AMOUR Quel mot ! Il m’inspire un profond respect. » Ainsi écrivait Mary Baker Eddy dans son livre, Ecrits Divers (p. 249) Elle continue en s’exclamant : « Sur quelle infinité de mondes il s’étend et règne souverainement ! le primordial, l’incomparable, l’infini Tout du bien, le seul Dieu, c’est l’Amour. » (ibid. p. 250) En tant que qualité humine, l’amour est beau et peut se faire sentir profondément et être d’une efficacité émouvante dans l’harmonisation de nos activités quotidiennes. Nous pouvons tomber amoureux, être captivés par le sourire d’un bébé, touchés par la gentillesse d’un inconnu. Mais, l’Amour qui est Dieu—le primordial et l’infini—est le pouvoir incommensurable. Il est grand, noble, magnifique, inattaquable, sans opposé. L’Amour est l’éternel Tout-Puissant. L’Amour n’a besoin de rien ni de personne pour l’engendrer. Il ne dépend ni d’une autre personne, ni d’un lieu, ni d’en événement spécial. L’Amour aime tout comme le soleil brille. Il est ce qu’il est. Il est gentil, plein de compassion, impartial, doux, et puissant. Je n’oublierai jamais le moment, il y a bien des années, où j’ai pour la première fois ressenti la puissance de l’Amour. Assise au bord de mon lit, je pensais à mon fils, qui commençait à peine à marcher. D’un coup, j’ai ressenti une impulsion tangible. J’étais en admiration ! Je savais que c’était l’amour. J’ai ressenti l’impulsion d’un Amour plus grand que l’amour humain d’une mère pour son enfant. C’était, sans erreur possible, Dieu, l’Amour-Mère, la source de mon amour maternelle. Depuis le moment où j’ai ressenti cette impulsion, je sais que pas un seul instant je ne suis séparée de l’amour qui est Dieu, et cela est vrai pour tous. Un jour, en route pour rendre visite à une amie, j’ai remarqué une voiture qui me suivait. D’abord, je n’y ai pas accordé trop d’attention, mais quand j’ai tourné en direction de chez mon amie, j’ai vu que la voiture était toujours derrière moi. Je me demandais si cette personne allait rendre visite à mon amie, elle aussi ! Quand je me suis arrêtée, la voiture a fait de même. Une dame que je n’avais jamais vue en est sortie et s’est précipitée vers moi. A l’évidence elle avait quelque chose à dire. J’ai baissé ma vitre et elle s’est mise à hurler. Elle était furieuse. Elle m’a fait savoir en des termes qui ne laissaient aucune place au doute, que le premier virage que j’avais effectué était illégal. Je n’étais pas de cet avis, mais je lui ai dit que je regrettais. Elle a continué à crier. D’abord, j’avais envie de fondre et de m’écrouler par terre dans la voiture. Puis, je me suis mise à penser au pouvoir et à la présence de l’Amour—l’Amour qui était là, où semblait être la rage routière. En priant, j’ai pensé que l’Amour était Tout, encerclant tout, la totalité de l’être . Personne n’était exclu de l’amour. D’un coup elle s’est arrêtée, comme si quelqu’un avait coup un robinet. A la place, silence. Nous nous sommes regardées. Puis elle a tourné le dos et a lentement regagné sa voiture. Inspirée par le pouvoir de l’amour, je suis entrée chez mon amie. L’Amour et notre vraie nature. L’Amour, Dieu, est substance, la seule substance réelle, en fait. L’homme—un terme générique nous incluant tous comme Dieu nous fait—est l’image, ou reflet de l’Amour sans défaut, parfait. L’Amour, Dieu, établit et maintient l’identité réelle de tout le monde. L’Amour nous créés pour être équilibrés, avec une pensée claire ; et une simple protestation, en prière, du côté de l’Amour divin, suffit pour faire ressortir ce fait spirituel en nous-mêmes, et chez autrui. L’Amour, Dieu, est si puissant que ni le mal ni la haine ne peuvent résister en sa présence. Les pensées et comportements mortels, tels que la colère, la revanche, l’impatience, l’irritation, la rage, qui voudraient nous faire croire que nous pouvons nous sentir séparés de Dieu, fondent sous l’effleurement de l’Amour divin. Personne n’est propriétaire de l’amour. Il n’est pas personnel. Personne n’en a davantage qu’un autre. L’expression de l’Amour est ce que nous sommes—nous tous. Savoir cela peut nous soulager du poids d’une des luttes liées à un sens personnel, limité, ou obstrué, de l’amour. Un très beau Psaume dit, « Des nations s’agitent, des royaumes s’ébranlent ; Il fait entendre sa voix : la terre se fond d’épouvante….Arrêtez, et sachez que je suis Dieu ; Je domine sur les nations, je domine sur la terre. » (Psaume 46) L’Amour domine sur la terre. Là où tu es, où je suis, l’amour puissant de l’Amour divin est parfaitement reflété. Ceci a fait bouger ta pensée ? Alors partage-le, s’il te plaît !
