Avez-vous jamais essayé puis abandonné un puzzle, en vous demandant qui pourrait être assez intelligent pour y arriver ? Avez-vous jamais envié l’inspiration de quelqu’un, ou pensé, Pourquoi est-ce que je ne peux pas guérir (ou être guéri) comme les autres ?Eh bien, ne vous posez plus la question, et n’enviez plus. Vous pouvez prendre possession de l’intelligence, de la logique, de l’inspiration et du pouvoir de guérison.L’autre jour, Maud Fischer, CS, une consoeur qui écrit un blog sur la Science Chrétienne en français, a posté quelque chose de grandiose. En voici une traduction partielle. Elle a écrit : 2 + 2 = poisson 3 + 3 = huit 7 + 7 = triangle Agaçant, non ? C’est illogique, incompréhensible, cela ne veut rien dire et finalement je laisse tomber… Et pourtant il est précisé, sous ce petit casse-tête partagé sur Facebook, que : « … les gens intelligents peuvent trouver. » Ah bon ! J’y retourne, je cogite et finalement je me dis qu’il y a forcément une solution car d’autres personnes ont visiblement trouvé la réponse. Il faut certainement sortir de la logique du calcul – j’ai additionné les lettres des mots, croisé les résultats, mais en vain. Finalement je suis en train d’accepter qu’il puisse y avoir une autre logique. Et bingo ! C’est évident, il faut le comprendre sous l’angle du graphisme ! Ça y est, vous l’avez aussi ? J’ai proposé ces 3 affirmations à deux de mes petites filles (14 et 11 ans). Dans un premier temps elles ont été unanimes pour dire qu’elles ne comprenaient rien. L’aînée a essayé puis a renoncé. J’ai insisté auprès de sa sœur qui en moins de 3 secondes a répondu : « Oh facile, tu retournes les deux 7 et ça fait un triangle… », les 2 autres affirmations suivent la même logique… (Le post complet cible la pensée propre à l’enfant qui est ouverte au non-conventionnel et n’est pas verrouillée dans de vieux schémas de raisonnement. Vous pouvez le lire. Il est super.) J’ai déjà vu ce genre de casse-tête, et je l’avoue, j’ai tendance à abandonner. Mais les fois où j’arrive quand même à en percevoir la logique, ou quand quelqu’un me l’indique, je suis ravie d’être entrée dans une façon toute neuve et fraîche de considérer les choses. L’expérience de Maud et l’explication de la petite fille m’a rendu la réponse si claire. Je me suis prise au jeu et j’ai trouvé immédiatement comment étendre la logique : 1 + 1 = 11 4 + 4 = arbre 5 + 5 = vase 11 + 11= bougies d’anniversaire Amusant ! Mais ça a aussi mis en lumière le fait suivant : bien que n’ayant pas réussi à comprendre les casse-têtes, en témoignant de la vision claire d’une autre, je pouvais prendre possession de la logique et ensuite l’appliquer moi-même à des équations. Un client m’a demandé un jour si j’avais jamais été témoin de la guérison d’une certaine condition par le traitement en Science Chrétienne . J’ai répondu que oui, et j’ai raconté l’expérience en détail. A la fin de notre conversation j’ai commencé à donner le traitement en Science Chrétienne que le client m’avait demandé. En priant, j’ai été soudain terriblement gênée de réaliser que sans en avoir l’intention, j’avais menti. Je n’avais pas personnellement guéri un client de cette condition. Peu de temps auparavant j’avais lu le récit détaillé d’une telle guérison dans un périodique qui consigne officiellement des cas documentés et vérifiés de guérisons par la Science Chrétienne. « Oh là, » J’ai pensé. « Il faut que je corrige ça. » Puis j’ai réfléchi à quel degré j’avais pris possession de l’expérience. En documentant le récit, celui qui en avait fait l’expérience m’avait invitée, ainsi que tous les autres lecteurs, à entrer dans le laboratoire de l’expérience humaine afin d’être témoin du phénomène divin de la guérison spirituelle. En consentant à la logique et en l’appliquant à mes propres cas, j’avais pris pleinement possession de cette expérience. J’ai pensé à l’abondance de richesse d’inspiration, de logique et de guérison auxquelles j’avais eu