31/3/2014 1 Commentaire Un Noël éternelA mon avis ma maison n’avait jamais été si belle. La paix était descendue. Tout était calme. Tous étaient au lit, bien au chaud . Entourée de bougies parfumées, près de cheminée où crépitait un bon feu, je me suis pelotonnée dans un grand fauteuil devant le sapin, et je me régalais du tableau. J’étais reconnaissante de la paix et du calme, mais je ne me sentais ni à l’aise ni tranquille. Loin de là. On m’avait demandé de prier pour un enfant malade chez qui on avait diagnostiqué une infection grave à la colonne vertébrale. Je cherchais depuis le début de la soirée, mais je n’avais pas encore ressenti la douce assurance qui vient lorsque l’on sait que tout est bien. Noël avec toutes les préparations avaient toujours signifié énormément pour moi. J’adorais créer un Noël de conte de fées plein de magie et douceur, et réjouissant pour les yeux et les oreilles. Mais alors que je priais, je sentais que mes priorités étaient en train de se modifier. Seule devant le sapin, je considérais la signification plus profonde de Noël. Les accessoires matériels de la saison des fêtes ont commencé à disparaître du centre de mon attention, dès que je me suis rappelé quelque chose que Mary Baker Eddy avait écrit au sujet de la vraie signification de Noël. « Un Noël éternel ferait de la matière une étrangère, sauf en tant que phénomène, et la matière se retirerait avec révérence devant l’Entendement. Le despotisme du sens matériel, c’est-à-dire la chair, fuirait devant une telle réalité, pour faire place à la substance, et l’ombre de la frivolité ainsi que l’inexactitude du sens matériel disparaîtraient. En Science Chrétienne, Noël représente le réel, l’absolu et l’éternel—les choses de l’Esprit, non de la matière. » Bien qu’entourée par toute la beauté matérielle que l’on pouvait désirer, j’ai réalisé qu’une seule chose pouvait commémorer d’une manière juste et convenable ce Noël-là —que cet enfant soit rapidement et complètement guéri. Je voulais abandonner complètement un sens matériel de Noël afin de faire place au Christ guérisseur. Je ne marchandais pas avec Dieu. Je cédais à quelque chose de hautement essentiel à la guérison Chrétienne—un amour dégagé de soi qui accepte de sacrifier le matériel et temporaire, pour faire place à ce qui est spirituel et permanent. Désormais ma prière était devenue très focalisée. Je voyais l’Amour divin comme le créateur de cet enfant et que l’Amour n’avait pas ajouté—ne voulait, ni ne pouvait ajouter—un élément matériel destructible à Sa création parfaite. Ma prière est allée au-delà des mots jusqu’à me faire ressentir véritablement la présence de cet amour tout-puissant m’entourant dans mon salon. Ce n’était pas dans les choses autour de moi ; mais cette présence sacrée, complètement spirituelle, m’a assurée que tout était bien. L’enfant était guéri. De l’état de paralysie totale un soir, il est passé à celui d’un enfant qui grimpait sur le toit pour aider son père à poser des lumières de Noël le soir suivant. Mme. Eddy expliquait, « A des époques différentes, l’idée divine revêt des formes différentes, selon les besoins de l’humanité. A notre époque, elle revêt, avec plus d’intelligence que jamais auparavant, la forme de la guérison chrétienne. C’est là le petit enfant que nous devons chérir. C’est là le petit enfant qui entoure affectueusement de ses bras le cou de l’omnipotence et fait appel à la sollicitude infinie de son cœur aimant.» (Ecrits Divers, p. 370) Ce post a été publié pour la première fois le 24 décembre 2011 sur ce site. Je suppose que j’ai envie de fêter Noël. J’ai toujours envie d’une guérison rapide et complète de quelqu’un qui souffre. Quoi qu’il en soit, mon cœur me dit de mettre ce poste sous les projecteurs aujourd’hui. Ceci a fait bouger ta pensée ? Alors partage-le, s’il te plaît !