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Dans le récit pascal, rien ne me touche le cœur autant que la déception de Jésus, trahi par ses plus proches amis. D’abord, les disciples ont dormi au lieu de veiller dans le jardin de Gethsémané. Puis Judas, que Jésus aimait, l’a vendu aux soldats romains. Et enfin Pierre et d’autres l’ont abandonné à des heures difficiles et de solitude et de souffrance sur la croix, sans leur soutien. J’ai trouvé que, dans le spectre de difficultés humaines, ce sont surtout les actes de trahison qui sont particulièrement durs à dépasser. Bien que ce soit insignifiant à la lumière de ce que Jésus a souffert, j’ai mis pas mal d’années à me débarrasser de la sensation d’oppression dans la poitrine à chaque fois que je pensais à ce que j’ai ressenti en découvrant que mon amoureux de jeunesse me trompait avec une de mes meilleures amies. Trouver le moyen de dépasser la douleur de la trahison implique souvent le pardon. Et le pardon exige parfois que l’on abandonne des sentiers bien battus de la pensée, et que l’on fasse le choix de voir les autres dans une lumière meilleure. C’était certainement le cas en ce qui me concernait. En fait, quelques années plus tard, c’est l’histoire de Jésus qui m’a aidée à ressusciter mon cœur de la tombe obscure de la trahison. Une année, la Leçon biblique que j’étudiais avant Pâques focalisait abondamment sur la trahison de Judas et sur le fait que Jésus s’était tourné vers Dieu pour pardonner. « Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu’ils font, » étaient les paroles de guérison que Jésus a prononcées sur la croix pour tous ceux qui le persécutaient. Il semblait si naturel, dans le combat contre le péché et la douleur, qu’un homme si semblable à Dieu prenne comme première ligne d’attaque, le pardon que Dieu accorde aux autres. Le pardon faisait partie de sa nature, une expression sainte du Christ. Pour lui, c’était la chose la plus naturelle. Mais en lisant l’histoire, je me sentais submergée, noyée de colère en raison de ce que Judas avait fait. Comment avait-t-il pu abuser de la sorte de l’amour de Jésus ? Comment pouvais-je jamais pardonner à Judas ? La colère a réactivé toutes sortes de sentiments déplaisants de trahison de la confiance, de l’innocence et de l‘amour. Durant cette semaine-là avant Pâques, mes pensées envahies de colère non encore guérie se sont assombries de plus en plus. Je comprenais que le vrai message de Pâques ne devait pas être confiné à la souffrance de la crucifixion, mais qu’il impliquait la résurrection d’une vie renouvelée et l’ascension au-dessus des effets du péché, de la tristesse, de la douleur, et de la mort. J’avais très envie d’honorer Jésus par ma propre résurrection de la colère jusqu’au pardon. Alors j’ai prié pour avoir une modification du cœur. J’ai prié pour savoir comment aimer Judas et lui pardonner. Mes prières m’ont ramenée à la Bible. Le Livre des Lamentations couvre une période de douleur, colère et tristesse aiguës et intenses suivant la chute de Jérusalem. Le choc initial du grand événement s’estompe et finit par devenir la peine chronique de la captivité. A mon avis la réaction du peuple juif après le renversement de leur monde peut s’apparenter aux émotions consécutives à une trahison. Jérémie a écrit, « Ma force est perdue, Je n’ai plus d’espérance en l’Eternel! Quand je pense à ma détresse et à ma misère, l’absinthe et au poison ; Quand mon âme s’en souvient, Elle est abattue au-dedans de moi. » (Lamentations 3 :18-20). Cependant, tout en mettant à nu cet état mental angoissé, le prophète offre en même temps un rayon d’espoir. Il illumine un chemin pour sortir de la souffrance perpétuelle, en continuant, « Voici ce que je veux repasser en mon cœur, ce