![]() La majorité des lecteurs de ce blog sont ceux qui découvrent la Science Chrétienne pour la première fois. Tout à fait naturellement, ils se posent des questions sur ma pratique et comment elle fonctionne. Ces personnes ont un seul modèle de soins—le médical, et leurs questions reflètent ce cadre de référence. Par conséquent, je saisis chaque occasion pour souligner le point que les symptômes de la maladie ne dictent pas la prière, ni n’influent sur la durée du traitement d’un cas. Une compréhension spirituelle de Dieu et de l’homme est toujours le sujet de la prière qui guérit. C’est la spiritualité, jamais le temps, qui est la condition nécessaire à la guérison. En lisant la Bible récemment, j’ai étudié le récit sur Moïse qu’on trouve dans Exode, chapitre 4. Le chapitre 3 nous informe que Moïse avait reçu l’instruction d’aller dire à Israël, à l’époque en captivité, qu’il avait parlé avec Dieu, et que, en dépit de la résistance que cela allait occasionner, ils devraient quitter l’Egypte. (Voir Exode 3 :15-22) Moïse avait peur. Le chapitre 4 commence ainsi : « Et Moïse répondit, et dit : Voici, ils ne me croiront point, et ils n’écouteront point ma voix. Mais ils diront : l’Eternel ne t’est point apparu. » (4 :1) C’est alors que Moïse a fait une chose étrange. Ou était-elle si étrange que ça ? Dieu lui a donné l’ordre de jeter son bâton par terre et Moïse l’a vu se transformer en serpent. Dieu lui a dit de le prendre par la queue. Quand il l’a fait, il est redevenu un bâton. Ensuite, Dieu a dit à Moïse de mettre sa main sur sa poitrine. Il a obéi, et elle est devenue lépreuse. Dieu lui a dit de recommencer et sa main a retrouvé la santé. En lisant cette histoire, j’ai pensé, « Qui met sa main sur sa poitrine une deuxième fois alors qu’après la première fois elle est devenue lépreuse ? Je m’en suis rendu compte—c’est celui qui est davantage centré sur le fait d’apprendre ce qu’est et ce que fait Dieu, que celui qui se préoccupe des phénomènes fluctuants des conditions matérielles. Imagine ce qui se serait passé si, surpris par la soudaine apparition du serpent, Moïse avait détourné son attention de Dieu, et qu’il s’était mis à essayer de trouver la meilleure méthode pour éliminer les serpents. Est-ce qu’il aurait ramassé le serpent par la queue pour découvrir qu’il n’était pas ce qu’il semblait être ? Et si Moïse avant subitement change de sujet au milieu de la prière et permis aux symptômes alarmants de la lèpre de distraire ses pensées de son écoute de la voix de Dieu, pour se préoccuper plutôt de la gestion de la maladie ? Est-ce qu’il aurait remis sa main sur sa poitrine une deuxième fois ? ![]() Moïse était un type qui essayait de comprendre comment remplir sa mission. Il savait qu’attendre et reconnaître la voix de Dieu était la clé. A mon avis Mary Baker Eddy a tout compris de la leçon de Moïse quand elle a écrit, « La croyance à une base matérielle, d’où peut se déduire toute rationalité, cède lentement à l’idée d’une base métaphysique et se détourne de la matière vers l’Entendement comme cause de tout effet. » (Science et Santé avec la Clef des Ecritures, p. 268) En parlant de l’expérience de Moïse, Eddy a expliqué, « Il fut démontré scientifiquement que la lèpre était une création de l’entendement mortel et non un état de la matière, lorsque Moïse mit une première fois sa main dans son sein et l’en retira blanche comme neige, atteinte de la maladie redoutée, et qu’aussitôt il fit reprendre à sa main son état naturel par le même simple procédé. Dieu avait atténué la crainte de Moïse par cette preuve en Science divine, et la voix intérieure devint pour lui la voix de Dieu… » (ibid, p. 321) Le billet d’hier a mis l’accent sur les dangers de tirer des conclusions dans un cas sur la base des symptômes. Eddy a écrit, « La santé n’est pas un état de la matière, mais de l’Entendement ; et les sens matériels ne peuvent rendre un témoignage bien fondé au sujet de la santé….Toute conclusion pour ou contre, déduite de la prétendue sensation dans la matière ou de la prétendue conscience qu’a la matière de la santé ou de la maladie, au lieu de renverser le témoignage des sens physiques, confirme ce témoignage comme légitime et mène ainsi à la maladie. » (ibid. P. 121) Je me demande, si Moïse s’était préoccupé des symptômes de la lèpre, aurait-il écouté cette voix quand elle lui a dit de mettre sa main sur sa poitrine encore ? Aurait-il découvert que ce qui paraissait une grosse affaire n’était rien de plus qu’une illusion de l’esprit mortel ? Heureusement pour nous, Moïse a trouvé plus intéressant d’écouter la voix de Dieu. « J’estime que les souffrances du temps présent Ne sauraient être comparées à la gloire à venir qui sera révélée pour nous. Aussi la création attend-elle avec un ardent désir la révélation des fils de Dieu. » (Romains 8 :19) Ceci a fait bouger ta pensée ? Alors partage-le, s’il te plaît !