accès comme témoin et consoeur scientifique dans le laboratoire avec les conférenciers, praticiens, professeurs, et auteurs partageant leur démonstrations de pouvoir divin. J’ai été témoin de tant de choses merveilleuses. A présent je me rends compte que dans la mesure où je consens à l’évidence de guérison et au raisonnement spirituel par la prière qui la produit, peu importe comment, ou le lieu où j’en témoigne, elle fait partie de moi. Plus tard j’ai fait part de mon erreur à mon client, mais non sans l’explication du droit que nous avons de prendre possession de la guérison et de l’inspiration où qu’on les trouve, même si nous ne sommes qu’indirectement impliqués comme témoins. Ne craignez pas que l’inspiration ou la guérison vous passent à côté quand vous entendez parler des expériences d’autrui à l’égard de la prière qui guérit. Dans un poème, Mary Baker Eddy, qui a découvert la Science Chrétienne a écrit que Dieu « seul peut sécher tes pleurs, Te guider vers les hauteurs Où sans fin luit la gloire du jour. » (Cantique de Communion, Poèmes 75) Pour moi cela constitue une invitation ouverte à entrer dans le laboratoire de la Science Chrétienne où le Christ—le pouvoir toujours présent de Dieu comme Amour—accueille chacun de nous et nous invite à témoigner et à vivre l’inspiration et la logique de la guérison divine.
3 Commentaires
26/10/2014 3 Commentaires Vous êtes bloqué?Quand tout est à l’arrêt et que vous avez l‘impression de n’arriver à rien, que faire ? Mon expérience récente peut servir de parabole moderne qui explique la loi divine du mouvement et du progrès, et comment vous aussi vous pouvez en faire l’expérience. En vacances aux USA, mon mari et moi étions près de notre destination ; nous avons remarqué un panneau indiquant qu’un tunnel était dégagé et qu’on pouvait y entrer. Cependant quelques kilomètres plus loin on a rencontré ce qui semblait être un parking interminable. A perte de vue, les voitures n’étaient pas qu’au ralenti; elles étaient à l’arrêt complet, moteurs coupés. Déçus, nous nous sommes installées dans le genre d’attente qui se produit lorsqu’un accident ou des travaux bloquent la circulation. Je me suis mise à prier. J’étais vraiment fatiguée et désireuse de rejoindre notre hôtel. Mais ceci avait l’air d’être un de ces exercices d’endurance en attendant que tout rentre dans l’ordre. J’ai pensé que je devais prier pour avoir de la patience et pour maintenir une ambiance de gaité dans la voiture. Mais ce que je trouve intéressant à propos de la prière : lorsque nous relâchons le contrôle ; que nous laissons l’Entendement divin dérouler Ses idées de la Cause parfaite jusqu’à l’effet parfait, il arrive que nous soyons dirigés vers une ligne de pensée complètement différente de ce que nous supposions au départ. J’ai initié ma prière en affirmant que l’Entendement qui est Dieu est la source de tout mouvement de l’univers. En plongeant plus profondément dans ce qu’impliquait cette vérité spirituelle, je me suis demandé si un embouteillage pouvait avoir réellement un lieu, un pouvoir ou une réalité . Quelque chose ne collait pas. Pourquoi est-ce que je devais composer avec quelque chose qui ne pouvait pas vraiment exister ? D’un coup ma prière a décollé comme une fusée , m’emmenant dans les faits divins de l’ordre, du mouvement et de la position parfaite de toutes les idées de Dieu dans Son univers spirituel. Le divin et le spirituel ne sont pas quelque chose d’éloigné. Ce n’est pas une chose intellectuelle—si par là on entend « dans notre tête. » C’est la réalité présente dont nous, en tant que création spirituelle de Dieu, pouvons témoigner là où nous sommes. Au lieu de prier pour résoudre les séquelles d’un accident, ou la cascade d’interruptions des emplois du temps résultant d’autres retards, j’ai vu qu’un blocage quel qu’il soit n’est pas réel. On n’a pas à le supporter avec patience. L’Entendement divin annule toute cause matérielle et ses effets indésirables