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1 Commentaire
Avez-vous jamais voulu avoir la possibilité d’effacer ce que vous aviez écrit, supprimer ce vous aviez dit, défaire ce que vous aviez fait, ou laver à grande eau quelque chose qui vous était arrivé ? Avez-vous tendance à recycler des événements et des torts déplaisants, ce qui permet à hier de venir hanter aujourd’hui ? Dans bien des cas, refaire est complètement possible. Vous pouvez refaire un gâteau –sans oublier d’ajouter la levure cette fois-ci. Vous pouvez effacer un texto pas très gentil avant de cliquer sur « envoyer ». Mais dans d’autres cas, des blessures anciennes, par exemple—les souvenirs peuvent sembler indélébiles, impossibles à oublier, piégés dans le filet du temps. Que faire ? Il peut être utile de savoir que nous possédons un contrôle complet sur ce que nous pensons. Nous choisissons de vivre dans le passé ou dans le présent. L’Entendement divin qui nous crée nous donne la domination sur le mal du passé et la maîtrise du bien du présent. L’Entendement est conscient de ce qui est – toujours de ce qui est. Dans l’éternel maintenant de l’Entendement, personne n’est piégé. Les pensées venant de l’Entendement sur ce qui est bon et pur et vrai sont disponibles et nous rafraîchissent, nous « mettent à jour », et nous renouvellent, à tout moment. Cela ne signifie pas que considérer le passé n’a aucune valeur. Ruminer nos « hier » ne produit rien de positif ; mais examiner hier à la lumière de notre perspective spirituelle actuelle peut être instructif, guérisseur et même régénérant. La fondatrice de la Science Chrétienne, Mary Baker Eddy a écrit, « L’histoire humaine a besoin d’être révisée et le souvenir matériel effacé. » RESTROSPECTION ET INTROSPECTION, 22 Pris dans son sens spirituel, la révision implique que l’on contemple le passé à travers la lentille spirituelle d’une compréhension présente de Dieu et de sa Création ; grâce à cela la vue du passé est mise à jour, en cohérence, avec ce que nous savons à présent. Cette mise à jour n’a peut-être pas le pouvoir de changer le passé, mais elle peut certainement changer le présent. Grâce à elle nous pouvons supprimer efficacement le souvenir matériel (limité, faux, restrictif, inexact, injuste) effaçant complètement ce qui n’est pas au service du bien dans notre présent. Nous pouvons abandonner la douleur, la crainte, le doute, l’insécurité. Nous pouvons pardonner le malentendu et avancer. La définition légale d’effacer est « détruire ; oblitérer ; gommer ; effacer à dessein ; rayer totalement. L’acte consistant à détruire physiquement une information—y compris le casier judiciaire—dans des dossiers, ordinateurs, ou d’autres dépôts. » (West’s Encyclopedia of American Law, édition 2, traduction libre). La mémoire est un autre entrepôt qui peut être nettoyé par le processus spirituel consistant à réviser et à effacer. Une période de ma vie était si enténébrée par la douleur émotionnelle que j’évitais de regarder toutes les photos prises à cette période. Non pas que je ne revisitais pas cette période par d’autres manières. J’étais quelqu’un qui ruminait. Il suffisait de presque n’importe quel affront, n’importe quelle blessure pour que je m’engage sur le sentier de la mémoire. Au même moment, je passais beaucoup de temps à prier et à étudier les Ecritures pour ma croissance spirituelle en général. Et quand même, j’apprenais, et grandissais et changeais. J’en étais sûre—si sûre en fait, qu’après quelques mois d’étude, une nuit je me suis réveillée à 3h, avec la pensée que tout ce que l’Entendement divin me révèle maintenant de l’omniprésence du bien, le pouvoir de l’Amour, et la pureté et la bonté de la création de l’Entendement, était aussi vrai dans mon passé qu’en ce moment même. Je me suis sentie incitée à sortir du lit et à ouvrir mes albums de photos. En les feuilletant je me suis mise à pleurer, mais pas des larmes de tristesse ou de douleur. Des larmes de pure joie. Sur