![]() Qu’est-ce que tu fais lorsque mille symptômes de la maladie hurlent tous en même temps pour attirer ton attention ? Si tu es comme le Gérasénien (voir Luc 8 :26 – 39), exclu d’une vie normale en raison d’une lutte prolongée avec la maladie, tu pourrais avoir l’impression d’être coincé parce que tu te vois comme un débris misérable. Voici quelques idées : Quand quelqu’un demande comment tu vas, est-ce qu’en guise de réponse tu énumères tes maux ? Au réveil, est-ce que ta première pensée est, « Je me demande ce qui fait mal ce matin « ? Est-ce que tu organises ta journée autour d’activités qui risquent le moins d’aggraver tes symptômes ? Est-ce que pour toi le temps se mesure en fonction de la dernière fois où tu te sentais bien ? Ne te décourage pas si tu te reconnais dans cette liste. Il n’est pas trop tard pour inverser ton cas. Le fondateur de la Science Chrétienne, Mary Baker Eddy, a donné des instructions essentielles sur la guérison de tels cas. Dans son ouvre fondatrice, Science et Santé avec la Clef des Ecritures, elle a expliqué : Les malades ne savent rien du processus mental par lequel ils ont été débilités, et ils ne connaissent guère la méthode métaphysique par laquelle ils peuvent être guéris. …Faites-leur comprendre qu’ils pensent trop à leurs maux et qu’ils en ont déjà trop entendu parler. Détournez leurs pensées de leur corps vers des vues plus élevées. Enseignez-leur que leur être est soutenu par l’Esprit, non par la matière, et qu’ils trouvent la santé, la paix et l’harmonie en Dieu, l’Amour divin ….Ce qui semble évident aux sens corporels n’est pas la Science de l’homme immortel. (416, 417) Mary Baker Eddy a pris Christ Jésus comme autorité pour la guérison des cas de maladie rebelles. Dans le cas du Gérasénien, Jésus lui a demandé, « Quel est ton nom ? » L’homme lui a répondu, « Légion est mon nom, car nous sommes plusieurs. » (Marc 5 :6-13) Peu après, l’homme allait bien. Eddy a expliqué, « L’Ecriture semble indiquer par là que Jésus obligea le mal à se reconnaître lui-même et ainsi à se détruire. » (Science et Santé, 411) L’on pourrait se demander, « se reconnaître lui-même ? Comment ça ? » Quelle est la seule chose que tu connais, alors même que tu peux oublier ou être distrait par plein d’autres choses ? Ton nom. Tu connais ton propre nom. C‘est ce qui t’identifie. Tu n’en doutes jamais. Tu connais toujours ton nom. Ne laisse pas la maladie, ou les symptômes, devenir ce qui t’identifie, ton nom. Ne te laisse pas berner. Tu connais ton nom. Ceci a fait bouger ta pensée ? Alors partage-le, s’il te plaît !
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Droits d'Auteur 2011-2025. Tous les droits sont réservés. Michelle Boccanfuso Nanouche, CSB. Mentions Légales. (Pages mises à jour le 3 fevrier, 2025.)
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