Question : « Comment peut-on guérir quelqu’un qui a perdu son sens de l’orientation, qui est sourd à 80 pour-cent, qui ne sait plus qui il est, ou avec qui il se trouve ? Je crois en la guérison spirituelle. Je désire voir une telle guérison pour cet homme. » Réponse : La prière est particulièrement utile dans de tels cas parce qu’elle permet de contourner les lignes de la communication humaine en panne et élève le cas directement jusqu’à Dieu. La prière implique l’engagement du sens spirituel, qui est la capacité innée propre à chacun de discerner la réalité spirituelle. A travers le sens spirituel nous pouvons discerner la nature véridique et présente de Dieu et de l’homme ; nous pouvons prouver que personne n’est hors de la portée de la sollicitude de Dieu. Quand les sens matériels tombent en panne, un cas peut sembler impossible à atteindre. Mais cette évidence de détérioration ne fait qu’indiquer une croyance mortelle que l’homme est coupé du bien. En réalité cela n’est jamais le cas. Personne n’est sans espoir ni secours. Vos prières qui recherchent la perspective de Dieu sur Sa création peuvent te guider vers la vérité au sujet des sens matériels—qu’ils ne limitent ni ne définissent les capacités d’un homme. Quand nous nous arrêtons de nous faire du souci sur ce qui semble limiter la personne et que nous découvrons que la vraie vie est sans limites et libre en Dieu, la porte s’ouvre toute grande pour la guérison. L’identité et la liberté de chacun des enfants de Dieu sont intacts et en sécurité. Jamais séparée de la Vie divine qui est Dieu, la vie véritable est complètement libre des conditions matérielles et leurs limites. Nous ne sommes pas obligés d’attendre un quelconque moment dans l’au-delà pour éprouver la liberté de l’être spirituel. Il est entièrement possible de découvrir par la prière cet état présent de l’existence. Une note marginale, « L’identité n’est pas perdue » apparaît deux fois dans Science et Santé avec la clef des Ecritures par Mary Baker Eddy : « Qu’est-ce que l’homme ? Le cerveau, le cœur, le sang, les os, etc., la structure matérielle? Si l’homme réel est dans le corps matériel, vous enlevez une portion de l’homme lorsque vous l’amputez d’un membre ; le chirurgien détruit l’humain et les vers l’annihilent. Mais la perte d’un membre ou la lésion d’un tissu est quelquefois ce qui réveille en l’homme sa vraie nature ; et le malheureux estropié peut faire preuve de plus de noblesse de caractère que le superbe athlète—nous enseignant, en dépit même de son infortune, qu’« un homme est un homme malgré tout. » « Le corps et l’entendement matériels sont temporels, mais l’homme réel est spirituel et éternel. L’identité de l’homme réel n’est pas perdue, mais trouvée grâce à cette explication ; car par elle l’infinitude consciente de l’existence et de toute identité est discernée et demeure inchangée. Il est impossible que l’homme perde quoi que ce soit de réel, puisque Dieu est tout et que l’homme Le possède éternellement. La notion que l’entendement est dans la matière et que les prétendus plaisirs et douleurs, la naissance, le péché, la maladie et la mort de la matière sont réels, est une croyance mortelle ; et cette croyance est tout ce qui sera jamais perdue. » (302) · Si tu es préoccupé parce que tes prières « ici » pourraient ne pas toucher celui qui est dans le besoin « là-bas », sois tranquille. Il a été prouvé scientifiquement que si une seule conscience humaine discerne la vraie nature de l’homme, ce discernement peut libérer d’autres de leurs fausses croyances les concernant. Christ Jésus discernait l’homme parfait que la Vérité divine, Dieu, crée et maintient. Il le faisait dans des cas où, aux sens matériels, le patient semblait complètement hors d’atteinte. (Voir la guérison de la fille de Jaïrus, Evangile selon Luc 8 :41-56 ; et la résurrection de Lazare, Evangile selon Jean, chapitre 11). Jésus prouvait que personne n’est coupé de l’Amour qui et Dieu. Il discernait le royaume de Dieu au-dedans de nous—la capacité spirituelle de connaître et d’exprimer la Vie qui est Dieu. · Mary Baker Eddy a expliqué, « Jésus dit en parlant des enfants de Dieu, non des enfants des hommes : ‘Le Royaume de Dieu est au-dedans de vous!’ ; c’est-à-dire la Vérité et l’Amour règnent dans l’homme réel, ce qui montre que l’homme à l’image de Dieu n’est pas déchu, et qu’il est éternel. Jésus voyait dans la Science l’homme parfait, qui lui apparaissait là où l’homme mortel pécheur apparaît aux mortels. En cet homme parfait le Sauveur voyait la ressemblance même de Dieu, et cette vue correcte de l’homme guérissait les malades. Ainsi Jésus enseignait que le royaume de Dieu est intact, universel, et que l’homme est pur et saint. L’homme n’est pas une habitation matérielle pour l’Ame ; il est lui-même spirituel. L’Ame, étant Esprit, ne se trouve en rien d’imparfait ou de matériel. » (476) Jésus n’illustrait pas une exception à la règle. Il montrait que le pouvoir de guérir appartient à chacun de nous et peut être démontré quand nous comprenons qui nous sommes en tant qu’enfants de Dieu. La perspective divine qui guérit les malades et nous élève ainsi que les autres au-dessus de l’inconscience du sens matériel est à la disposition de tout individu qui veut bien le chercher. Tes prières sont importantes. Que ta recherche de la guérison commence par approfondir et élargir ta compréhension de la vraie nature de Dieu. La Bible et Science et Santé sont les outils indispensables pour t’aider dans tes prières. Laisse-les t’ouvrir les yeux à ce que voit Dieu, et à ce qu’Il fait en ce moment même pour Sa création. 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1 Commentaire
En réalité, je crois que personne ne me déteste. Ou plutôt, si quelqu’un a l’impression de me détester, c’est qu’il ne me connaît pas vraiment. Je suis adorable. Mais je me rappelle une nuit où j’étais assise devant la chambre de ma fille dont la porte était fermée à clé, et j’ai écouté ma fille hurler « Je te déteste ! » et ça a duré des heures. Je comprenais. J’avais foiré et je l’avais embarrassée devant ses amis. Je me sentais mal et j’ai présenté mes excuses. Mais cela ne semblait pas suffisant et la fureur a continué. La blessure de ces paroles était cinglante, et à la longue, j’ai été obligée de les écarter. C’était la colère qui parlait—la colère et l’embarras déguisés en haine. Je n’avais qu’une solution. Rester assise devant la porte et, aimer silencieusement en retour. Pour chaque « Je te déteste, » j’ai pensé, « Non, ce n’est pas vrai. Tu aimes. L’amour est ta substance. Ni personne ni rien ne peut te le retirer. » J’ai prié des heures cette nuit-là ; j’ai aussi lu des cantiques afin de me rappeler que Dieu nous aime tous. L’Amour n’énumère pas les erreurs, n’archive pas les péchés, pardonne et ouvre notre cœur au pardon. J’ai rendu l’amour pour chaque « Je te déteste » jusqu’à ce que le calme descende sur la maison et que nous puissions dormir toutes les deux. Avec tous les actes violents, haineux, perpétrés au nom d’une cause quelconque, de quelque blessure non encore guérie, ou d’un embarras, ou d’une colère, ou de toute autre forme d’aliénation mentale—je continue à penser, « Ah, non, ça suffit, la haine ! tu ne vas pas gagner. Si je dois rester éveillée plein de nuits pour prier afin de comprendre vraiment ce que signifie aimer ceux qui haïssent –je refuse d’accepter l’idée qu’il existe un endroit dans cet univers ou un coin dans un seul cœur qui ne puissent être atteints et guéris pas l’amour. L’Amour divin est déjà là. Ni rien ni personne ne peut nous enlever l’amour de Dieu qui est en nous. La haine n’est pas vainqueur. Jamais, pas une seule fois. Quel que soit le déguisement de la haine, l’Amour s’oppose au mensonge. « Et l’Amour se reflète dans l’amour. » (Science et Santé avec la Clef des Ecritures, Mary Baker Eddy, 17) Peu importe de qui se fait ou ce qui se dit, nous sommes conçus dans le but d’aimer et cela ne peut jamais jamais nous être retiré. « Seul l’œil mortel voit l’embûche, le rets ; Notre refuge est dans l’Amour divin, Et du Très Haut la demeure est tout près : Son bras encercle tendrement les Siens. » (extrait du poème « Prière du Soir de « Mère », par Mary Baker Eddy, Poèmes, 3) Ceci a fait bouger ta pensée ? Alors partage-le, s’il te plaît !
