Le temps ne te plaît pas ? « Attends une minute. » La météo est capricieuse ? « Mère Nature fait les siennes. » Un ouragan ? « C’est un acte de Dieu. » La Nature et Dieu sont souvent victimes de fausses accusations, concernant le temps qu’il fait. Cette boutade à propos de Mère Nature est une manière de plaisanterie, mais beaucoup croient Dieu responsable d’événements dangereux et destructeurs. Cependant, il y en a qui rejettent cette croyance. Un gouverneur du Sud des US a refusé de signer un projet de loi d’aide d’urgence, tant qu’on ne supprimait pas l’allusion à l’orage destructeur comme ayant été « un acte de Dieu ». J’ai applaudi ! Comment est-ce que l’on peut réfléchir au sujet du temps quand il est impératif que la météo soit bonne pour un jardin (pluie), pour un défilé (soleil, mais pas trop), ou pour un mariage en plein air (parfait conviendra très bien, merci !) ? C’était ce dernier exemple qui consumait ma pensée quand nous étions en train de mettre au point le mariage de notre fille aînée. Il devait avoir lieu dans la magnifique Roseraie de la ville. A l’une extrémité du demi-hectare de roses se trouvait un ravissant kiosque qui était parfait pour servir les rafraîchissements. A l’autre bout, une fontaine gazouillait au milieu d’une petite pièce d’eau. Les invités allaient se placer à proximité. Trois violonistes appartenant à l’orchestre Symphonique allaient se charger de la musique. C’était un arrangement parfait, à un détail près. Il n’y avait pas de plan de repli pour les invités en cas de---pluie ! Un mois avant le mariage, on se surprenait à vérifier le bulletin météo chaque jour, parfois deux fois par jour. On feuilletait l’almanach. Nous étions obnubilés par le sujet du temps. Un jour, il m’est venu à l’esprit que nous prenions la « température du temps » comme une maman le ferait pour son enfant. Jusqu’alors nous avions toujours traité nos défis par la prière. Pourquoi pas celui-ci ? Donc on a coupé les bulletins météo à la télévision. On a rangé l’almanach sur une étagère. En priant, nous ne pensions pas contrôler le temps ; au lieu de cela, nous nous sommes mis à réfléchir spirituellement à propos de ce fait Dieu pour Sa création, à commencer par la Prière du Seigneur : « …Que Ta volonté soit faite, sur la terre comme au ciel… » Nos prières ont affirmé que la volonté de Dieu est bonne, toujours bonne, et toujours ici—sur la terre—prenant soin de nous et de tout le monde. Nous nous attendions à ce que nos vies soient plus « célestes » parce que nous étions réceptifs à Sa bonne volonté. Nous adorions l’idée que l’harmonie est Sa loi et n’est jamais interrompue. Notre prière a fait ressortir des mobiles désintéressés, aussi. Nous voulions que le fermier ait de la pluie s’il en avait besoin, même le jour du mariage. Nous voulions que les pique-niques et des défilés aient du soleil et des brises douces pour que leur journée soit parfaite. Et, c’était OK de s’attendre à ce que le jour du mariage en plein air soit sans pluie ! Quand le grand jour est arrivé, je m’en suis tenue à ces idées. Des amies m’ont accompagnée pour installer les rafraîchissements sous le kiosque. On s’est beaucoup amusées. Puis j’ai regardé dehors. Il pleuvait. J’ai pensé, « Je n’y crois pas ». Et je n’y ai pas cru. Je savais que la seule volonté de Dieu est pour le bien sur la terre comme au ciel. Donc, nous avons continué les préparations, sommes rentrées nous habiller, retournées au jardin, et attendu. Au moment où les premiers invités commençaient à arriver, la pluie a cessé. Le soleil est apparu. Les roses recouvertes de gouttelettes de pluie étincelaient. L’air était rempli de notes de Beethoven et de Mozart. La noce s’est déroulée comme prévu. C’était divin. On a servi les rafraîchissements. Puis, alors que les invités prenaient congé… …une douce petite pluie s’est mise à tomber. « Que mes instructions tombent comme la pluie, Que ma parole tombe comme la rosée, Comme des ondées sur la verdure…Répondez à la grandeur de notre Dieu ! » (Deutéronome 32 :2,3, Le Message, Eugene Peterson, traduction libre)
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18/10/2013 0 Commentaires Moi, je chanterais ta chanson Bernard Meltzer, animateur vedette d’une émission de radio interactive appelé « Quel est ton Problème ? » (diffusée aux USA) a remarqué une fois, « Un ami est quelqu’un qui connaît la chanson dans ton cœur et peut te la chanter quand tu en as oublié les paroles. » Êtes-vous ce genre d’ami ? Est-ce que vous avez tendance à discerner le bien chez les autres, et à les aider à le voir en eux-mêmes ? Est-ce que vous avez besoin de ce genre d’ami dans votre vie ? Dans son album rock intitulé « A way to see in the dark » (Un chemin pour voir dans l’obscurité) la chanson par Jason Gray, «Remind me who I am » ( Rappelle-moi qui je suis ») commence avec ces deux versets : Quand je me perds en chemin Et que j’oublie mon nom, Je ne vois dans la glace Que celui que je ne veux pas être. Rappelle-moi qui je suis. Dans les lieux les plus isolés Quand je ne peux me rappeler ce qu’est la grâce Dis-moi, une fois de plus, qui je suis pour Toi . Dis-moi, de peur que j’oublie, Qui je suis pour Toi, Que je t’appartiens. Nous avons en Dieu notre meilleur Ami. Dieu nous donne la capacité illimitée d’être le meilleur ami l’un pour l’autre. Quelqu’un sur votre chemin cherche peut-être un ami aujourd’hui. Est-ce que vous aurez à cœur d’entendre sa chanson pour la lui chanter ? Est-ce que vous le verrez tel que Dieu le voit ? Lui direz-vous ce que vous voyez ? Ceci a fait bouger ta pensée ? Alors partage-le, s’il te plaît !
