8/11/2011 0 Commentaires Brûlant d’Amour divin La passion. Qu’elle soit pour une personne spéciale, un projet chéri, ou un objectif de vie—qui d’entre nous n’adore pas la sensation qui est celle d’un but exalté, d’une anticipation impatiente, enthousiaste que nous appelons passion ? Je ne parle pas ici d’une simple réaction physique, ou d’un lien émotionnel. La passion, prise dans son sens spirituel, est le feu d’inspiration et d’amour pur pour son objet. Beaucoup se donnent énormément de mal pour capturer la vraie passion. En la trouvant, ils espèrent la maintenir aussi longtemps que possible. Mais lorsque le feu initial de la passion semble s’estomper et n’être plus que braises, est-ce que cela signifie que l’amour et l’inspiration en viennent à disparaître ? Y a-t-il un moyen à mettre en œuvre pour souffler sur la flamme et ranimer l’ardeur de l’engagement inspiré à l’égard de la personne ou de la chose si spéciale qui nous aimons ? Lire plus La Bible offre quelques idées quant à ce qui se passe au cours de relations prolongés, ou de carrières, lorsque dans les modes de pensée et d’action l’habitude prend le dessus. Le devoir remplace l’activité joyeuse, des actes spontanés d’attention commencent à s’asphyxier dans la routine quotidienne, et ce que l’on aimait intensément autrefois peut devenir une épreuve de notre patience ou un test d’endurance. L’apôtre Jean a délivré un message à une église à Ephèse, en Turquie, qui avait succombé à la routine journalière. Il a averti, « Je connais tes œuvres, ton travail, et ta persévérance, et que tu as souffert…, et que tu ne t’es point lassé. Mais ce que j’ai contre toi, c’est que tu as abandonné ton premier amour. » (Apocalypse 2 : 2-4.). Selon moi, Jean fait l’éloge du fait qu’ils tiennent bon et poursuivent avec acharnement. Mais qu’était-il arrivé à la passion de leur premier amour, la ferveur de leur résolution ? Charitablement, Jean ne les laisse pas se débattre après l’avertissement. Il délivre également des conseils de sagesse. Il dit, « Souviens-toi d’où tu es tombé, repens-toi, et pratique tes premières œuvres. » (Apocalypse 2 : 5). Ici, la passion est liée à la vision, et la vraie vision implique l’inspiration. Lorsque nous capturons de nouveau l’inspiration qui a initié et encouragé une bonne idée ou une relation, nous renouons avec la flamme—le premier amour qui restaure la joie et la résolution. En outre, quand nous laissons nos actions d’inspirer d’une vision renouvelée, cela peut faire l’effet d’un éventail soufflant sur une étincelle jusqu’à ce que le feu reprenne. Trouvez l’inspiration et vous trouvez la raison d’être. Exprimez l’inspiration en faisant « les premières œuvres » et vous partagez un feu tout neuf et passionnant avec un monde qui l’attend. Durant la première décennie de notre mariage, peu à peu mon mari et moi nous trouvions de plus en plus à l’aise dans la routine du travail et des responsabilités familiales. Nous avions une relation douce, aimante avec beaucoup de hauts, et très peu de bas. Cependant, en dépit du fait que les choses se déroulaient de manière généralement exempte de problèmes, nous étions quand même deux personnes évoluant chacune à son propre rythme, avec des intérêts et activités parfois convergents, souvent divergents. Dans une certaine mesure, nous avions laissé notre relation s’empoussiérer. Aux approches de notre dixième anniversaire de mariage, je désirais profondément redécouvrir le feu l’intention initiale de la relation. Ce n’était pas un sujet dont j’estimais pouvoir discuter avec mon mari tout de suite. J’ignorais s’il se sentait aussi contrarié que moi. Je ne désirais certainement pas le blesser ni lui faire peur en lui exposant mes pensées prématurément. Alors avant de lui en parler, j’ai décidé de prier au sujet de mon mariage—et de prier pour mon