par la loi divine de l’Entendement—la loi qui maintient l’ordre, le mouvement et la position parfaite de toutes les idées de l’Entendement. Maintenant, voici ce qui était super : On était assis dans la voiture, moteur coupé, depuis environ trois minutes. Soudain, les voitures devant nous ont démarré et ont commencé à avancer. Je ne dis pas qu’elles avançaient comme des escargots. Quand on a démarré, on est passé immédiatement de 0 à 80 kms/h et on n’a jamais plus ralenti. En passant dans le tunnel, on n’a vu aucun signe ni d’accident, ni de travaux, aucun panneau routier, rien qui puisse passer pour la cause matérielle d’un arrêt prolongé. Sous le titre marginal de « Causation mentale », Science et Santé avec la Clef des Ecritures » par Mary Baker Eddy explique comment le fait de comprendre que la Science de cause et effet a son origine dans l’Entendement, permet de briser les obstacles. On lit, « La Science Chrétienne explique toute cause et tout effet comme étant mentaux, non physiques. Elle lève le voile de mystère qui couvre l’Âme et le corps. Elle montre la relation scientifique de l’homme à Dieu, démêle les ambiguïtés enchevêtrées de l’être et libère la pensée emprisonnée. En Science divine, l’univers, y compris l’homme, est spirituel, harmonieux et éternel. » (p. 114) Plus loin Mary Baker Eddy élargit la discussion : elle explique comment l’Entendement comme Principe, ou législateur, ne compose pas avec l’illusion d’un blocage sous forme de péché, maladie ou mort, mais qu’il repose absolument sur une compréhension des faits de l’Entendement. Elle écrit, « L’Entendement est la source de tout mouvement, et il n’y a pas d’inertie qui retarde ou arrête son action perpétuelle et harmonieuse. L’entendement est la même Vie, le même Amour et la même sagesse ‘ hier, aujourd’hui et éternellement’. La matière et ses effets—le péché, la maladie et la mort—sont des états de l’entendement mortel qui agissent, réagissent et puis s’arrêtent. Ce ne sont pas des faits de l’Entendement. Ce ne sont pas des idées, mais des illusions. Le Principe est absolu. Il n’admet aucune erreur, mais repose sur la compréhension. » (p. 283) Nous n’avons pas besoin de prier pour débloquer ce qui ne saurait jamais être bloqué, ni pour composer avec ce qui n’a aucune réelle cause spirituelle. L’ordre et le mouvement du bien divin est impossible à arrêter pour nous en tant que création de l’Entendement. Apprenez à connaître le divin Entendement. Faites-lui confiance. Pour citer l’Evangile selon Jean, « Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira. » (Jean 8 :32) D’où venons-nous ? Où allons-nous ? Et quand nous avons des problèmes, à qui la faute ? Ces questions nous confrontent tous à un moment ou un autre. Des parents qui soignent un enfant malade pourraient se demander, « Qu’est-ce que j’ai fait, ou pas fait, pour que ça arrive ? » Un enfant peinant à accomplir une tâche que ses camarades feraient avec facilité pourrait se demander, « Est-ce que je serai jamais comme les autres enfants ? » Naturellement, des questions ardues comme celles-ci nous émeuvent. Mais pour trouver les solutions il faudrait sans doute faire plus que se focaliser sur les problèmes devant nous. Les disciples de Jésus lui ont posé la question une fois au sujet d’une infirmité physique—à qui la faute ? Est-ce que l’homme a fait quelque chose de mal ? Ou bien ses parents, pour qu’il « naisse comme ça ? » Leurs prières n’avaient pas été capables de guérir l’homme. Nous n’en savons rien, mais peut-être que la frustration et la crainte à l’égard de l’avenir de l’homme s’étaient mises en place. Jésus leur a répondu que ni l’un ni les autres n’était en cause. Et même, il les a détournés de toute considération à propos de la faute et de la cause de l’infirmité—voire de l’infirmité même. Il a déclaré que seules les œuvres de Dieu, c’est-à-dire du Bien divin, étaient manifestées en cet homme. Il a redirigé l’attention de l’infirmité