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Mrs. Eddy a découvert l’action de l’Entendement sur les esprits et les corps mortels. Mais les modes de pensée mortels et limités ont creusé un sillon dans la conscience collective humaine, explorant, diagnostiquant, et disséquant la matière comme à la fois cause et effet. Donc nous nous laissons aller à penser que les problèmes sont matériels donc compliqués à guérir. Pour Christ Jésus, la théologie et la médecine étaient une seule et même chose. La théologie de Jésus est simple et limpide. Dieu est tout, le Bien. Le mal n’est rien, irréel. Ce que nous affrontons dans chaque cas est un défi à la théologie simple du Christ. Pouvons-nous compter sur le fait que Dieu est bon ? Pouvons-nous le prouver ? L’homme est-il vraiment le reflet—l’image et la ressemblance de Dieu ? Pouvons-nous le démontrer ? Chaque cas aborde une question théologique. La tâche du Chrétien qui guérit est simplement de répondre à la question et d’observer l’apparition de la preuve. Le travail devrait toujours être aussi simple. Mais il n’est pas sans opposition. Ce que Mrs. Eddy nommait l’esprit mortel—le raisonnement limité basé sur la matière qui génère le doute et la crainte—chercherait à faire paraître la tâche de la guérison compliquée, peu claire, et difficile. La crainte et le doute nous poussent à en faire trop ou pas assez dans l’activité de la prière qui guérit ; ils nous incitent à douter de notre expérience avec le Christ, à changer de méthode de manière répétée, et finalement à permettre au problème de conduire le cas. J’ai reçu un appel d’un père dont l’enfant avait sauté d’un arbre, et s’était fait mal à la jambe. Elle semblait cassée. On m’a demandé de prier pour lui tandis que la famille s’occupait des considérations pratiques. Quand j’ai raccroché, j’ai pensée immédiatement, Eh bien, Dieu, qu’avez-vous à dire à ce sujet ? Science et Santé avec la Clef des Ecritures était ouvert sur mon bureau. Mes yeux sont tombés sur une déclaration de Jésus qu’on trouve en page 45 : « Un esprit n’a ni chair ni os, comme vous voyez que j’ai. » En levant les yeux, j’ai pensé, Ne sois pas dupée par le tableau de chair et d’os. Ce n’est pas vraiment cet enfant. Sa substance est Esprit. Tout ce qu’il est et possède provient de l’Esprit qui est Dieu. Cela semblait une réponse si simple à la question théologique, Ce garçon est-il l’image et la ressemblance de Dieu ? Pendant que je considérais en prière les implications—qu’il était en fait spirituel et que tout ce qui avait trait à la chair et aux os, en bien ou en mal, ne le touchait pas—un doute s’est manifesté. Je voulais être certaine de recevoir correctement le message. Je me suis demandé, Mais est-ce que Jésus ne parlait pas de lui-même ? Puis j’ai tourné la page et j’ai lu, « L’Esprit divin, qui permit d’identifier ainsi Jésus il y a des siècles, a parlé par la Parole inspirée et parlera par elle dans tous les âges et dans tous les pays. Il est révélé au cœur réceptif, et on le voit de nouveau chassant les maux et guérissant les malades. » (46) J’ai pensé, OK, alors l’Esprit connaît cet enfant de la même manière qu’il connaissait Jésus—comme parfait, spirituel, intact, entier, invulnérable, non déchu. Le même Esprit énonçant la vérité par les paroles de Jésus à ses disciples communiquait avec moi par la Parole inspirée de Science et Santé à cette époque-ci. Mon cœur réceptif acceptait le message. Puis est arrivée une crainte. Est-ce que ça peut être si facile ? Et la fracture ? Est-ce que je ne dois pas m’en occuper dans ma prière ? J’ai regardé une fois de plus le livre et lu la phrase suivante comme si elle était énoncée avec force, « Le Maître disait clairement que le physique n’est pas Esprit… » Je me suis rappelée l’ordre de Jésus dans le Sermon sur la Montagne, et j’y pensais en relation à la prière, « Que votre parole soit oui, oui, non, non ; ce qu’on y ajoute vient du malin. » (Matthieu 5 :37) Je devais dire Oui, Oui à la claire et simple réalité de l’être intact et spirituel. Et je devais dire un Non, Non direct et clair à la croyance physique que l’enfant était matériel et cassable. C’était tout. J’y ai consenti, et dit OUI, OUI. En fait, j’étais si prise par ce à quoi je disais OUI que j’ai entièrement oublié le cas et j’ai continué ma lecture. Environ trente minutes plus tard, le téléphone a sonné. C’était la mère. Elle m’a raconté que deux minutes après m’avoir appelée, elle tenait son fils dans ses bras et priait pour savoir ce qu’il fallait faire ensuite. Ils avaient discuté de la possibilité d’appeler une ambulance ou de l’emmener à l’hôpital. Puis ils ont entendu un bruit distinct venant de sa jambe « comme le bruit d’une fermeture éclair. » Et il a été guéri simplement, comme ça. La pure simple théologie du Christ est révélée. Et elle guérit. Ceci a fait bouger ta pensée ? Alors partage-le, s’il te plaît !
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Droits d'Auteur 2011-2024. Tous les droits sont réservés. Michelle Boccanfuso Nanouche, CSB. Mentions Légales. (Pages mises à jour le 5 novembre, 2024)
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