les photos je ne voyais rien d’autre qu’un bonheur authentique. Ce fut une telle guérison. C’était la fin des ruminations. Mon passé s’est trouvé purgé de cette douleur affreuse. Nous pouvons échanger un sens matériel limité d’hier pour un sens plus clair des faits spirituels d’aujourd’hui—la vérité même qui existait là même où il semblait caché à notre vue. La révision spirituelle ne consiste pas à ignorer les faits préjudiciables. Elle arrache le contrôle au « mauvais », et par là l’efface de notre souvenir, tout en donnant le plein pouvoir au bien présent. Nous pouvons laisser derrière nous les incidents et les événements qui nous dénaturent et nous attachent à la douleur. L’homme, en tant que reflet de l’Entendement qui est Esprit, est spirituel. Notre spiritualité inclut la domination sur le mal et la pure maîtrise de tout ce qui est bon. De simples incidents historiques et des événements personnels ne sont que vanité et ne sont d’aucune importance, à moins qu’ils n’illustrent l’éthique de la Vérité. A cette fin, et seulement à cette fin, de tels récits peuvent être admissibles et recommandables ; mais si les conclusions spirituelles sont séparées de leurs prémisses, le lien se perd, et l’argument, avec ses conclusions justes, devient par là même obscur. L’histoire humaine a besoin d’être révisée, et le souvenir matériel effacé. MARY BAKER EDDY, RETROSPECTION ET INTROSPECTION, 21,22 Car je connais les projets que j’ai formés sur vous, dit l’Eternel, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l’espérance. JEREMIE 29 :11 Ceci a fait bouger ta pensée ? Alors partage-le, s’il te plaît !
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Le Principe divin est la base fondamentale de tout, l’origine et le but suprême de tout ce qui est réel. Principe est stable, positif, précis et démontrable. Il exige l’obéissance, l’intégrité, la santé et l’harmonie. Pourquoi ? Parce que le Principe divin reproduit ses propres caractéristiques. Le Principe divin se reflète parfaitement dans sa propre création. La vraie loi (celle qui soutient fortement la justice humaine et qui est inattaquable par des opinions qui sont par nature variables) est un attribut de ce Principe. C’est-à-dire, la source de la loi qui compte, la loi qui protège et fait respecter le bien, est Principe. Deux versets de la Bible éclairent cette loi : A toi, Eternel, la grandeur, la force et la magnificence, l’éternité et la gloire, car tout ce qui est au ciel et sur la terre t’appartient ; à toi, Eternel, le règne, car tu t’élèves souverainement au-dessus de tout ! C’est de toi que viennent la richesse et la gloire, c’est toi qui domines sur tout, c’est dans ta main que sont la force et la puissance, et c’est ta main qui a le pouvoir d’agrandir et d’affermir toutes choses. (1 Chroniques 29 :11, 12) Toute grâce excellente et tout don parfait descendent d’en haut, du Père des lumières, chez lequel il n’y a ni changement ni ombre de variation. Il nous a engendrés selon sa volonté, par la parole de vérité, afin que nous soyons en quelque sorte les prémices de ses créatures. (Jacques 1 : 17,18) Le Principe divin de la vie est l’Amour, l’Amour divin et universel. Si vous pensez que le terme Principe semble distant ou froid, pensez à l’Amour divin et vous en obtiendrez une bonne notion. Une des choses auxquelles j’aime particulièrement réfléchir, est que le Principe sans l’Amour serait pareil à l’acier—froid, dur et rigide. Et l’Amour sans Principe serait comparable à la confiture—dépourvu de structure, de stabilité, ou de forme. Mais Principe EST Amour—à l’équilibre parfait entre la force et la tendresse, la puissance et l’affection, l’autorité et le soutien. Le découvreur de la Science Chrétienne, Mary Baker Eddy utilise une image qui à mon avis décrit si bien la tendresse du Principe divin, quand elle écrit à propos de l’océan, « capable de porter des flottes entières, pourtant elle cède au toucher du doigt. » (La Première Eglise du