Après la publication du blog intitulé Une approche plus gentille, plus douce, à votre corps le 25 octobre, un lecteur a demandé si la même approche-- à savoir : reconnaître que corps humain obéit à la pensée, et faire attention à ce que nous permettons de nous influencer—pourrait avoir un rapport avec la question de la nourriture. La réponse courte est, Oui. La réponse longue est peut-être plus complexe, parce que les croyances et comportements relatifs à la nourriture tendent à se mêler à presque tous aspects de la vie quotidienne—touchant à des questions de santé, désir, appétit, image corporelle, estime de soi, émotions, souvenirs, vie et mort. C’est un sujet qu’on peut aborder par bien des angles et on ferait peut-être bien de le faire par petites bouchées ! Lire plus A l’époque où je m’entrainais pour un marathon la question « Comment considérer la nourriture ? » s’est posée, mais ce n’était jamais une question isolée. Que manger, et en quelle quantité, incluait d’autres considérations, telles que l’énergie, l’endurance, la vitesse, la digestion et le poids. J’ai lu des tas d’articles et livres sur la course à pied, et chacun présentait son angle propre sur la question de l’alimentation. Il était intéressant de constater qu’il n’y avait pas deux approches identiques. Par conséquent, j’ai décidé d’être un penseur indépendant s’agissant des questions de l’alimentation et du corps. Je me sentais libre de trouver ma propre voie. J’ai décidé d’être guidée par deux règles : 1) Ne pas être obsédée par la nourriture, et 2) 2) Ne pas être obsédée par les effets de la nourriture sur le corps. La première règle tient son autorité de Christ Jésus dans le Sermon sur la Montagne. Jésus a dit, « Nul ne peut servir deux maîtres. Car, ou il haïra l’un, et aimera l’autre ; ou il s’attachera à l’un, et méprisera l’autre…C’est pourquoi je vous dis : Ne vous inquiétez pas pour votre vie de ce que vous mangerez. » (Matthieu 6 : 24-25). La deuxième règle tire son autorité de Science et Santé avec la Clef des Ecritures par Mary Baker Eddy, qui aide à appliquer les préceptes bibliques à la vie de tous les jours. Elle a écrit, « Si les mortels croient que na nourriture trouble les fonctions harmonieuses de l’entendement et du corps, il faut supprimer soit la nourriture soit cette pensée , car la peine est inséparable de la croyance. » (pp. 388-389). Plus loin elle a écrit, « Le corps le plus harmonieux est celui où l’accomplissement des fonctions naturelles attire le moins l’attention. » (p. 478). Comme j’en ai discuté dans l’autre blog, je voyais la course comme une expression naturelle d’inspiration, de force et de joie. Je voyais que le corps, obéissant à la pensée, était conçu dans le but de me permettre de faire ce que j’aimais. J’ai réalisé aussi que le corps n’est pas une machine indépendante—comme, par exemple, une voiture—qui a besoin d’être alimenté par une source extérieure. Il est alimenté par la pensée. J’ai classifié le fait de manger, de courir, comme deux fonctions naturelles qui ne seraient pas facilitées par des pensées agitées, craintives, conflictuelles, ou en étant contraintes à la soumission. J’ai adopté une approche plus douce, plus gentille. J’ai mangé à intervalles réguliers, et généralement ne me souciais ni de la qualité ni de la quantité. Si je me surprenais à trop penser à la nourriture, ou à craindre ses effets, je faisais la pause afin d’obtenir une vision claire de qui (moi, sous l’influence du divin) et de quoi (ma pensée inspirée) avait l’autorité. Par conséquent mon rapport à la nourriture s’est harmonisé à mesure que je cessais à être obsédée par l’heure du repas, ou par la quantité que je mangeais . Je cherchais à exprimer autant de qualités spirituelles que possible avant, pendant, et après la course. Je ne propose pas de pensées radicales au sujet de la nourriture. Tout ceci était l’idée de Jésus. Voici la perspective Christ sur la nourriture—« Regardez les oiseaux du ciel : ils ne sèment ni ne moissonnent, et ils n’amassent rien dans les greniers ; et votre Père céleste les nourrit. Ne valez-vous pas beaucoup plus qu’eux ? Qui de vous, par ses inquiétudes , peut ajouter une coudée à la durée de sa vie ? Et pourquoi vous inquiéter au sujet du vêtement ? Considérez comment croissent les lis des champs : ils ne travaillent ni ne filent ; cependant je vous dis que Salomon même, dans toute sa gloire, n’a pas été vêtu comme l’un d’eux. Si Dieu revêt ainsi l’herbe des champs, qui existe aujourd’hui et demain sera jeté au four, ne vous vêtira-t-il pas à plus forte raison, gens de peu de foi ? Ne vous inquiétez donc pas, et ne dites pas : Que mangerons nous ? Que boirons-nous ? de quoi serons-nous vêtus ? Car toutes ces choses, ce sont les païens qui les recherchent. Votre Père céleste sait que vous en avez besoin. Cherchez premièrement le royaume et a justice de Dieu ; et toutes ces choses vous seront données par-dessus. » (Matthieu 6 :26-33). Vous pouvez visiter: PAGE D'ACCUEIL DU SITE-WEB LA PAGE DES BLOGS MES AUTRES DOCUMENTS PUBLIES READ THIS BLOG IN ENGLISH
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