![]() « Douce présence. » Combien de fois j’ai songé à ces paroles, les premières d’un poème par Mary Baker Eddy, Prière du Soir de « Mère ». En voici le début : Douce présence, force, joie et paix Vie infinie, ô souverain pouvoir, Toi, dont l’amour protège l’oiselet, Guide l’essor de mon enfant ce soir. (Poèmes, Mary Baker Eddy, 4) « Douce présence » sont des paroles qui affirment que Dieu est avec nous. Maintenant. Pour toujours. J’ai fait l’expérience de cette présence d’une manière puissante l’année dernière. C’était la veille d’un service en mémoire de mon mari qui était décédé la semaine précédente. Il fallait prendre certaines décisions de dernière minute. Plusieurs membres de notre grande famille avaient des points de vue tranchés qui étaient en conflit avec les miens. Assise seule dans le salon, je retournais ces problèmes dans ma tête, pensant que je m’en serais bien passée. J’entendais ma fille dans la pièce à côté, en train de rassembler des photos, avec l’intention de les encadrer. Voilà un sujet de contention mineure de plus—devait-on montrer les photos et si oui, lesquelles. Au bout d’une courte période de ruminations, une tendre tranquillité s’est soudain posé sur moi et a enveloppé la pièce. J’ai senti une présence palpable qui ne pouvait n’être que divine. Je savais que c’était la douce présence de Dieu qui me calmait. La paix régnait dans mon cœur. Je l’ai sentie. Je suis restée assise, émerveillée. Subitement toutes les préparations et les décisions m’ont paru hors sujet. Tout ce que je voulais faire, c’était retenir cette divine présence. Tout ce qui m’importait était cette sensation de Dieu avec moi. J’ai encouragé ma fille à continuer avec son projet, en l’assurant que tout irait bien. Cette paix est restée avec moi durant le service le lendemain. Et bien sûr, la petite exposition des photos de famille fut parfaite, agréable et réconfortant aux yeux de tous. La paix, la joie et le pouvoir de la présence de Dieu est le Christ, l’action de Dieu se révélant d’une manière qui ne laisse aucun doute, et que nous pouvons comprendre, nous donnant exactement ce dont nous avons besoin, apportant la guérison. Cette présence divine n’est pas une présence à éclipse, allant et venant. Le Christ est toujours là avec nous tous, tout le temps, apportant la paix, la joie, et le pouvoir. Ceci a fait bouger ta pensée ? Alors partage-le, s’il te plaît !
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20/9/2013 0 Commentaires Amitie ininterrompue![]() Dans la Bible, un proverbe conseille, « Un homme qui a des amis doit se montrer amical. » (Proverbes 18 :24, traduction libre). C’est ce que j’aime faire. J’aime tous mes amis. J’adore les soutenir, en prendre soin, et leur montrer que pour moi ils sont spéciaux. J’ai toujours eu de bons amis—pas seulement des amis, mais les meilleures amis—ceux qui ne s’accrochent pas ; ceux qui se sentent en sécurité en sachant qu’ils sont aimés même si de longues périodes de temps séparent nos contacts ; ceux qui vivent leur vie et me laissent vivre la mienne, ceux qui vont et viennent au fil des ans, laissant derrière eux un doux sillage d’encouragement, de soutien et de bonté. Avec toute cette richesse d’amitié dans ma vie je n’avais jamais beaucoup réfléchi à ce que ce serait si j’étais sans amis. Mais quand une amie proche a « rompu » avec moi, je me suis sentie isolée et seule. Non que je n’avais pas d’autres amis. Simplement, j’étais perplexe devant le fait que je ne pouvais pas avoir celle-là dans ma vie. J’avais déjà connu des ruptures auparavant, mais aucune ne m’avait secouée comme celle-là. Ensuite pendant plusieurs mois, j’ai évité de penser même un seul instant à mon amie, ne voulant pas entendre dans ma tête ces paroles qui m’avaient porté un coup dans l’estomac, « Je