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Pour t’abonner, va en haut de la page, entre ton mail dans la colonne de droite. C’est gratuit, sans pub ni spam. Vous pouvez visiter: PAGE D'ACCUEIL DU SITE-WEB MES AUTRES DOCUMENTS PUBLIES 19/2/2013 2 Commentaires Le Vieillissement « Tu n’es jamais trop jeune pour commencer à t’occuper du problème du vieillissement. » J’avais environ 18 ans quand j’ai entendu cela pour la première fois. On pourrait croire qu’il s’agissait d’un conseil de se laver la figure et d’utiliser une bonne crème hydratante, mais je savais que cette personne me disait de prier pour connaître mon être éternel, intemporel comme une idée spirituelle, un reflet de Dieu. Je me souviens d’avoir pensé que c’était une super idée. Mais je ne l’ai pas mise à exécution. Alors, quand j’avais passé le cap des trente ans, et que j’ai développé des symptômes d’arthrose sur une de mes mains, je me sentais coupable et effrayée. Toutes les pensées du style « j’aurais dû, j’aurais voulu, j’aurais pu » m’ont presque mise KO. Je me suis réprimandé avec la question, Pourquoi est-ce que je ne m’en suis pas occupée plus tôt ? Maintenant que le problème était installé, j’avais l’impression qu’il était trop tard. Dupée par la culpabilité et la crainte, j’ai ignoré le problème pendant un long moment. Puis la condition s’est aggravée et mes articulations se sont déformées. A peu près à cette époque je suis tombée sur une prophétie dans la Bible qui m’a rassurée que, quoi qu’il arrive, il n’est jamais trop tard pour prier et être guéri. Faisant allusion au pouvoir de Dieu de répondre à tout besoin humain à tout moment, même quand tout espoir semble impossible, Esaïe a écrit, « Il ne brisera point le roseau cassé, Et il n’éteindra point la mèche qui brûle encore. » (42 :3) J’ai pensé à une fleur à la tige cassée, et à une bougie soufflée, sans rien d’autre qu’une trace de fumée dans l’air pour indiquer la flamme qui avait existé. L’Esprit divin peut restaurer la vie là même où elle paraît finie. J’ai cessé de me condamner et je me suis mise à prier en vue de la guérison. J’arrive encore à me rappeler certains éléments de cette prière parce qu’ils ont produit des résultats si rapides et mémorables. J’ai considéré un énoncé pris dans Science et Santé avec la Clef des Ecritures par Mary Baker Eddy : « Mesurer la vie aux années solaires, c’est spolier la jeunesse et revêtir de laideur la vieillesse. Le soleil radieux de la vertu et de la vérité coexiste avec l’être. L’état d’homme en est l’éternel midi dont l’éclat n’est jamais obscurci par un soleil couchant. » (246) La pensée principale que j’en ai tirée était que je ne grandissais pas pour atteindre un midi parfait et éternel ; je ne déclinais pas non plus de mon point le meilleur et le plus élevé. Pour faire cesser la maladie dans son entreprise de vieillissement, je devais me voir comme éternellement spirituelle. La spiritualité devait se comprendre comme mon état permanent et non pas simplement comme le produit du développement humain. En priant à propos de ce que cela signifiait d’être pleinement spirituelle maintenant, équipée pour être et faire tout ce que Dieu préparait pour moi dans la vie, j’ai regardé les articulations douloureuses et déformées et je me suis dit à haute voix, « Cela n’a rien à voir avec moi. » Je me rappelle qu’en me réveillant le lendemain, j’ai découvert que mes articulations étaient lisses, souples, sans douleur, est restaurées à leur couleur et fonction normales—en un mot, parfaites. Au cours des années qui ont suivi, aucun symptôme analogue ne s’est reproduit. Bien sûr, nous ne sommes jamais trop jeunes pour nous attaquer aux problèmes de l’âge. Ou trop vieux, d’ailleurs. Il me semble que comprendre Dieu comme Esprit et ce que cela signifie d’être véritablement et pleinement spirituel en tant que création de Dieu, c’est la clé. |
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