qui me donnera de l’espérance. Les bontés de l’Eternel ne sont pas épuisées, Ses compassions ne sont pas à leur terme ; Elles se renouvellent chaque matin. Oh ! que ta fidélité est grande !...Elevons nos cœurs et nos mains Vers Dieu qui est au ciel. » (ibid. 3 : 21-23, 41) « Les bontés de l’Eternel ne sont pas épuisées ». J’ai réalisé que je n’avais pas à aimer Judas le traître. C’est-à-dire, je n’avais pas à rester dans le cadre de référence de Judas en tant que traître. Mais je pouvais aimer le Judas qui n’était pas consumé de trahison et de haine—le Judas que les bontés de Dieu connaissait et aimaient et renouvelaient chaque matin. Je pouvais échanger mon sens de Judas le traître contre celui du Judas ressuscité de l’envie, de la haine, de la cupidité, du remords, de la culpabilité, de la destruction de soi, jusqu’à la repentance et le progrès, le tout par le pardon, la grâce, et les bontés toujours renouvelées, et qui renouvellent, du Christ, la Vérité. Je pouvais aimer le Judas qui avait progressé sous les bontés renouvelables de l’Amour divin, qui matin après matin, déverse le pardon et l’amour sur Ses enfants. J’ai pensé, « Mais à l’heure qu’il est, le vrai Judas s’est probablement élevé sous l’influence et le pouvoir guérisseur de toute cette compassion et miséricorde et amour. Il ne s’identifie plus au mal qui prétendait le posséder. Est-ce que, moi, des siècles plus tard, je vais continuer à l’identifier à son pire comportement, du jour où il s’est trompé le plus ? Ce n’est pas ce que Jésus a fait. « Père, pardonne-leur » incluait Judas, aussi. Il me semble que la méthode de Jésus, à l’opposé de la réponse humaine et mortelle devant la trahison, a produit le même effet que le mélange du chlore et de l’ammoniac dans une pièce fermée. Elle a privé le mal d’air, l’étouffant littéralement. J’ai senti une brise fraîche, spirituelle qui traversait mes pensées, nettoyant les vieux souvenirs qui s’accrochaient à moi comme autant de feuilles mortes, pendues sur les arbres jusqu’à ce que les vents de mars les en détachent. J’ai pensé à mes amis. Il m’est venu à l’esprit que si mon amoureux avait su qui il était comme l’enfant bon de Dieu—tel que moi je le savais ; si mon amie avait compris combien je l’aimais—la valeur que j’accordais à notre amitié ; ils auraient à tout le moins eu à cœur de parler avec moi directement d’abord, avant de poursuivre leur relation. J’ai ressenti de la compassion pour eux. Ils n’avaient pas su qui ils étaient. Ils ne savaient pas ce qu’ils avaient fait. Voilà tout ce qu’il me fallait pour pardonner le pire et laisser partir la douleur de la trahison. Je ne prétends pas pouvoir même commencer à sonder les profondeurs de la trahison, et les grandes hauteurs de l’Amour divin dont Jésus a fait l’expérience. Mais je sais de manière certaine que chaque partie de son histoire nous enseigne quelque chose d’essentiel de la capacité et de la résilience merveilleuses que nous possédons, en tant qu’enfants de Dieu, de pardonner et de croître en amour. Mary Baker Eddy a écrit, « Le christianisme n’est pas superflu. On voit son pouvoir rédempteur dans les cruelles épreuves, l’abnégation de soi et les crucifiements de la chair. Mais tout cela vient au secours des mortels pour les mettre en garde et pour les établir fermement en Christ. A mesure que nous nous élevons au-dessus de ce qui paraît être les brumes des sens, nous voyons plus clairement que tout l’hommage du cœur revient à Dieu. L’humanité a surtout besoin de plus d’amour. Une affection pure, concentrique, faisant abstraction du moi, qui pardonne les injustices et les prévient, devrait faire vibrer la lyre de l’amour humain. » (Ecrits Divers, p. 107) Ceci a fait bouger ta pensée ? Alors partage-le, s’il te plaît !