ne veux plus avoir de contact avec toi. » Bien que ses raisons fussent dépourvues de sens à mon avis, j’ai respecté sa franchise. J’ai été obligée de la lâcher. Et en chemin j’ai appris quelques leçons au sujet de l’amitié. Dans son livre d’étude sur la Science Chrétienne, Mary Baker Eddy a demandé, « L’existence vous semblerait-elle vide sans amis personnels ? Alors le temps viendra où vous serez dans l’isolement, privé de toute sympathie ; mais ce qui semble être un vide est déjà comblé par l’Amour divin. Lorsque viendra cette heure de développement, même si vous vous attachez à un sens de joies personnelles, l’Amour spirituel vous contraindra d’accepter ce qui favorise le plus votre développement. » Plus loin, elle a écrit, « L’Amour universel est la voie divine en Science Chrétienne. » (Science et Santé avec la Clef des Ecritures , p. 266). Mes leçons à propos de l’amitié sont issues de la prière sur l’Amour, la prière centrée sur la connaissance de l’Amour universel qui est Dieu comme mon meilleur ami maintenant et pour toujours. Le premier chapitre de Science et Santé, intitulé la Prière, souligne la nature de Dieu comme Amour—n’ayant pas seulement un aspect aimant, mais comme l’Amour, l’Amour divin lui-même— l’Amour impartial, toujours disponible qui n’attache jamais de conditions à Son expression de l’amour, du genre « Je t’aimerai comme ça si… » Ou bien, « Je serai ton Ami quand… » L’Amour aime comme le soleil brille. L’Amour-lumière ne laisse personne à l’écart. L’Amour divin n’est ni conditionnel ni arbitraire. Il est universel, illimité, et accordé librement. L’Amour ne peut rien faire d’autre qu’exprimer l’amour envers tout le monde, partout. L’Amour est tout, et nous vivons tous en l’amour de Dieu. L’Amour divin n’abandonne jamais, ne change jamais, ne cesse jamais. Dieu est l’Ami toujours présent qui n’abandonne jamais Sa création. A mesure que je connaissais Dieu comme mon Ami, je voyais que je pouvais avoir confiance que cet Ami ne me laisserait jamais tomber. En ce sens énorme de l’amitié de l’Amour, j’ai vu Dieu comme mon Compagnon constant et mon Ami le plus fidèle. Seigneur, en ton divin appui, Je veux me réjouir ; Auprès de Toi, fidèle Ami, Dans la peine accourir. Toutes les sources d’ici-bas Peuvent se dessécher : Ton flot d’amour ne tarit pas, Et pour moi, c’est assez ! (D’après un poème de John Ryland, Cantique 224, Hymnaire de la Science Chrétienne) ![]() L’amour aime. L’amitié de l’Amour bénit en toutes circonstances, quoi qu’il arrive. Personne n’est à l’écart. Rien n’est oublié. Notre divin Ami est toujours présent où que nous nous trouvions. Notre connexion avec cet Ami, notre sécurité dans l’amitié divine, ne dépend pas d’une autre personne. Le fait de connaître Dieu comme Ami m’a aidé à élever mes attentes à l’égard de mes amitiés humaines : j’ai pu chercher en moi et en ceux autour de moi, la permanence, la fidélité et d’autres qualités spirituelles inhérentes à la création de Dieu en tant que son image et sa ressemblance. Dans son autobiographie, Mary Baker Eddy a écrit, « Il n’y a pas de plus grands miracles connus au monde que la perfection, et une amitié ininterrompue. Nous aimons nos amis, mais bien des fois nous les perdons en proportion de notre affection. » (Rétrospection et Introspection, p. 80) Jésus a appelé Judas « ami » tout en sachant qu’il l’avait trahi. Jésus savait que son Ami fidèle et parfait était Dieu ; il ne pouvait voir rien d’autre que la ressemblance de Dieu en ceux qu’il aimait. Jésus a toujours aimé Judas. Tandis que le comportement de Judas a pu le séparer de Jésus, c’était une rupture à sens unique. La trahison même ne pouvait séparer Jésus de son ami. Dans le cas de mon amie, la période précédant la rupture était un moment tumultueux dans ma vie, et je ne