et à guérir les malades. » (Science et Santé avec la Clef des Ecritures, p. 390) ![]() Essaie un peu de lire ce passage en mettant le mot colère à la place de péché. Le péché est la colère. Et vice versa. La simple pensée que Dieu n’est pas plus l‘auteur de la maladie que de la colère, ou même du soi-disant péché qui l’a produite, m’a aidé à voir que ni la colère, ni le péché, ni la maladie n’étaient des fautes personnelles. Si Dieu ne les a pas créées en moi, je ne pouvais ni les générer ni les perpétuer en moi-même. J’ai suivi les instructions de Jésus et de Mrs Eddy à la lettre. J’ai renvoyé la suggestion mentale agressive que la colère était un pouvoir sur lequel je n’avais aucun contrôle. En prière j’ai réclamé mon autorité spirituelle d’y mettre fin. Et, tu sais, j’en étais capable. Relâcher la colère n’a jamais dépendu du comportement de quelqu’un d’autre. La colère ainsi que le sens d’impuissance qui l’accompagne, était un péché que j’avais le droit et la capacité de bouter hors de mon expérience à tout moment. Je fus guérie de la douleur chronique le jour même. Cela remonte à plus de dix ans. Et la douleur n’est jamais revenue. La colère n’est pas intégrée en nous. Elle ne fait partie de la nature de personne. Je ne suis pas du genre colérique. Ni toi non plus, ni personne. En tant qu’enfants de Dieu, nous sommes le « genre » de Dieu, l’Amour divin, universel. Si nous prions à partir de cet angle, la colère ne peut pas nous ligoter. ![]() Tu veux de la prière MOJO aujourd’hui ? (MOJO est la confiance, la clarté et le sentiment de mouvement qui indique que tes prières te font avancer.) Largue la colère. Prends un balai, une pelle, et oust. Fais tout ce qu’il faut, mais n’en laisse pas une miette : même les petits moutons-colère et les toiles de colère presqu’invisibles qui traînent et s’accrochent dans les coins obscurs de la pensée. Fais vite ! « Accorde-toi avec ton adversaire » ne signifie pas être d’accord avec le mal. « Accorder » est le vocabulaire biblique pour « le résoudre ». Résous la question de la colère vite, à chaque fois qu’elle se présente. Ne souffre qu’aucune prétention de la colère s’étende et se développe dans ta pensée. Renvoie-la tout de suite, et en prière reste collé à la conviction que la colère est péché, et donc illégitime. Dieu ne te l’a pas donnée. Tu ne peux ni l’avoir ni t’y accrocher. Il n’est pas nécessaire de souffrir de la colère. Dieu t’a donné l’autorité pour la nettoyer et l’éliminer comme influence. Aujourd’hui permets-toi d’être nettoyé, de fond en comble, de chaque vestige de la colère !
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18/5/2012 0 Commentaires Une Femme![]() "Une femme, qui souffrait de pertes de sang depuis douze ans, s’approchait alors de Jésus par derrière et toucha le bord de son vêtement. Car elle se disait : « Si je peux seulement toucher son vêtement, je serai guérie. » Jésus se retourna, la vit et déclara : « Courage, ma fille! Ta foi t’a guérie. » Et à ce moment même, la femme fut guérie." Matthieu 9 :20-22 ( La Bible en Français Courant) Julia Wade chante « Un Trou dans ma Vie » ![]() Tu te sens acculé ? L’ennemi avance ? Est-ce que le doute ou la crainte te taraude, érodant ta confiance de pouvoir retrouver la santé de nouveau ? Apprends une leçon de la stratégie d’Esaïe. Appelé par Ezéchias lorsqu’une armée ennemie avançait avec l’intention de décimer une ville, Esaïe a fait une prière si significative, si puissante, qu’elle a mérité deux récits dans deux livres distincts de la Bible—II Rois et Esaïe—et avec des résultats si efficaces qu’ils ont reçu une troisième mention dans II Chroniques chapitre 32. La prière a stoppé net l’ennemi. La prière d’Esaïe monte crescendo jusqu’à cette finale tonitruante : « C’est pourquoi ainsi parle l’Eternel sur le roi d’Assyrie : Il