_ Il y a un certain nombre d’années, quand mon mari et moi étions en Italie pour vendre une propriété de famille, nous avons été interloqués de rencontrer une forte résistance au fait que j’avais voix au chapitre dans les décisions concernant la vente . Dans cette région du pays, les affaires étaient du domaine des maris, des pères ou des fils aînés. Sur le plan social, les femmes favorisaient les intérêts des hommes. Quand j’ai discerné une tentative grossière de sous-évaluer le juste prix du marché de la propriété en question, je me suis fait entendre. Mon intervention ne fut pas appréciée par les hommes d’affaires avec lesquels nous traitions. Je me sentais intimidée et me suis mise en colère. Lire plus _ Tout a déraillé après cela. Non seulement nous étions face à la malhonnêteté dans la transaction, mais en plus une soudaine et très imprévue grève des banques s’est déclenchée, il y a eu des pluies inhabituelles pour la saison accompagnées d’inondations torrentielles, et il y avait la difficulté de communication italien. Et pour couronner le tout, je suis tombée sérieusement malade avec un abcès dentaire et une infection à l’oreille qui me rendaient incapable d’entendre, de manger ou même de soulever ma tête de l’oreiller. Dans ce petit village j’avais plus peur d’un dentiste italien que du problème alors j’ai décidé de patienter. Au bout de trois jours dans cet état terrible, mon état s’est soudain aggravé. J’avais l’impression que c’en était trop ne serait-ce que pour penser, sans parler de prier. La tentation était forte de perdre connaissance, bercée par la pensée, « Reste tranquille et endors-toi. » Puis je me suis rendu compte que dans cette culture-là c’était exactement ce que l’on attendait des femmes—qu’elles se taisent et restent à l’écart. Quelque chose au fond de moi s’est rebellé. Et plutôt que de céder à la facilité et perdre connaissance, j’ai prié. J’ai refusé d’accepter que mon droit de penser et de m’exprimer puisse m’être retiré. Cette prière était une affirmation de la vérité que j’étais l’idée consciente, intelligente de Dieu—ayant tous les droits et privilèges et autorité, en tant que Son enfant, de parler—et que je ne pouvais être limitée par un stéréotype sexiste et mortel. _ Ma dernière pensée avant de m’endormir fut, « Rien ne peut me dépouiller de mes droits d’entendement en tant que l’idée de l’Entendement. » Puis, rideau. C’était la première fois que je dormais depuis trois jours. En me réveillant, j’étais forte, libérée de la douleur, et complètement bien. Pas une seule minute de récupération ne fut nécessaire. En outre, les autres obstacles au progrès se sont éloignés. Avec cette autorité spirituelle toute neuve, j’avais confiance dans ma capacité de parler haut et fort et de faire entendre mes pensées—même en italien. A mesure que la transaction avançait, il y a eu un changement d’attitude et de comportement de la part de nos interlocuteurs. Désormais mes paroles comptaient. La vente s’est conclue, à un prix juste, durant une pause d’une heure entre deux grèves. Les inondations se sont dissipées à temps pour nous permettre de conclure l’affaire dans un quartier de la ville qui était isolée par les eaux seulement quelques heures plus tôt. Et à la fin, toutes les parties en présence étaient contentes. Rétrospectivement, on aurait dit une expérience du genre Moïse-face-à-la-Mer-Rouge. Les eaux se sont écartées et toute forme de résistance à la conclusion de l’affaire a été engloutie. Mais ce que je retire de tous ces événements un peu fous est le pouvoir qu’a une prière toute simple de prendre position en faveur de notre droit et capacité d’exprimer la domination accordée par Dieu en dépit des limites imposées. Je n’étais pas seule à être bénie. Tous—depuis les hommes d’affaires jusqu’à la municipalité en passant par la banque—ont été touchées par cette prière. Les Ecritures révèlent l’essence de l’homme et de la femme, l’homme et la femme créés par Dieu (Voir Genèse, 1) La vraie individualité de chacun d’entre nous est l’image et la ressemblance de l’Esprit, le reflet pur, immuable, complet de Dieu, le bien. Les stéréotypes sexistes sont enracinés dans le concept que l’homme est une personnalité mortelle, divisée et compartimentée, avec des forces et faiblesses inhérentes. (Voir Genèse, 2-3) Mais ce sens de la création avec un Adam et une Eve dysfonctionnels est à côté de la plaque. Les hommes et les femmes sont en réalité conçus pour affermir, bénir et se soutenir l’un l’autre. Jetons les préjugés aux orties. Et faisons-le à travers une compréhension spirituelle de ce qu’est le véritable état d’homme et de femme. Science et Santé avec la Clé des Ecritures met l’accent sur le fait spirituel que, « L’homme et la femme, coexistant avec Dieu et éternels comme Lui, reflètent à jamais, en qualité glorifiée, l’infini Père-Mère Dieu. » (p. 516) Ce poste t’a plu ? Tu y as trouvé de l’aide ?
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Droits d'Auteur 2011-2024. Tous les droits sont réservés. Michelle Boccanfuso Nanouche, CSB. Mentions Légales. (Pages mises à jour le 5 novembre, 2024)
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