m’étais pas manifestée, m’éloignant en douceur. Mon intention était de la protéger, de lui éviter de s’inquiéter à mon sujet ; mon amie l’a mal compris et l’a prise pour de la négligence. Je suis profondément désolée de ce malentendu, mais je n’agirais pas autrement. Ce que j’ai fait, je l’ai fait par amour de mon amie, agissant au mieux de ma compréhension à cette époque-là. Et depuis lors, je chéris les leçons apprises sur l’amitié. A présent je sais que l’amitié ne peut se rompre qu’à condition que je le permette. Et je ne le permets pas. J’aimerai toujours cette personne comme mon amie. Aucun enfant de Dieu ne peut vraiment défaire l’amitié d’un autre. L’amitié est une expression de la Vie tout autant qu’une expression de l’Amour. Elle n’est pas optionnelle. S’il nous arrivait de nous déconnecter et d’aller chacun de son côté, nous sommes quand même éternellement liés par l’Amour divin dans la vie et l’amour. Et seulement dans l’amour. Pas dans la souffrance, ni dans la malhonnêteté, ni dans la haine, ni dans la crainte. Je crois qu’un verset du Sonnet n° 30 par Shakespeare résume à la perfection ce qu’une perspective spirituelle peut apporter à nos amitiés : « Mais si pendant ce temps je pense à toi, cher ami, mes pertes sont réparées et tous mes chagrins finis. » Mon déchirement au sujet de cette amitié a cessé et j’ai réalisé que rien n’a le pouvoir de me priver de l’amitié véritable, un attribut divin que Dieu exprime constamment dans ma vie. Puisque personne n’est sans Dieu, personne ne peut être sans amitié. A présent quand je songe à cette amie, au lieu de souffrance et perte, je ressens l’amour. Et je me sens aimée. Nous sommes toutes deux aimées, avançant et progressant en l’Amour. Personne n’est à l’écart ni rejeté du cercle d’amis de l’Amour. Personne. Parfois, malgré l’erreur, on voit, Comme un éclair, l’éternel bien, Et peu à peu l’on aperçoit De l’homme le progrès certain…. Au-dessus même des clameurs, Un doux prélude se perçoit ; Nos sombres doutes, not frayeurs Font place au jour qui monte et croît. Ne pleurons plus sur le passé, Ne craignons rien de l’avenir : De Dieu l’amour et la bonté Sont toujours là pour nous bénir. (John Greenleaf Whittier, Cantique 238 Hymnaire de la Science Chrétienne) Ceci a fait bouger ta pensée ? Alors partage-le, s’il te plaît !
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Iyer a vraiment très bien traité l’histoire et le message qu’elle enseigne. En lui demandant la permission de reproduire son essai ici en totalité , j’ai accepté avec plaisir de poster le lien à son site web et de faire mention de son livre paru récemment, « The Habit of Winning » (L’Habitude de Gagner, non encore traduit en français)—livre d’histoires pleines d’inspiration, pour t’aider à changer ta manière de penser, de travailler et de vivre. Si l’on en juge d’après son essai, je pense que son livre vaut d’être examiné avec sérieux. Prakash Iyer : Un verre d’eau donne une leçon de Vie. Ne pas trop s’inquiéter d’un problème est le premier pas vers sa solution. Pr Prakash Iyer Un professeur de chimie décide un jour de donner à ses étudiants une leçon différente. Tenant en main un verre d’eau, il leur demande, « D’après vous combien pèse ce verre d’eau ? » « 500 grammes ! » dit une voix. « 600 » dit un autre étudiant. « Je n’en sais vraiment rien ! » dit le professeur, en tenant le verre bien haut afin que tous puissent le voir. « Et à moins de le peser, nous ne le saurons pas. » Et, tenant toujours le verre dans sa main tendue, le professeur continue, « Que se passera-t-il si je le tiens comme ceci quelques minutes ? » La réponse : « Rien ! » « Exact, et si le tiens comme ceci une heure, que pourrait-il se passer ? » « Votre main va commencer à faire mal » dit un étudiant. « En effet. Et que se