Il existe un Principe divin dans lequel nous pouvons avoir une confiance totale. Il s’agit d’un Principe infaillible, absolu, invariable, concret, et substantiel qui assure la sécurité dans la vie. En Science Chrétienne, le Principe divin est une autre façon de décrire Dieu – pas un homme sur un trône – un dieu surhumain – mais ce qui est la cause et la source de tout ce qui est bon et vrai. Si cela ne répond pas au critère de ce qui est vrai ET bon, cela ne correspond pas à l’ordre du Principe. Le Principe divin de la vie est puissant, fort, éclairant, libérateur. Principe est réel. Il est une aide présente dans n’importe quelle situation. Principe est juste, impartial, disponible, universel, illimité, et glorieux. Le Principe divin est la base fondamentale de tout, l’origine et le but suprême de tout ce qui est réel. Principe est stable, positif, précis et démontrable. Il exige l’obéissance, l’intégrité, la santé et l’harmonie. Pourquoi ? Parce que le Principe divin reproduit ses propres caractéristiques. Le Principe divin se reflète parfaitement dans sa propre création. La vraie loi (celle qui soutient fortement la justice humaine et qui est inattaquable par des opinions qui sont par nature variables) est un attribut de ce Principe. C’est-à-dire, la source de la loi qui compte, la loi qui protège et fait respecter le bien, est Principe. Deux versets de la Bible éclairent cette loi : A toi, Eternel, la grandeur, la force et la magnificence, l’éternité et la gloire, car tout ce qui est au ciel et sur la terre t’appartient ; à toi, Eternel, le règne, car tu t’élèves souverainement au-dessus de tout ! C’est de toi que viennent la richesse et la gloire, c’est toi qui domines sur tout, c’est dans ta main que sont la force et la puissance, et c’est ta main qui a le pouvoir d’agrandir et d’affermir toutes choses. (1 Chroniques 29 :11, 12) Toute grâce excellente et tout don parfait descendent d’en haut, du Père des lumières, chez lequel il n’y a ni changement ni ombre de variation. Il nous a engendrés selon sa volonté, par la parole de vérité, afin que nous soyons en quelque sorte les prémices de ses créatures. (Jacques 1 : 17,18) Le Principe divin de la vie est l’Amour, l’Amour divin et universel. Si vous pensez que le terme Principe semble distant ou froid, pensez à l’Amour divin et vous en obtiendrez une bonne notion. Une des choses auxquelles j’aime particulièrement réfléchir, est que le Principe sans l’Amour serait pareil à l’acier—froid, dur et rigide. Et l’Amour sans Principe serait comparable à la confiture—dépourvu de structure, de stabilité, ou de forme. Mais Principe EST Amour—à l’équilibre parfait entre la force et la tendresse, la puissance et l’affection, l’autorité et le soutien. Le découvreur de la Science Chrétienne, Mary Baker Eddy utilise une image qui à mon avis décrit si bien la tendresse du Principe divin, quand elle écrit à propos de l’océan, « capable de porter des flottes entières, pourtant elle cède au toucher du doigt. » (La Première Eglise du Christ, Scientiste et Miscellanées, 121) Avec une compréhension de Dieu comme Principe divin, vient un sens de l’omnipotence, de l’omniscience et de l’omniprésence de la loi du bien. Et en même temps nous pouvons commencer à abandonner le sens d’une limitation inhérente à Dieu ou à sa création - l’homme spirituel et l’univers spirituel. Le Principe divin s’exprime à travers ses propres lois, dans son propre royaume - le royaume de tout ce qui est réel et permanent – le royaume de l’Esprit. Le concept d’un autre royaume ou d’une autre autorité – i.e. la matière ou loi matérielle – est une illusion qu’efface une meilleure compréhension du Principe divin. Christ Jésus a marché sur l’eau en violation directe des lois matérielles, mais conformément à la loi spirituelle de l’Amour. Cela lui donnait la maîtrise complète sur le vent et les vagues. En fendant les eaux de la Mer Rouge, Moïse a désobéi aux lois de la physique qui disaient qu’un tel acte était impossible. Mais son obéissance au Principe et son engagement inébranlable de suivre l’Amour qui les conduisait hors de la servitude en Egypte a ouvert la voie à la démonstration de la loi spirituelle plus élevée qui était en place et lui était accessible. La matière et la loi matérielle ne constituent pas une substance réelle qui doit être contrôlée, améliorée, guérie, en se tournant en prière vers le Principe divin. La prière révèle qu’il n’y a qu’un vrai Principe ou loi, une vrai substance de la vie—l’Esprit. L’Esprit s’exprime par la spiritualité qui rompt l’illusion de la matière et de ses soi-disant lois, restrictions et problèmes. Le miracle accomplit la loi de Dieu, mais ne viole pas cette loi. (Eddy, Science et Santé avec la Clef des Ecritures, 134) Les miracles ne sont pas vraiment exceptionnels. Ce que beaucoup qualifient de miracle est l’activité naturelle du divin Principe ; en Science