matérielle vers la divine capacité de Dieu de faire ressortir seulement la perfection et la bonté. Or la différence entre l’approche des disciples et celle de Jésus était aussi claire que la différence entre la nuit et le jour. Mais le point de vue de Jésus conduisait à la guérison, tandis que celle des disciples aurait laissé l’homme enlisé dans le problème. La perspective-Christ—le divin message de l’origine spirituelle de l’homme et de sa bonté innée—guérit. Elle n’enseigne pas comment faire face ni même à expliquer les problèmes. Elle les guérit complètement. Je pense que c’est cela qui séparait Jésus des docteurs et aidants auprès des malades qui l’avaient précédé. Par cette méthode consistant à se tourner vers Dieu, identifiant la loi du Bien de Dieu dans chaque cas, et renversant tout ce que les croyances matérielles du moment prétendaient au sujet de la maladie, il ne doutait jamais de la guérison de ses cas. Il faisait appel à la loi de Dieu de la même manière qu’un mathématicien fait appel aux faits des mathématiques. Il travaillait avec des solutions, pas sur des problèmes. Pour en savoir davantage sur la méthodologie de Christ Jésus, consultez ces liens : · Leçons de l’histoire des cochons fous 23/02/2012 · Une leçon de concentration par Christ Jésus—et mon chat 20/12/2012 · La théologie simple qui guérit 8/10/2013 · Quand Jésus parle, puis crache à terre 04/11/2012 · Quel est ton nom ? 13/12/2013 « Toutes les 26 minutes un pasteur quitte son ministère pour ne jamais revenir. » Ce titre étonnant est apparu dans un e-mail transmis par une amie. J’ai fait les calculs. Cela fait environ 1500 chaque mois. Mais que se passe-t-il ? Je croyais que les pasteurs comptaient parmi les gens les plus heureux de la terre ! Mais c’est vrai aussi pour ceux qui vont à l’église, non ? Cependant globalement les adhésions aux églises sont en baisse. Qu’est-ce qui pourrait en être la cause ? Le burnout ? « TRAHI : l’ADN du tueur du Clergé », un documentaire de 2012, suggère quelque chose de bien plus sinistre. Le film suggère qu’un élément du mal est tapi, le plus souvent non détecté, dans les congrégations un peu partout dans le monde ; l’objectif du film est de le démasquer. Selon un pasteur, « Tant de pasteurs sont détruits par le mal et des gens malveillants dans la vie de l’église, des gens qui voudraient saisir le pasteur à la gorge. » Un autre ajoute, « Il peut s’agir d’un ou deux ou de huit à dix individus dans une congrégation qui s’adonnent à des buts malveillants pour leurs propres bénéfices narcissiques. » Un troisième affirme, « Ces gens qui agissent avec un cœur vicieux sont souvent appelés tueurs de clergé. » En outre, le film affirme qu’on en trouve, bien qu’en nombre restreint, dans virtuellement chaque congrégation ; ils en constituent un petit pourcentage par rapport à la totalité. Le but du film est de servir d’avertissement à l’attention aussi bien du clergé et que des congrégations, afin qu’ils se réveillent et commencent à s’occuper des éléments qui font un travail de sape, attaquent, et chassent le bien dans nos églises. Je ne crois pas utile de personnaliser le mal en l’attachant à des personnes en particulier ; cependant point n’est besoin d’être spécialiste d’engins spatiaux pour observer que trois sortes d’éléments mentaux apparaissent parfois au sein de bien des congrégations—certains comportent des aspects utiles, d’autres pas tellement. Le premier prend la forme d’une bonne volonté énergique et inspirée—appelons-le la mentalité « Va-Va »--où l’on consacre un gros effort à la prière et à d’authentiques bonnes ouvres pour soutenir l’église et sa mission. Mais parfois cette énergie et ce dévouement sont sapés par un sens de bienfaisance humaine. Les activités de l’église acquièrent une vie qui leur est propre et le lien à Dieu—où l’Esprit divin est la source de toutes bonnes idées et du pouvoir de les exécuter—se perd. Le travail au sein de l’église devient un fardeau