D’où venons-nous ? Où allons-nous ? Et quand nous avons des problèmes, à qui la faute ? Ces questions nous confrontent tous à un moment ou un autre. Des parents qui soignent un enfant malade pourraient se demander, « Qu’est-ce que j’ai fait, ou pas fait, pour que ça arrive ? » Un enfant peinant à accomplir une tâche que ses camarades feraient avec facilité pourrait se demander, « Est-ce que je serai jamais comme les autres enfants ? » Naturellement, des questions ardues comme celles-ci nous émeuvent. Mais pour trouver les solutions il faudrait sans doute faire plus que se focaliser sur les problèmes devant nous. Les disciples de Jésus lui ont posé la question une fois au sujet d’une infirmité physique—à qui la faute ? Est-ce que l’homme a fait quelque chose de mal ? Ou bien ses parents, pour qu’il « naisse comme ça ? » Leurs prières n’avaient pas été capables de guérir l’homme. Nous n’en savons rien, mais peut-être que la frustration et la crainte à l’égard de l’avenir de l’homme s’étaient mises en place. Jésus leur a répondu que ni l’un ni les autres n’était en cause. Et même, il les a détournés de toute considération à propos de la faute et de la cause de l’infirmité—voire de l’infirmité même. Il a déclaré que seules les œuvres de Dieu, c’est-à-dire du Bien divin, étaient manifestées en cet homme. Il a redirigé l’attention de l’infirmité matérielle vers la divine capacité de Dieu de faire ressortir seulement la perfection et la bonté. Or la différence entre l’approche des disciples et celle de Jésus était aussi claire que la différence entre la nuit et le jour. Mais le point de vue de Jésus conduisait à la guérison, tandis que celle des disciples aurait laissé l’homme enlisé dans le problème. La perspective-Christ—le divin message de l’origine spirituelle de l’homme et de sa bonté innée—guérit. Elle n’enseigne pas comment faire face ni même à expliquer les problèmes. Elle les guérit complètement. Je pense que c’est cela qui séparait Jésus des docteurs et aidants auprès des malades qui l’avaient précédé. Par cette méthode consistant à se tourner vers Dieu, identifiant la loi du Bien de Dieu dans chaque cas, et renversant tout ce que les croyances matérielles du moment prétendaient au sujet de la maladie, il ne doutait jamais de la guérison de ses cas. Il faisait appel à la loi de Dieu de la même manière qu’un mathématicien fait appel aux faits des mathématiques. Il travaillait avec des solutions, pas sur des problèmes. Pour en savoir davantage sur la méthodologie de Christ Jésus, consultez ces liens : · Leçons de l’histoire des cochons fous 23/02/2012 · Une leçon de concentration par Christ Jésus—et mon chat 20/12/2012 · La théologie simple qui guérit 8/10/2013 · Quand Jésus parle, puis crache à terre 04/11/2012 · Quel est ton nom ? 13/12/2013
1 Commentaire
Roger M
24/10/2014 16:00:10
Merci beaucoup Michelle pour ce beau message rafraîchissant. Christ Jésus le grand métaphysicien a pratiqué brillamment la guérison-Entendement et sa méthodologie est encore actuelle et toujours efficace. Il savait que le sujet de la prière est toujours Dieu et Il n'est jamais dans le problème. Christ Jésus renversait le, le mécanisme de l'entendement humain en identifiant la nature réelle de l'homme. Il savait que l'homme est l'expression de la nature parfaite de Dieu. Il se focalisait sur ce fait et non sur le problème qui n'est qu'une croyance orchestrée par l'entendement humain. Cet entendement nourri au départ par les sens, déroule un questionnaire qui fait croire à l'homme qu'il y'a un problème à guérir. En reconnaissant la totalité de Dieu dans chaque cas, Christ Jésus a démontré à la lumière de ses nombreuses même des cas jugés incurables que la loi de Dieu du bien toujours présente et omniactive, apporte des solutions harmonieuses à chaque cas. Se focaliser sur un problème au lieu de se tourner radicalement vers Dieu pour avoir des solutions, ressemble bien à un cafard enfariné. En comprenant qu'on est maintenant enfant de Dieu (1Jean3:1), on fait recours à la méthodologie de Christ Jésus pour vaincre n'importe quel problème, en sachant que rien, vraiment rien, ne peut s'opposer au pouvoir guérisseur de Dieu.
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