n’entrera point dans cette ville, Il n’y lancera point de traits, Il ne lui présentera point de boucliers, et il n’élèvera point de retranchements contre elle. Il s’en retournera par le chemin par lequel il est venu, Et il n’entrera pas dans cette ville, dit l’Eternel. Je protégerai cette ville pour la sauver, à cause de moi, et à cause de David, mon serviteur. » (II Rois 19 : 32-34, Esaïe 37 : 33-35) Je vais la décomposer. Dans sa signification spirituelle nous pouvons considérer le roi d’Assyrie non comme un personnage historique, mais comme n’importe quelle pensée ou condition qui nous terrorise ou menace de nous anéantir. Point par point Esaïe explique le pouvoir protecteur de l’Amour divin agissant contre quatre tactiques spécifiques de l’ennemi : Ce qu’il ne fera pas : Envahir—« Il n’entrera point » Pénétrer—« « ni lancer des traits » Résister—« ni présenter de boucliers » Persister—« ni élever de retranchements.» ![]() Longtemps avant la bataille imminente, Ezéchias livrait bataille contre les menaces de l’ennemi. Le roi ennemi a envoyé un messager lui annonçant ses projets de détruire la ville. L’intention, bien entendu, était de saper la confiance d’Ezéchias et d’augmenter sa crainte. Ezéchias se sentait battu avant même le début de la vraie bataille. Si bien que lorsqu’Esaïe est venu à ses côtés et a déclaré que Dieu ne le permettrait pas—que le mal ne prendrait pas la ville—son message était comme une bonne pluie sur un sol assoiffé. Les résultats de sa prière ont été immédiatement évidents. Et impressionnants « Cette nuit-là, l’ange de l’Eternel sortit, et frappa dans le camp des Assyriens cent quatre-vingt-cinq mille hommes. Et quand on se leva le matin, voici, c’étaient tous des corps morts. » J’ai découvert la prière d’Esaïe quand je souffrais d’une pneumonie qui me démolissait rapidement. Je me sentais envahie et pénétrée par la maladie. J’avais prié pour une guérison durant une période considérable et cependant les symptômes s’aggravaient, et ce fait entamait ma résolution spirituelle. Je ne comprenais pas la résistance à la guérison et la persistance de ma souffrance. Quand je suis tombée sur la prière d’Esaïe, elle semblait arriver presque trop tard. La maladie était déjà entrée. L’ennemi était bien retranché. Ou du moins je le croyais. ![]() Les explications suivantes, tirées des pages 426 et 427 de Science et Santé avec la Clef des Ecritures par Mary Baker Eddy, ont été significatives en ce sens qu’elles m’ont permis d’identifier le vrai ennemi et de comprendre comment appliquer la prière d’Esaïe à ce cas. Eddy a écrit, « Quand nous apprendrons que la maladie ne peut détruire la vie et que la mort ne rachète pas les mortels du péché ou de la maladie, cette compréhension nous éveillera à une vie nouvelle. Elle vaincra tant le désir de mourir que la terreur de la tombe, et détruira ainsi la grande crainte qui obsède l’existence mortelle…[c’est moi qui mets le caractères gras] « Les concepts humains nommés matière, mort, infirmité, maladie et péché, sont tout ce qui peut être détruit. « La mort n’est qu’une autre phase du rêve selon lequel l’existence serait matérielle. Dans la Science, rien ne peut interrompre l’harmonie de l’être ni mettre fin à l’existence de l’homme. » J’ai réalisé que les symptômes de la maladie n’étaient que les messages envoyés par l’ennemi, qui essayait d’éroder ma confiance en Dieu et ma résolution spirituelle. L’ennemi n’était ni mon corps, ni la pneumonie. La mort elle-même n’était pas le vrai ennemi, parce qu’à la longue la preuve serait apportée que l’homme ne vit ni ne meurt dans la matière. Non. L’ennemi qui s’approchait de moi à grands pas était la crainte de la mort. Et cela, je pouvais m’en occuper. Il n’était pas trop tard pour travailler avec la prière d’Esaïe. Voici un aperçu de mon raisonnement.