et les autres membres semblent plus comme des adversaires que des collègues engagés dans l’accomplissement d’objectifs communs. Puis on a ce qu’on peut qualifier de perspective « Ciel Bleu », exprimée par de bonnes intentions et des espoirs pour l’église. Mais puisque cet état mental manque de vision, d’intention ou de volonté, il est facilement influencé par les opinions d’autrui ou par la menace de tout nuage sombre qui essaie de perturber son sens d’harmonie. Une troisième condition mentale comprend l’atermoiement et la résistance à tout progrès ou changement. Un bon nom pour cela est la mentalité « Non-Non ». Bien plus que la négativité, cette condition apparaît parfois bénigne et elle peut même avoir l’air de soutenir le leadership et la direction de l’église ; mais ce n’est pas le cas. Parfois elle peut même utiliser la méthode de persuasion lénifiante afin d’attirer les autres à sa cause laquelle, à l’insu même de celui qui l’exprime, vise à arrêter l’avancement et l’efficacité de l’église dans la communauté. L’attitude « Non-Non » , par une abondance de négativité exprimée à haute voix mais aussi silencieuse, enlève de l’église la joie et l’inspiration. Bien souvent, on l’ignore ou on la tolère, jusqu’à ce qu’elle achève son travail de sape. Le comportement « Non-Non » pourrait détruire la réputation d’un pasteur afin qu’on le renvoie de l’église. Dans d’autres cas elle décourage tant ceux qui pensent « Va-Va » et « Ciel Bleu » qu’ils quittent le navire en toute hâte ou s’éloignent sans faire de bruit. Quand ces scénarios se déroulent, les congrégations pensent avoir affaire à un problème local. Mais à présent force est bien de l’examiner comme un phénomène mondial. Alors qu’est ce qui est vraiment à l’œuvre ici ? Et qu’est- ce qu’on peut faire ? La Bible fait référence au mal avec les termes : diable, Satan, ou l’Adversaire. Ni Satan ni le mal ne sont une personne véritable. Le diable ou le mal sont une fausse prétention du pouvoir ou une opposition à Dieu qui est vraiment le bien universel et omnipotent—l’unique vrai pouvoir. Le mal est un faux semblant. Il est hypothétique, ce qui fait allusion à sa nature, conçue pour tromper. Voilà l’exacte description du mal tel que le décrit l’allégorie dans Genèse 3, qui explique le mal et ses origines. Dans l’allégorie un serpent qui parle dit un mensonge et usant de son pouvoir de séduction, convainc Eve de désobéir à Dieu, et au contraire de faire selon la volonté du serpent. Etant elle-même tombée dans le piège tendu par le serpent, Eve à son tour utilise son influence pour convaincre son mari de la suivre sur le même chemin. Il nous arrive parfois d’oublier que, bien que fictifs, ces personnages ne sont pas sans défense dans cette allégorie. Eve et Adam savaient ce qu’ils devaient faire. Mais ils ont accepté les arguments subtils d’un serpent au lieu de les exclure promptement et résolument. Et bien sûr, selon l’histoire, les conséquences de cette décision ont été bien tristes. Je pense que cette allégorie indique une ou deux choses. 1) Le mal n’est pas personnel. Tandis que nous pourrions nous voir face au mauvais côté de l’une de ses façons de penser dans l’église (Va-Va, Ciel Bleu, Non-Non) , nous pouvons faire une correction. Personnaliser le mal, ou accepter du crédit personnel pour le bien dans l’église n’est jamais sain. En revanche, séparer le mal de la personne et permettre à Dieu, source et pouvoir du bien, de guider l’église et ses membres, cela est toujours sain. Avec de la vigilance et du courage moral nous pouvons rejeter le serpent -- l’influence négative qui chercherait à perturber notre expérience de l’église. Nous pouvons faire porter la responsabilité sur le serpent toute la journée pour tout ce qui, selon nous, ne fonctionne pas dans l’église, mais il vient un moment où la raison prend le dessus et alors nous devons admettre que les serpents qui parlent ne sont pas vrais. Nous n’avons pas à être dupés. 