mariage. J’avais toujours senti que notre relation était un don de Dieu, alors il me semblait normal d’aborder mes questions en prière. Une de mes questions concernait le sujet de la spiritualité. Celle-ci était très importante dans ma vie. Pour lui ? Pas tant que ça. C’était moi qui allais à l’église, lui travaillait le dimanche. J’étais spirituellement affamée—je cherchais, réellement. Il paraissait n’avoir aucune curiosité spirituelle. Alors, j’ai demandé à Dieu, « Après dix ans ensemble, sommes-nous vraiment sur des chemins de vie différents ? Y-a-t-quelque chose à faire pour réunir ces deux voies divergentes ? » En faisant une étude spirituelle au sujet du mariage, je suis tombée sur un énoncé qui s’est avéré un vrai message d’alerte. Elle se trouve dans Science et Santé avec la Clef des Ecritures par Mary Baker Eddy—un livre qui rend vivant le message de la Bible. En page 90, elle écrit, « Admettre en son for intérieur que l’homme est la propre ressemblance de Dieu met l’homme à même de saisir l’idée infinie ». J’avais pensé que si seulement mon mari changeait, ou qu’il admettait à lui-même qu’il était spirituel, alors nous pouvions redécouvrir notre lien. Mais soudain j’ai réalisé que cela ne dépendait pas de lui. Ce n’était pas lui qui ne se concevait pas comme spirituel. C’était moi! En considérant attentivement l’énoncé dans Science et Santé, j’ai vu que si j’avouais à moi-même que mon mari était la propre image de Dieu, cela nous mettrait tous les deux à même de saisir les possibilités infinies de notre mariage ! J’ai entrepris de prier quotidiennement pour guetter, et être témoin de, la spiritualité de mon mari, et j’ai commencé à noter tant de ses qualités spirituelles. Le mariage, pour moi, est devenu un engagement total de témoigner du meilleur en chacun. J’ai découvert que la passion que j’avais cherchée était présente, et directement proportionnelle à mes prières et à mon témoignage spirituel. Notre vie ensemble était de nouveau pleine de joie et inspiration. Je ne lui ai jamais dit un mot au sujet de cette prière, ni du renouveau spirituel, parce que mes difficultés à ce sujet étaient entre Dieu et moi. Mais mon mari a remarqué que le mariage était meilleur que jamais, et il avait raison ! Ce mariage avait été formé en prière. Bien des années plus tôt j’avais prié tous les jours pour voir les qualités de Dieu exprimées chez un compagnon de vie. Quand j’ai rencontré mon mari, j’ai tout de suite reconnu ses qualités divines. Après les noces et avec le temps, la prière régulière, constante, a été peu à peu abandonnée et la routine habituelle des affaires familiales l’ont remplacée. Et la vision ? L’inspiration ? Le feu et la passion ? Tout cela s’était lentement estompé à mesure que la relation était de plus en plus privée de l’élément si essentiel à sa formation—la prière quotidienne. Le conseil de Jean aux Ephésiens touchait juste. J’ai redécouvert mon « premier amour » en faisant les « premières œuvres »--en pratiquant à nouveau ma prière constante qui nous avait réunis au départ. La prière n’est pas juste une aide d’urgence de dernière minute. La prière peut être un lien de vie permanent avec une expression ardente de Vie, Dieu. Si vous recherchez davantage de passion dans votre vie, je ne saurais trop vous recommander la prière régulière, quotidienne qui vous vous ouvre à la découverte du divin exprimé de plus en plus autour de vous. Admettre que vous êtes la propre ressemblance de Dieu, tout comme ceux autour de vous, peut vous mettre à même de vivre une vie vraiment inspirée—brûlante d’Amour divin. 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Droits d'Auteur 2011-2024. Tous les droits sont réservés. Michelle Boccanfuso Nanouche, CSB (Pages mises à jour le 28 octobre, 2024)
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