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Pour t’abonner, va en haut de la page, entre ton mail dans la colonne de droite. C’est gratuit, sans pub ni spam. Vous pouvez visiter: PAGE D'ACCUEIL DU SITE-WEB MES AUTRES DOCUMENTS PUBLIES 10/11/2012 0 Commentaires Le penseur et ses pensées Récemment j’ai été témoin d’une guérison d’une hernie. Je me rends compte que cette déclaration pourrait en faire douter plus d’un. Mais ce qui était intéressant, c’était que bien que le monsieur m’ait demandé de prier, j’ignorais tout de son hernie. Il a demandé la prière pour tout autre chose, et le souci de la hernie qui le taraudait depuis longtemps a été réglé en une journée sans qu’une attention directe soit portée au problème. Pendant plusieurs jours avant son appel à l’aide, j’avais considéré l’infinitude du Bien divin en partant d’un milliard d’angles divers et variés. Par conséquent j’ai été témoin de plusieurs guérisons rapides de problèmes physiques, y compris le cas de la hernie. Une pensée scientifique juste qui guérit—ce n’est pas seulement la pensée positive. On peut penser positivement et malgré cela s’identifier soi ou les autres comme faibles, vulnérables, ou craintifs. La perspective erronée de la création de Dieu comme des victimes matérielles, mortelles, limitées du mal est la boîte de Pandore de la souffrance. Mais une pensée scientifique juste prouve que Pandora et sa boîte ne sont rien d’autre qu’un mythe, et place et le penseur et pensée immuable Bien spirituel qui est Dieu. Une pensée scientifique juste implique une conscience spirituelle du bien, qui est un guérisseur naturel, spirituel. Dieu, étant l’Entendement universel de tous, est la seule conscience réelle, la seule source de la vraie pensée. La conscience divine de l’Entendement remplit tout l’espace. L’Entendement est Esprit. Donc la conscience de l’Entendement consiste en l’Esprit divin et se reflète seul dans ce qui est spirituel. L’Entendement est Amour. Alors la conscience de l’Entendement consiste en l’Amour infini et se reflète seulement dans ce qui est aimant et aimable. Dans la conscience de l’Entendement, tous et tout reflètent la pureté de l’Esprit et la bonté de l’Amour. La conscience spirituelle inclut et le penseur et sa pensée. Une fois, Jésus a envoyé soixante-dix disciples faire une tournée de guérison à travers plusieurs villages de Galilée. En rentrant, ils étaient euphoriques en raison du contrôle personnel qu’ils exerçaient sur les démons—des formes variées du mal. (Voir Luc 10 :17-20) Ils attribuèrent ce pouvoir à Jésus et à l’évocation de son nom. Ils ont dit, « Seigneur, les démons mêmes nous sont soumis en ton nom. » La réplique de Jésus fut, « Je voyais Satan tomber du ciel comme un éclair. Voici, je vous ai donné le pouvoir de marcher sur les serpents et les scorpions, et sur toute la puissance de l’ennemi ; et rien ne pourra vous nuire. Cependant, ne vous réjouissez pas de ce que les esprits vous sont soumis ; mais réjouissez-vous de ce que vos noms sont écrits dans les cieux. » (ibid.) Une façon de considérer la réponse de Jésus est qu’il s’agit d’une réprimande à trois axes. D’abord, il a dit, « Je voyais Satan tomber du ciel comme un éclair. » A mon avis ce n’est pas un compliment. Pour moi « l’éclair qui tombe » se réfère à une pensée-éclair comme en pilote automatique. C’est une façon de trouver l’antidote aux problèmes en liant certains symptômes à certaines « vérités »--des pensées positives usées jusqu’à la corde. Même le nom de Jésus, qui a un grand pouvoir pour introduire du positif, quand on le répète simplement comme une formule pour la prière, entre dans cette catégorie. Des prières stéréotypées constituent un moyen facile et séduisant de éviter la pensée plus profonde qui met le penseur au défi de découvrir la vraie nature de Dieu et du bien que lui, le penseur, reflète. Des prières stéréotypées, la pensée mécanique, même si elle est positive, peut être un piège si nous ne sentons jamais notre propre unité avec l’Entendement, Dieu, qui fait de nous de vrais guérisseurs. Tout effet positif n’est que provisoire et le produit de la foi aveugle, ce qui n’est sain ni pour le guérisseur ni pour la personne qui demande de l’aide par la prière. Mary Baker Eddy a écrit, « Quand le mécanisme de l’entendement humain cédera la place à l’Entendement divin, l’égoïsme et le péché, la maladie et la mort perdront leur point d’appui. » (Science et Santé avec la Clef des Ecritures, p. 176) Et puis, plus loin, elle explique à quoi ressemble « perdront leur appui » :L’évidence du pouvoir guérisseur et de l’empire absolu de l’Entendement divin est pour moi aussi certaine que l’évidence de ma propre existence. » (ibid, p. 177) Deuxièmement, Jésus a mis l’accent sur le fait que ses disciples devaient écraser complétement l’ennemi. Ils