La pneumonie fut stoppée net. Le nuage noir de la crainte qui me menaçait de symptômes agressifs s’est dissipé complètement. J’étais guérie. Ne tombe pas dans le piège qui consisterait à combattre un ennemi irréel. Le coupable n’est pas la maladie. Ton corps ne te déteste pas. Le grand ennemi est toujours la crainte. Il n’est jamais trop tard—JAMAIS TROP TARD—pour arrêter la crainte et la maladie, complètement. ![]() Un jour il y a des années ce ça j’étais clouée au lit à cause d’un mal de dos. J’étais seule chez moi et j’avais vraiment besoin de me lever. Sans personne pour m’aider, il n’y avait qu’une chose à faire. En roulant sur le côté je suis sortie du lit et j’ai commencé à ramper par terre dans ma chambre. Ce faisant, j’ai pensé, « C’est vraiment idiot. Si Jésus était là, il me guérirait. Il dirait, « Lève-toi et marche ! » et j’en serais capable. Quelque temps auparavant, quand je débutais dans mon apprentissage de la guérison spirituelle, j’avais lu un article, « Il n’y a pas de vraie guérison sans le Christ ». J’ai pensé, ça, alors ! J’ai besoin d’en savoir plus. Alors j’en ai parlé avec un ami—Scientiste Chrétien—et il m’a dit de toujours concevoir le Christ comme l’activité de Dieu. Cette explication m’a conduite à la question suivante : Qu’est-ce que l’activité de Dieu ? Science et Santé avec la Clef des Ecritures par Mary Baker Eddy décrit l’activité de Dieu ainsi : « la présence vivante, palpitante, du Christ, la Vérité, qui guérissait les malades. »(p. 351) Et ailleurs le Christ est défini comme « la vraie idée énonçant le bien, le message divin de Dieu aux hommes, parlant à la conscience humaine. » (p. 332) ![]() J’ai appris que c’est Dieu qui transmet le message, ou exprime, tout ce qui est bon, et seulement ce qui est bon, à chaque conscience. C’est l’activité de Dieu de prendre soin de moi, de tout le monde, avec des messages divins de guérison. Christ est le terme pour à la fois le messager (l’idée divine énonçant le bien) et le message lui-même (le divin message de Dieu aux hommes parlant à la conscience humaine). En fait, le messager et le message ne font qu’un—l’activité de Dieu. Dieu n’est jamais absent, jamais inactif, jamais inattentif aux besoins humains. Il manifeste, exprime, révèle perpétuellement Sa présence et pouvoir à moi et à tout le monde, précisément de la manière que nous pouvons comprendre—où que l’on soit et quelles que soient les circonstances où l’on se trouve. Jésus était l’homme dont la mission était d’enseigner et de prêcher le Christ, et de guérir par le Christ. C’est pourquoi on l’appelait Christ Jésus. Mais quand Jésus a quitté cette terre, il n’a pas emmené le Christ avec lui. Une des dernières choses que Christ Jésus a dite à ses disciples fut, « Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde. » (Matthieu 28 :20) Le « je » dont parlait Jésus, était le Christ guérisseur. L’action constante de Dieu qui se fait connaître—son messager et son message, le Christ—étaient, sont encore, et seront à jamais là. Le Christ est actif et opérant maintenant. ![]() Alors quand je rampais péniblement par terre dans ma chambre et que j’ai eu cette pensée que si Jésus était là il me guérirait, j’ai réalisé, « Attends une minute. Jésus n’est peut-être pas là, mais le Christ, si ! Tu peux te lever et marcher. » Et je l’ai fait. Lentement, et un peu douloureusement au départ, j’ai réussi à me lever et à marcher. Je suis restée debout et j’ai continué à marcher de plus en plus. Peu de temps après j’ai découvert que j’étais libre de toute douleur. J’avais souffert d’autres douleurs au dos auparavant, mais après cette guérison—après ce message direct du pouvoir présent de Dieu au travers du Christ—le mal de dos ne m’a plus jamais ennuyée. Comme il est merveilleux de savoir que le message de Dieu du bien divin est toujours là, parlant directement à la conscience humaine, et que nous pouvons connaître et ressentir « la présence vivante, palpitante du Christ, la Vérité » où que nous soyons, et être guéris. Pour t’abonner, va en haut de la page, entre ton mail dans la colonne de droite. C’est gratuit, sans pub ni spam.