passerait-il si je tenais le verre dans la main comme cela pendant 24 heures ? » « Vous auriez terriblement mal, « dit un étudiant. « Vous n’auriez plus de sensation dans la main, » dit un autre. « Votre bras serait paralysé et il faudrait vous emmener d’urgence à l’hôpital ! » dit un étudiant au fond de la classe. « Vrai, dit le professeur. « Mais notez que pendant toute cette discussion, le poids du verre n’a pas changé. Alors, d’où vient la douleur ? » La classe s’est tue. Les étudiants ont l’air perplexe. « Que devrais-je faire pour éviter la douleur ? demande le professeur. « Poser le verre ! » dit un étudiant. « Bien dit ! » s’exclame le professeur. « Et c’est ça la leçon que vous devez retenir. Les problèmes et les soucis de la vie sont ce verre d’eau. Pensez-y quelque temps, et il ne se passe rien. Mais pensez-y un peu plus longtemps, et ils commencent à faire mal. Et si vous y pensez toute la journée, vous vous sentirez paralysés—incapable de rien faire. Il est important de vous souvenir de relâcher vos problèmes. Souvenez-vous de poser ce verre ! » ![]() Nous n’étions sans doute pas dans cette classe ce jour-là, mais c’est une leçon que tous nous ferions bien de retenir. Poser le verre ! Toujours. Il n’est pas toujours question uniquement de problèmes et de soucis. Parfois, nous nous sentons blessés et trahis par un ami. Et nous portons cette rancune toute notre vie. Elle croît et cause douleur et angoisse. Apprendre à pardonner—et à oublier—n’est pas bénéfique seulement pour les autres, c’est formidable pour vous également. Nelson Mandela a passé 27 ans en prison et quand il a été enfin libéré, vous pouvez vous imaginer à quel point il se sentait en colère et désireux de se venger. Mais vous savez quoi ? Quand il est devenu Président, il a invité ses geôliers à son investiture—et dans les sièges pour VIP ! Si lui pouvait pardonner après 27 années de souffrance, sûrement nous le pouvons, nous aussi. C’est la même chose en ce qui concerne nos craintes. Un échec ou un incident dans notre prime enfance devient, avec le temps, une crainte profondément ancrée. La crainte de parler en public, la crainte des maths, la crainte d’être rejeté. Quel qu’en soit le nom, il y a des chances pour qu’on en soit affecté. Quelqu’un nous a donné ce verre à tenir quand nous étions petits—‘tu es maladroit, tu n’es bon à rien, tu n’y arriveras pas’—et fidèlement, nous l’avons tenu toute notre vie. ‘Je ne peux pas’- devient une pensée qui s’accroche dans nos têtes et grandit—nous conduisant à une paralysie totale. Il est temps de poser le verre ! Il y a une histoire d’un homme très travailleur qui vivait une vie paisible et contente entouré de sa femme et de ses enfants. Chaque soir en rentrant du travail, il suivait un rituel. Dehors, à côté de la porte étaient trois clous. Sur le premier, il accrochait son chapeau. Sur le deuxième, son manteau. Pour finir, il déroulait un turban imaginaire sur sa tête et le ‘posait’ sur le troisième clou. Un jour un ami l’a aperçu par hasard et lui a demandé ce qu’il posait sur ce troisième clou tous les jours. « Ce sont mes problèmes, mes soucis, et ma colère, » dit l’homme. « J’en ai beaucoup au travail, mais quand je rentre à la maison, je me souviens de l’enlever—et de les laisser dehors. Je ne les introduis pas chez moi. » Peut-être que vous devriez en faire autant. Dès aujourd’hui. Posez le verre. Et observez la différence ! Cet essai a paru sur www.Careers360.com le 6 mai 2006. Prakash Iyer est Directeur Général chez Kimberly Clark Lever et Coach pour hommes et femmes d’affaires. Pour d’autres leçons de vie inspirantes, lis le nouveau livre par Mr Iyer, The Habit of Winning. Ceci a fait bouger ta pensée ? Alors partage-le, s’il te plaît !
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