ne devaient pas faire grand cas des démons, ne pas les soumettre au moyen du contrôle humain, personnel. Il a dit, « Voici, je vous ai donné le pouvoir de marcher sur les serpents et les scorpions, et sur toute la puissance de l’ennemi ; et rien ne pourra vous nuire. » L’autorité spirituelle qu’il met en avant ici illustre ce que signifie vraiment prier « au nom de Jésus.» Plus qu’un contrôle humain exercé sur le mal, guérir au nom de Jésus implique que l’on s’ouvre au plein pouvoir du Christ, le message envoyé par Dieu du Bien divin, afin de découvrir et de détruire toutes les formes sournoises, rampantes, venimeuses du péché ou la maladie qui peuvent nous tourmenter. Etre humblement d’accord pour lâcher prise sur les opinions personnelles et éviter le jugement humain, mécanique, nous permet d’avoir , par l’Entendement—l’entendement du Christ--une vision fraîche, qui guérit, de ce qui se passe réellement. Chaque cas mérite le meilleur de notre humilité et de notre bonne volonté de nous tourner vers l’Entendement divin pour un aperçu neuf du bien. Troisièmement Jésus leur a dit, « Cependant, ne vous réjouissez pas de ce que les esprits vous sont soumis ; mais réjouissez-vous de ce que vos noms sont écrits dans les cieux. » Le penseur fait la valeur de la pensée. Comprendre que l’Entendement est le penseur apporte une conscience de la totalité de Dieu. Nous découvrons nos noms « écrits dans les cieux »--c’est-à-dire, notre unité avec Dieu, Entendement, Esprit, Amour, qui est aussi près de nous que le Penseur de la pensée. Dans la conscience de l’Entendement unique, le mal est perçu comme le néant. Et nous trouvons que l’homme à l’image et la ressemblance de Dieu, est une vraie transparence pour le Christ guérisseur. Il suffit d’une pensée scientifique juste. As-tu considéré que tu es cette pensée ? Tu es le reflet—la pensée scientifique, juste—de l’Entendement divin qui est Dieu. 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Pour t’abonner, va en haut de la page, entre ton mail dans la colonne de droite. C’est gratuit, sans pub ni spam. Vous pouvez visiter: PAGE D'ACCUEIL DU SITE-WEB MES AUTRES DOCUMENTS PUBLIES Il y a quelques jours, mon mari et moi avons vu une histoire troublante dans le journal. A la une il y avait une photo d’un car scolaire, sale, totalement déglingué, abandonné au milieu d’un terrain vague boueux. On y avait trouvé deux enfants, de 10 et 5 ans respectivement, qui vivaient dedans, tout seuls. J’ai pensé, « Ces chers enfants—j’espère qu’on en prend grand soin. » Puis il m’est venu en mémoire une conversation avec quelqu’un des années auparavant. Je traversais le parking du supermarché quand une totale inconnue s’est approchée de moi. Elle voulait seulement me dire combien elle admirait la veste colorée que je portais. Je l’ai remerciée du compliment et m’apprêtais à poursuivre mon chemin quand d’un coup elle a attrapé les revers de la veste, m’a regardée droit dans les yeux, et crié comme s’il y avait urgence, « Priez pour les enfants ! S’il vous plaît, priez pour les enfants ! » Elle s’agrippait si fort à moi que vite j’ai promis de le faire, certainement. Finalement elle m’a relâchée et s’est éloignée. Je me suis hâtée vers le magasin. Comme j’arpentais les allées du magasin, remplissant mon chariot, les supplications de l’inconnue n’arrêtaient pas de retentir dans mes oreilles. J’ai pensée, « J’ai fait une promesse. Pourquoi ne pas commencer dès à présent ? » Je me suis fermée à l’agitation de la foule et j’ai prié. En rentrant, je me suis fait un petit à moi-même : Prie pour les enfants. Je voulais honorer ma promesse et ce mot me l’a rappelée durant des mois. Aujourd’hui je ne me souviens plus de ces prières d’antan, mais après avoir lu l’article du journal, je me suis rappelé cette promesse. Alors, je recommence à prier spécifiquement pour les enfants, pour tous les enfants, en insistant pour comprendre leur origine et filiation spirituelles, et leur sécurité dans les bras de Dieu. A l’abri dans l’Amour, veillé par le Principe, pas un seul enfant ne peut être exclu, abandonné, négligé, ou abusé. Chacun est « gravé….sur [Ses] mains » (Esaïe 49 :16) Te joindras-tu à moi en priant pour les enfants du monde aujourd’hui ? « Quiconque reçoit en mon nom un de ces petits enfants me reçoit moi-même. » Christ Jésus (Marc 9 :37) « Enfants de lumière, vous n’êtes pas les enfants des ténèbres. » Mary Baker Eddy (La première Eglise du Christ, Scientiste, et Miscellanées, p. 191) Ceci a fait bouger ta pensée ? Alors partage-le, s’il te plaît !
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Droits d'Auteur 2011-2025. Tous les droits sont réservés. Michelle Boccanfuso Nanouche, CSB. Mentions Légales. (Pages mises à jour le 6 janvier, 2025.)
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