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15/11/2013 0 Commentaires Questons et réponses concernant l'aspect professionnel de la pratique de la Science Chrétienne![]() Les practiciens de la Science Chrétienne fournissent la prière quand on la leur demande, dans l’intention et l’attente qu’une guérison rapide suivra. Il s’agit à la fois d’une œuvre spirituelle et d’une pratique professionnelle. Parfois je reçois des questions concernant la facturation. Par exemple, on m’a demandé de fixer à l’avance une somme mensuelle pour le cas où le traitement se prolongerait. Bien sûr, là-dessus je ne parle que pour moi. Chaque practicien arrive à ses propres conclusions concernant la facturation et sa relation professionnelle avec ses patients. Mais je considère que prendre un cas avec un montant fixé à l’avance n’est pas consistant avec ma pratique parce que cela présuppose la nécessité d’un traitement prolongé. Contrairement aux soins médicaux, qui prévoient une durée de traitement sur la base du diagnostic de la maladie et la complexité des symptômes, la guérison par la prière naît de la croissance spirituelle et des vues plus claires de Dieu et de l’homme. C’est la spiritualité, non la durée qui constitue le facteur déterminant dans une guérison par la Science Chrétienne. La santé est un phénomène entièrement spirituel et se découvre permanente lorsqu’on la cherche par des moyens spirituels. Mary Baker Eddy a indiqué cela dans Science et Santé avec la Clef des Ecritures. Elle a également signalé les écueils quand on tire des conclusions sur la base des symptômes, en écrivant, « La santé n’est pas un état de la matière, mais de l’Entendement ; et les sens matériels ne peuvent rendre un témoignage bien fondé au sujet de la santé…Toute conclusion pour ou contre, déduite de la prétendue sensation dans la matière ou de la prétendue conscience qu’a la matière de la santé ou de la maladie, au lieu de renverser le témoignage des sens physiques, confirme ce témoignage comme légitime et mène ainsi à la maladie. » (p. 120) ![]() Mon expérience m’a montré qu’une compréhension de Dieu recherchée au moyen de la prière, associée à l’attente d’une compréhension immédiate, accélère le progrès des cas. Une concentration entièrement spirituelle et une grande anticipation de la guérison aide un cas à aller au-delà des soins de confort ou la gestion des symptômes, et soutient des issues meilleures. L’attente de la guérison tourne la pensée rapidement vers ce que Dieu fait pour l’homme. Jacques a écrit, « La prière de la foi sauvera le malade, et le Seigneur le relèvera. » (5 :15) Tout le monde a le droit d’obtenir de bons résultats de la prière en Science Chrétienne. Le traitement par la prière ne suit aucun modèle de traitement médical. Le temps nécessaire à la guérison n’est pas déterminé par un diagnostic physique. Une maladie n’est pas considérée plus difficile, plus longue à traiter ou plus compliquée en soi qu’une autre. La prière dépasse la gestion des symptômes en ouvrant notre expérience au Christ guérisseur, le puissant message de guérison de Dieu à l’homme qui répond aux besoins de manière constante et efficace. C’est toujours une joie de prier pour autrui. Les practiciens de la Science Chrétienne consacrent tout le soin et attention nécessaires à la prière pour chaque cas. Mais si beau que ce soit de s’engager dans ce travail, rien n’est au-dessus d’une belle guérison. Voilà une profession où « licencié » est un mot aussi heureux que « embauché» lorsque quelqu’un est guéri. Si tu as des questions sur la pratique de la guérison en Science Chrétienne, je serais heureuse de les prendre en considération pour un billet futur sur ce même sujet. Ceci a fait bouger ta pensée ? Alors partage-le, s’il te plaît !
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Droits d'Auteur 2011-2025. Tous les droits sont réservés. Michelle Boccanfuso Nanouche, CSB. Mentions Légales. (Pages mises à jour le 3 fevrier, 2025.)
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