Chrétienne nous comprenons qu’il s’agit de Dieu. Au début de ma pratique publique j’ai eu un cas dont le résultat a été la réanimation d’un mort. En définitive, ce cas n’était ni plus ni moins difficile qu’un autre. J’étais à genoux dans la cuisine en train de laver par terre quand un appel téléphonique m’a avertie qu’un homme venait de décéder. La nurse présente m‘a demandé de prier pour lui. Je l’ai fait. Je me suis remise à genoux et j’ai continué à laver le carrelage tout en priant. Ma prière était une douce mais ferme affirmation que la Vie divine qui est Dieu est manifeste normalement et continuellement—c’est-à-dire que ni Dieu ni sa création ne sauraient être interrompus dans leur être. L’activité normale de l’homme, sous le contrôle perpétuel du Principe de la vie, inclut seulement l’expression de la Vie qui est Dieu, pas de la mort. J’étais consciente de la facilité avec laquelle je me suis remise à laver mon carrelage après l’appel. Je n’avais pas été choquée par la nouvelle. J’ai réalisé alors que cet homme, lui aussi, pouvait continuer sa journée sans être choqué par la croyance que la vie pouvait soudain prendre fin, alors qu’en réalité c’était impossible. L a vie est réellement éternelle. Ce que j’écris ici semble trop faible pour expliquer la signification profonde de ce que j’ai vu de la réalité spirituelle dans cette prière. Ma prière n’était ni difficile ni compliquée. Elle était complètement logique et naturelle. Je n’avais pas peur, même un tout petit peu. Je ne me sentais pas engagée en un grand combat contre la mort. Ma prière était un simple témoin du divin Principe de la vie qui encercle toute création dans la Vie, Dieu, sans rupture, sans interruption. Le patient est revenu à lui. Dix minutes plus ou moins après son décès subit, il s’est assis - et pas dans un état de récupération, mais dans un meilleur état de santé qu’avant son décès. Et il a continué en bonne santé. Cette sorte de choses se produit plus souvent qu’on ne le réalise. Il peut être utile de garder ceci présent à l’esprit :
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14/6/2012 0 Commentaires La vie sans âge ni décrépitudeEnviron un an après le décès de mon premier mari, j’ai eu une vision fugitive de cheveux blancs surmontant un visage tout ridé au-dessus de la cheminée. J’ai regardé de plus près sa dernière photo. Je n’'avais aucun souvenir de lui dans cet état. Il avait 34 ans de plus que moi ; et cependant, même après quinze années de mariage, je n’avais jamais remarqué la différence. A mes yeux il ne se comportait jamais comme quelqu’un d’âgé, et il n’avait pas non plus l’air âgé. J’ai montré la photo à ma fille, et je lui ai demandé si elle se souvenait de son père comme vieillissant. La réponse était que non, elle non plus. Un moment tiré du « Portrait de Dorian Gray » ? Je ne pense pas. Simplement, mon mari ne se voyait pas comme un mortel vieillissant. Il ne vivait pas sa vie comme ça. Donc, nous ne le voyions pas comme cela non plus. Je me souviens de lui uniquement comme étant fort et beau, plein de vitalité et actif. La photo avait peut-être capté la croyance du monde concernant l’âge, mais cela ne lui a jamais ressemblé. Quelques mois après l’incident avec la photo, j’ai lu le récit d’une femme dont l’enfant s’était noyé à l’âge de 18 mois. Environ sept ans plus tard, la mère était toujours profondément endeuillée. Un après-midi, priant pour que ce poids lui soit enlevé du cœur, elle s’est endormie et a fait un rêve. Elle a vu une belle jeune femme, qui semblait avoir un peu moins de trente ans. La jeune femme lui a dit, « Je suis heureuse, ne sois pas triste. » A son réveil, la tristesse était partie. Avait-elle vu sa fille en rêve ? Selon la chronologie mortelle, l’enfant aurait eu seulement 8 ou 9 ans. Mais il est venu à l’esprit de la mère qu’elle avait bel et bien vu sa fille—mais pas comme une mortelle, ou un fantôme. Elle avait entrevu l’idée éternelle de Dieu, reflétée par sa fille—belle, en bonne santé et vivante. Elle a réalisé que tandis qu’elle, la maman, avait cru que sa fille était passée par le stade de la petite enfance, et que sa vie avait été brutalement interrompue, le fait était que sa fille avait toujours existé seulement à son point le meilleur et le plus haut, comme le reflet mûr et magnifique de la Vie sans fin, divine, qui est Dieu. Le Psalmiste a dit en parlant de Dieu, « Car tu ne livreras pas mon âme au séjour des morts, Tu ne permettras pas que ton bien-aimé voie la corruption. Tu me feras connaître le sentier de la vie. » (16 :10,11) Mary Baker Eddy a écrit dans Science et Santé avec la Clef des Ecritures, « Le soleil radieux de la vertu et de la vérité coexiste avec l’être. L’état d’homme en est l’éternel midi dont l’éclat n’est jamais obscurci par un soleil couchant. » (246) Si l’état d’homme (y compris l’état de femme) est l’éternel midi de la vertu et de la