![]() Comment vois-tu cette image ? Tu vois un agresseur se préparant à attaquer des victimes effrayées prenant la fuite ? Ou les mouvements gracieux de trois danseurs ? La manière dont nous percevons la terre, et ceux qui la peuplent, influe sur notre manière de prier et, souvent, sur le sujet de nos prières. Une vision du monde positive nourrit la prière avec une attente saine et progressive du bien. Tandis qu’une vision négative du monde peut avoir tendance à donner le sentiment d’être acculé et coincé par les problèmes, et peut faire sombrer la prière dans une mer de désespoir. Le truisme, « Une pomme pourrie pourrit toute la barrique» nous rappelle utilement qu’il faut surveiller les influences qu’on laisser entrer. Mais à mon avis, dans sa relation à la prière, la pomme ou influence qui doit nous préoccuper le plus est la nôtre ! Je me souviens d’une amie qui me donnait son interprétation de la théorie de la pomme. Elle a dit, « Tu ne peux pas être une bonne pomme dans une barrique de pommes pourries ! » Ceci me rappelle toujours que si je me vois comme une île isolée de bien dans un monde de mal, je suis fichue—de même que mes prières. Le billet d’aujourd’hui va t’aider à trouver ta prière MOJO—cette zone de confiance, de clarté et d’inspiration où la perspective de Dieu devient la tienne, avec de bons résultats à la clé. L’amour détaché de soi-même—la prière, la vigilance, et le travail en faveur du monde—est essentiel pour trouver ton MOJO. Et MOJO fait la différence entre une prière efficace et celle inefficace. ![]() Dans le chapitre « La Prière » de Science et Santé avec la Clef des Ecritures, Mary Baker Eddy explique, « La prière qui réforme les pécheurs et guérit les malades est une foi absolue dans le fait que tout est possible à Dieu—une compréhension spirituelle de Dieu, un amour détaché de soi-même. Sans m’arrêter à ce que d’autres peuvent dire ou penser à ce sujet, je parle par expérience. La prière, la vigilance et le travail, unis à l’immolation de soi, sont les moyens accordés par la grâce de Dieu pour l’accomplissement de tout ce qui a été fait avec succès pour la christianisation et la santé du genre humain. » (p. 1) Christ Jésus a dit, « Ce n’est pas ce qui entre dans la bouche qui souille l’homme ; mais ce qui sort de la bouche, c’est ce qui souille l’homme. » Pour moi, cela ramène à la théorie de la pomme—Ne crains pas ce que la pomme pourrie peut te faire, prie pour toutes les pommes, que ton influence puisse améliorer la barrique ! (Matthieu 15 :11) En d’autres termes : Sois l’influence, ne sois pas influencé. A l’école du dimanche, on a demandé à une classe d’écoliers de décrire leurs parents. Un enfant a dit de sa mère, « Elle est douce et intelligente. » De son père il a dit, « Il est drôle et intelligent. » Chaque enfant a spontanément dressé la liste des qualités—les bonnes qualités qu’ils voyaient chez leurs parents. ![]() Le moniteur ne demandait pas les qualités. Elle a demandé une description. Et cependant pas un seul enfant n’imaginait son parent en termes de taille ou poids, avec telle ou telle couleur de cheveux ou d’yeux. Pas un seul n’a décrit leur parent par son travail, son style de vie, ses intérêts personnels ou par les difficultés qu’il éprouvait, ou non, durant la récession. Il y a quelques jours, un lecteur du blog nommé Kevin a commenté un billet intitulé « Je sais à quoi tu penses ». Le billet mettait en avant l’influence de la pensée négative sur le monde autour de nous. Kevin a écrit, « Depuis un moment je réfléchis à la relation entre les pensées cupides, égoïstes, gaspilleuses et le changement climatique. Est-ce que le monde se réchauffe parce que notre avarice et notre absence de sollicitude conduisent à une atmosphère plus chaude de pensée en raison de nos têtes brûlées, ce qui se reflète dans un climat plus chaud ? Idée intéressante. » Les commentaires de Kevin ont du mérite. Nous devons être attentifs à la contribution que font nos pensées à la terre et à l’environnement. La question devient, que pouvons-nous faire aujourd’hui ? Nous pouvons en réalité nous mettre à nettoyer notre monde et à baisser la température—simplement en priant sans égoïsme POUR le monde et en échangeant une vision mortelle d’une création destructive, cassée, laide, cupide, consommatrice, en faveur de celle que Dieu a vraiment faite et maintient. Dieu n’est pas idiot. Et Il nous aime tous ! Ceci doit indiquer une terre aimable et une humanité qui mérite qu’on prie pour la connaître. ![]() Quand