Christ, Scientiste et Miscellanées, 121) Avec une compréhension de Dieu comme Principe divin, vient un sens de l’omnipotence, de l’omniscience et de l’omniprésence de la loi du bien. Et en même temps nous pouvons commencer à abandonner le sens d’une limitation inhérente à Dieu ou à sa création - l’homme spirituel et l’univers spirituel. Le Principe divin s’exprime à travers ses propres lois, dans son propre royaume - le royaume de tout ce qui est réel et permanent – le royaume de l’Esprit. Le concept d’un autre royaume ou d’une autre autorité – i.e. la matière ou loi matérielle – est une illusion qu’efface une meilleure compréhension du Principe divin. Christ Jésus a marché sur l’eau en violation directe des lois matérielles, mais conformément à la loi spirituelle de l’Amour. Cela lui donnait la maîtrise complète sur le vent et les vagues. En fendant les eaux de la Mer Rouge, Moïse a désobéi aux lois de la physique qui disaient qu’un tel acte était impossible. Mais son obéissance au Principe et son engagement inébranlable de suivre l’Amour qui les conduisait hors de la servitude en Egypte a ouvert la voie à la démonstration de la loi spirituelle plus élevée qui était en place et lui était accessible. La matière et la loi matérielle ne constituent pas une substance réelle qui doit être contrôlée, améliorée, guérie, en se tournant en prière vers le Principe divin. La prière révèle qu’il n’y a qu’un vrai Principe ou loi, une vrai substance de la vie—l’Esprit. L’Esprit s’exprime par la spiritualité qui rompt l’illusion de la matière et de ses soi-disant lois, restrictions et problèmes. Le miracle accomplit la loi de Dieu, mais ne viole pas cette loi. (Eddy, Science et Santé avec la Clef des Ecritures, 134) Les miracles ne sont pas vraiment exceptionnels. Ce que beaucoup qualifient de miracle est l’activité naturelle du divin Principe ; en Science Chrétienne nous comprenons qu’il s’agit de Dieu. Au début de ma pratique publique j’ai eu un cas dont le résultat a été la réanimation d’un mort. En définitive, ce cas n’était ni plus ni moins difficile qu’un autre. J’étais à genoux dans la cuisine en train de laver par terre quand un appel téléphonique m’a avertie qu’un homme venait de décéder. La nurse présente m‘a demandé de prier pour lui. Je l’ai fait. Je me suis remise à genoux et j’ai continué à laver le carrelage tout en priant. Ma prière était une douce mais ferme affirmation que la Vie divine qui est Dieu est manifeste normalement et continuellement—c’est-à-dire que ni Dieu ni sa création ne sauraient être interrompus dans leur être. L’activité normale de l’homme, sous le contrôle perpétuel du Principe de la vie, inclut seulement l’expression de la Vie qui est Dieu, pas de la mort. J’étais consciente de la facilité avec laquelle je me suis remise à laver mon carrelage après l’appel. Je n’avais pas été choquée par la nouvelle. J’ai réalisé alors que cet homme, lui aussi, pouvait continuer sa journée sans être choqué par la croyance que la vie pouvait soudain prendre fin, alors qu’en réalité c’était impossible. L a vie est réellement éternelle. Ce que j’écris ici semble trop faible pour expliquer la signification profonde de ce que j’ai vu de la réalité spirituelle dans cette prière. Ma prière n’était ni difficile ni compliquée. Elle était complètement logique et naturelle. Je n’avais pas peur, même un tout petit peu. Je ne me sentais pas engagée en un grand combat contre la mort. Ma prière était un simple témoin du divin Principe de la vie qui encercle toute création dans la Vie, Dieu, sans rupture, sans interruption. Le patient est revenu à lui. Dix minutes plus ou moins après son décès subit, il s’est assis - et pas dans un état de récupération, mais dans un meilleur état de santé qu’avant son décès. Et il a continué en bonne santé. Cette sorte de choses se produit plus souvent qu’on ne le réalise. Il peut être utile de garder ceci présent à l’esprit :
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