vérité, et que cela est le « chemin de la Vie divine » que Dieu nous fait connaître, se pourrait-il que la petite enfance, l’adolescence, et la vieillesse soient simplement des vues limitées, mortelles, d’un être spirituel qui n’existe jamais qu’à son point le plus beau, et le plus haut ? Environ un an après le décès de mon mari, jai rêvé de lui. Dans le rêve, il se préparait à travailler sur le toit. Au cours dune brève conversation nous nous sommes dit combien nous nous aimions. Puis il a grimpé sur léchelle et a disparu. Dans ce rêve il avait lair exactement comme je lavais toujours vuactif, en bonne santé, débordant de résolution. Je ne voyais ni âge ni stade dévolution. En fait il paraissait dépourvu dâge. En rassemblant ces morceaux épars au cours de ma réflexion sur lêtre véritable, jai un sens tout neuf de « léternel midi ». Lhomme de Dieu nest pas, et na jamais été, un être mental immature, émotif, ou physique. Nous ne sommes ni sous-développés (bébés) ni trop développés (âgés), ni soumis à un état de développement (adolescents mal à laise, agités). La création de Dieu existe en ce moment même à son point le meilleur et le plus haut. Cest comme cela que Dieu, en tant quentendement crée et révèle chacun de nous, Ses idées parfaites. Nous ne sommes ni obscurcis par la décrépitude, et nous nessayons pas non plus de devenir plus brillants pour atteindre notre midi. Nous sommes toujours lampoule la plus brillante et la meilleure du lot. Chacun dentre nous ! Et en ce jour, il sagit de reconnaître un aspect jusquici inconnu (mais très présent) de notre brillancelêtre spirituel véritable à son éternel midiet de la laisser rayonner. Seigneur, toi qui es la chance de ma vie, la part qui me revient, tu tiens mon destin dans tes mains. Cest un sort qui menchante, un privilège qui me ravit. Je remercie le Seigneur, qui me conseille : même la nuit, ma conscience mavertit. Je ne perds pas de vue le Seigneur, Et je ne risque pas de faiblir, puisquil est à mes côtés. Cest pourquoi jai le cur plein de joie, jai lâme en fête. Je suis en parfaite sécurité. Non, Seigneur, tu ne mabandonneras pas à la mort, tu ne permettras que moi, ton fidèle, je mapproche de la tombe. Tu me fais savoir quel chemin mène à la vie. On trouve une joie pleine en ta présence, Un plaisir éternel près de toi. Psaume 16 :5-11, la Bible en Français Courant) Je venais d’entrer dans la cuisine, les bras chargés de sacs de courses quand j’ai remarqué mon mari qui raccrochait le téléphone. Il avait l’air préoccupé. J’ai posé les courses et il s’est tourné vers moi avec ces paroles : « Ton frère est mort. Il a eu une crise cardiaque. » Je me suis assise à la table de la cuisine, en me disant, « Je n’y crois pas. » Puis est arrivée la pensée, tranquille, «Ne le crois pas. » J’ai pensé, « Cela ne peut pas être vrai. » Lire plus 12/11/2011 0 Commentaires Une Question du Cœur : Est-ce que ce serait moi ? Qu’est-ce que Dieu ?– un blog par mon invitée Kay Ramsdell Olson A l’âge de six ans, cette question a surgi dans ma pensée : « Est-ce que je serais moi si ma maman et mon papa ne m’avaient pas eue ? » Une réponse est arrivée, rapide et sans équivoque : « Oui ». Je n’ai pas le souvenir d’y avoir beaucoup réfléchi à l’époque, ou d’en avoir parlé à quelqu’un. Mais je me rappelle que grâce à ça, je me sentais bien. J’ai grandi et étais toujours occupée avec la danse, les cours de chant et d’autres activités pour la jeunesse. Tout en étant très occupée et heureuse, cependant, une autre question rebondissait dans ma pensée de temps à autre : « Qu’est-ce que Dieu ? » J’aimais beaucoup mon église et l’école du dimanche, mais bien que posant très souvent la question, je n’ai jamais eu une réponse claire. Je connaissais la promesse biblique, « Demandez, et l’on vous donnera. Frappez, et l’on vous ouvrira » (Matt. 7 :7). Alors, j’ai cherché et frappé et attendu. Lire plus 22/10/2011 0 Commentaires Lorsqu’un être cher disparaît Je crois que la mort est l’expérience du seul observateur. Pour la personne qui traverse un changement, ou transition, d’une phase de l’existence à une autre, il y a une continuité ininterrompue de vie, invisible à l’œil humain, mais bien perceptible au sens spirituel. Comme beaucoup, j’ai perdu ceux que j’aimais. A chaque fois il devenait encore plus impératif de développer la spiritualité qui me permettrait non seulement de survivre aux sentiments initiaux de perte personnelle, mais aussi de discerner, par mon sens spirituel, ce qui se passait réellement. Seul le sens spirituel confère l’évidence nécessaire que, en fait, tout est bien et que le progrès sera continu pour celui que j’ai perdu de vue. C’est seulement grâce à la croissance spirituelle que j’ai été à même de dépasser les images puissantes imposées par une fausse croyance que la mort est la vraie fin de la vie. Lire plus |
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