l’armée céleste s’est jointe aux anges en chantant, « Gloire à Dieu dans les lieux très hauts, Et paix sur la terre parmi les hommes qu’Il aime » ils n’exprimaient pas un espoir à titre d’essai. Ils exprimaient ce qu’ils voyaient—Dieu Glorieux qui déjà contrôlait une terre en paix, et des hommes, femmes et enfants exprimant le bien. Mrs. Eddy a demandé, « Vous êtes-vous jamais représenté ce ciel et cette terre, habités par des êtres que gouverne la sagesse suprême ? Débarrassons-nous de la croyance que l’homme est séparé de Dieu, et n’obéissons qu’au Principe divin, la Vie et l’Amour. Voilà le grand point de départ de toute vraie croissance spirituelle. » (Science et Santé p. 91) Tu veux un peu de prière MOJO aujourd’hui ? Prie pour le monde. Imagine le ciel et la terre tels qu’en réalité Dieu les a créés. Et tu verras comme les pommes sont délicieuses. ![]() J’aime, j’aime, J’AIME ma nouvelle cuisine ! Pour une bloggeuse habituée à se lever chaque matin à 3 heures pour poster son billet, une quinzaine jours sans connexion web peut être stressant. Ou non. En fait, j’ai dormi comme un bébé. Après sept ans de recherches, beaucoup de prière, et pas mal de croissance spirituelle, nous venons d’acheter notre premier appartement en France. A l’exception de l’installation de l’internet et du téléphone, tout ce qui concernait le déménagement, (l’énorme distance de quatre pâtés de maison plus loin !) a fonctionné avec la précision d’une montre suisse. Comme une lettre à la poste. Je trouve difficile de voir l’absence provisoire de l’internet autrement que comme une bénédiction. Si la connexion avait été possible, j’aurais peut-être ressenti le besoin de m’asseoir devant l’ordinateur. Au lieu de quoi, j’ai pris le temps de défaire les cartons, de m’installer, et de me réjouir d’être dans notre nouveau « chez nous ». Des problèmes de téléphone et d’internet ne sont pas des nouveautés pour moi. Quand j’ai quitté les Etats-Unis pour venir m’installer en Europe en 2005, j’ai eu à m’occuper de déconnexions à répétition inexpliquées de mon téléphone et de ma ligne à haut débit. Au bout d’une année de problèmes toujours plus fréquents, j’en avais assez de la compagnie de téléphone. ![]() Est-ce que j’ai dit combien J’AIME ma nouvelle cuisine ? Si la prière avait été mon premier recours, je suis sûre qu’on aurait pu trouver une solution bien plus tôt. Mais au contraire, j’ai attendu d’avoir épuisé tous les moyens humains avant de me résoudre enfin à prier pour le problème. (Astuce : Prie d’abord !) Lorsqu’enfin je m’en suis occupée par la prière, j’ai pensé à Dieu comme Tout-en-tout, la seule Cause, produisant tout effet réel, et que cet effet ne peut être que bon. Considérant Dieu comme l’Entendement divin, l’unique intelligence de l’univers, j’ai réalisé que je ne pouvais plus accepter que France Télécom puisse être déconnectée de l’intelligence ou en retard dans le domaine technologique. Puisque toute communication est gouvernée et contrôlée par l’Entendement, ces systèmes ne pouvaient que refléter l’Entendement qui est Dieu, l’Entendement du Christ. Tout ce qui est réel et vrai dans les systèmes humains est gouverné par l’Entendement, qui donne à leurs actions stabilité, intelligence, et éclaircissement. A mesure que je cessais de voir France Télécom comme mon ennemie, la frustration que je ressentais à leur égard s’est estompée. Je me suis mise à prier pour eux. La prière nous a mis dans la même équipe. Moins de 24 heures après cette prière, j’avais le téléphone et l’internet. Durant les six années qui ont suivi, je n’ai jamais eu une autre interruption du service. Aujourd’hui je lance un cri de remerciements à destination des membres de l’équipe. Mes cartons sont déballés, mes tableaux sont accrochés aux murs, et on dirait que nous habitions ici depuis des années. Et l’internet est connecté de nouveau. Bon travail, les gars ! Votre timing est parfait ! Dieu qui voit dans les cœurs comprend ce que l’Esprit Saint veut demander, car l’Esprit prie en faveur des croyants comme Dieu le désire. Nous savons que toutes choses contribuent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qu’il a appelés selon son plan. Romains 8 Si tu aimes ce que tu lis, alors partage avec tes amis !
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Droits d'Auteur 2011-2025. Tous les droits sont réservés. Michelle Boccanfuso Nanouche, CSB. Mentions Légales. (Pages mises à jour le 3 fevrier, 2025.)
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