2) Le bien est l’unique influence réelle et permanente. Une fois relatée l’histoire compliquée du mal, la Science Chrétienne découvre qu’Adam et Eve ne sont que des croyances basées dans la matière qui suggèrent que nous avons tous des faiblesses de caractère innées, comme si Dieu nous avait vraiment créés comme cela. La véritable narration de notre origine et condition est donnée dans Genèse 1 où l’homme de Dieu est révélé par la lumière et la révélation spirituelles comme ayant été formés par l’Esprit, et qu’il est par conséquent entièrement spirituel et bon. L’homme vrai, créé par Dieu, possède la domination sur toute suggestion rampante du mal. Et par nos prières et notre alignement avec cette vue véritable de l’origine de l’homme, nous pouvons nous éveiller au pouvoir inné du bien comme seule influence durable et vraie sur l’église. C’est ce que faisait Christ Jésus. Il a affronté l’assaut mental du mal supposé à l’occasion de ce qu’on appelle « la tentation du Christ. » (voir Matthieu 4) Le diable, appelé très à propos le tentateur dans ce scénario, a fait une promesse qu’il ne pouvait tenir, si seulement Jésus se prosternait et adorait ce fourbe. Jésus n’a pas perdu de temps à considérer ses options. Avec force il a renié cette suggestion pernicieuse, disant, « Va-t’en, Satan. » C’est ainsi que fut mis en échec la tentative de le faire abandonner sa mission et l’attente du monde. Mary Baker Eddy, découvreuse de la Science Chrétienne et premier Pasteur de l’Eglise du Christ, Scientiste, avait appris par expérience que lorsque l’on gardait la porte de notre pensée, le bien-être et la sécurité individuels, ainsi que le progrès de l’église, en résultaient. Elle encourageait ses élèves à suivre l’injonction biblique, « Ayez en vous les sentiments qui étaient en Jésus-Christ. » (Philippiens 2 :5) On peut la paraphraser de la manière suivante : « Pensez à vous-mêmes de la manière dont Christ Jésus pensait à lui-même ». (Peterson, Le Message (traduction libre) Christ Jésus savait que lui et tous ceux qui l’entouraient étaient façonnés par l’Esprit et que leur pouvoir venait seulement du Bien divin. Il refusait d’être, et en fait ne pouvait être trompé afin de suivre un chemin conduisant à l’auto-destruction ou à la mise en péril d’autrui. La conscience de cette bonté divine en nous et chez nos frères membres de l’église nous rend forts et courageux. Elle maintient notre concentration sur notre vraie mission dans le monde et sur la vision de Dieu pour Son église. Emplis de la bonté qui vient de Dieu, notre Entendement divin, nous sommes naturellement protégés des suggestions maléfiques, et nous trouvons ainsi que nous pouvons maintenir le cap, aidant nos frères et sœurs à prendre position pour le bien dans l’église et en faveur du progrès dans la communauté. Mrs. Eddy explique : « L’orgueil égoïste de celui qui médite le mal se retourne contre lui lorsqu’il veut nuire aux autres. La bonté résiste involontairement au mal. Celui qui médite le mal est celui qui parle et agit avec arrogance. Celui dont la pensée est juste demeure à l’ombre du Tout-Puissant. Ses pensées ne peuvent refléter que la paix, la bonne volonté envers les hommes, la santé et la sainteté. » (Première Eglise du Christ, Scientiste et Miscellanées, 210) Georgia Bulloch CSB est praticienne et professeur de la Chrétienne dans la région de Houston Texas USA. Pour en en savoir plus sur Georgia et son travail, vous pouvez visiter son site. Vous pouvez la contacter directement à [email protected] |
BIENVENUE!
|
INFORMATION |
SERVICES |
9 rue, d'Edimbourg, 75008 PARIS 01.43.87.03.17 06.82.67.03.17 [email protected] SIRET-9377197600021
Droits d'Auteur 2011-2025. Tous les droits sont réservés. Michelle Boccanfuso Nanouche, CSB. Mentions Légales. (Pages mises à jour le 6 janvier, 2025.)
Droits d'Auteur 2011-2025. Tous les droits sont réservés. Michelle Boccanfuso Nanouche, CSB. Mentions Légales. (Pages mises à jour le 6 janvier, 2025.)