23/6/2012 0 Commentaires Ce que peut faire un point de vue spirituel - un billet par mon invitée Kay Olson, CSBLa période avait été assez agitée. Nous avions déménagé du Nord au Sud avec nos six enfants, et en attendant la vente de notre ancienne maison, nous habitions un grand immeuble collectif. Pas évident avec six enfants et un chien ! Oui. C’était agité. Mais c’était aussi une aventure. L’immeuble était récent et attrayant, et la vie y était semblable à celle d’un dortoir de fac. Mieux même, les portes de la terrasse donnaient sur la piscine et maintenant que nous étions dans le Sud, nous avions plein d’occasions de nager. Tout en étant très occupée par le déménagement et la famille, je commençais aussi à prendre des appels de personnes désirant de l’aide par la prière pour résoudre leurs problèmes. En attendant de trouver un bureau en ville, j’ai pris un secrétaire dans un coin de ma chambre pour avoir un lieu tranquille pour étudier et prier. La Bible et Science et Santé avec la Clef des Ecritures par Mary Baker Eddy étaient mes livres pour la prière de guérison. Une certaine idée dans Science et Santé m’était d’un grand soutien durant le déménagement et l’installation. « Ce dont nous avons le plus besoin, c’est de la prière du désir fervent de croître en grâce, prière exprimée par la patience, l’humilité, l’amour et les bonnes œuvres. » (p. 4) Avec les allées et venues de tant d’enfants et tant de nouveaux voisins en plus, bien des fois j’ai cherché particulièrement la patience ! Un cas d’espèce était notre voisin de dessus. Woody était un garçon aimable, liant. Cependant, il aimait vraiment sa musique. Il l’aimait F-O-R-T ! Parfois elle nous empêchait de dormir. Il fallait faire quelque chose, alors j’ai prié. En général, mes prières suivent la Règle d’or, que j’interprète de la façon suivante : « Pense envers les autres comme tu voudrais qu’ils pensent envers toi. » Je me suis efforcée d’identifier Woody et tous nos voisins de la manière dont j’étais sûre que Dieu les identifiait : comme l’image et la ressemblance de Dieu qui est la Vie, et donc tout à fait bon même quand les choses n’en ont pas l’air. Je savais qu’un point de vue spirituel avait de l’importance et qu’il aurait une prolongation dans mes actions. Je suis retournée à ce passage sur la patience, l’humilité, l’amour et les bonnes œuvres dans Science et Santé. Je me suis demandé quelle bonne œuvre je pouvais faire qui m’aiderait à atteindre Woody. Attendant une réponse, j’ai pensé : « Offre-lui une assiette de biscuits. » Alors c’est ce que j’ai fait. Je lui ai apporté des biscuits, en même temps qu’un sourire patient et beaucoup d’affection. Je lui ai dit combien nous étions contents de l’avoir comme voisin. Cela lui a fait tellement plaisir ! Puis doucement je lui ai demandé si, de grâce, il pouvait baisser un peu le volume de sa musique. Bien entendu, il l’a fait. Plus d’ennuis de bruit. Nous étions amis à présent. Un autre jour, après la solution au problème du bruit, la petite amie de Woody a cogné frénétiquement sur notre porte, appelant à l’aide. « Woody est par terre, sans connaissance ! » J’ai couru dans l’escalier avec elle jusqu’à l’appartement. En effet, il était couché par terre ; il avait perdu connaissance. Elle m’a rappelé que Woody était diabétique et que l’incident était grave. En larmes elle s’est écriée, « Ne le laissez pas mourir ! » Je me suis attachée à une pensée, le point de vue spirituel qui m’était venu auparavant. Je me suis accrochée au fait spirituel que Dieu est la Vie, et que Woody était Son image et ressemblance. A genoux par terre, j’ai parlé très fermement, en disant, « Dieu est ta vie. » Son amie continuait à pleurer, disant « S’il vous plaît, ne le laissez pas mourir. » Je l’ai assurée que je ne le ferais pas. J’étais aussi certaine de cela que le da présence de Dieu. Je me suis focalisée sur les faits spirituels, étant convaincue que Dieu, la Vie était derrière moi et Woody. J’ai senti le pouvoir et l’autorité spirituels derrière les paroles. J’ai répété, « Dieu est ta vie, » et Woody a commencé à bouger un peu, battant légèrement des paupières. Je lui ai dit de répéter, « Dieu est ma Vie. » Tout d’abord il ne pouvait pas. Mais de nouveau, j’ai dit, « Dis-le . Dis, Dieu est ma Vie. » Rapidement il a pu parler et il a répété les paroles. Quand il a commencé à se redresser, son amie m’a attrapée par la main et dit, « Nous devons sortir—il peut devenir violent après un tel épisode. » Au début je l’ai suivie dehors, mais au bout de quelques secondes, j’ai pensé, « C’est dingue de sortir! Je n’ai pas peur. Et, je n’ai certainement pas peur de Woody ! » On a ouvert la porte et le voilà assis sur le canapé, souriant. Il était complètement bien. Plusieurs années sont passées, et après qu’on avait déménagé de l’appartement dans une grande vieille maison, Woody est venu me voir. Cela faisait longtemps. Il a dit, « Vous savez, ce jour-là, vous m’avez sauvé la vie. » Bon, j’ai prononcé les paroles. Mais le point de vue spirituel qui l’a sauvé était entièrement à Dieu. Kay Olson, CSB, est practicienne et professeur de la Science Chrétienne en Pennsylvanie US. Elle peut être contactée directement à [email protected]
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Droits d'Auteur 2011-2024. Tous les droits sont réservés. Michelle Boccanfuso Nanouche, CSB. Mentions Légales. (Pages mises à jour le 5 novembre, 2024)
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