Ceux qui guérissent, quelle que soit leur méthode, doivent faire tellement attention que rien-- que ce soit dans leur pensée, ou dans la manière dont ils mènent leur vie-- ne puisse entraver la capacité de leurs patients de bénéficier de leurs efforts pour les aider. Ceci est aussi essentiel à la pratique de la médecine qu’à celle de la Science Chrétienne. Le découvreur de la Science Chrétienne, Mary Baker Eddy, ne considérait pas sa découverte comme un système en concurrence avec la science médicale. Elle la voyait comme un nouveau départ, basée sur une meilleure prémisse—une avancée ancienne/nouvelle au-delà du raisonnement limité, basé sur le point de vue que l’homme est une entité strictement physique, renfermant des limitations inhérentes et des problèmes inévitables. Non qu’elle reléguait la Faculté à la catégorie de charlatans, bien au contraire ; elle avait un grand respect pour les motivations et les aspirations de ceux qu’elle appelait « l’élite des médecins. » Elle avait une expérience de première main de ce que l’amour pour l’humanité et un désir de soulager la souffrance pouvaient faire pour le genre humain. Elle a écrit, « Pour me guérir, j’aurais plus de confiance en un honnête médecin attaché à ses remèdes, qui s’en tient à ce qu’il affirme et qui travaille en partant d’une base aussi élevée que le lui permet sa compréhension, que je ne pourrais ou ne voudrais en avoir en un hypocrite au langage mielleux ou en celui qui s’adonne à la mauvaise pratique mentale. » (Ecrits Divers, 19) Mrs. Eddy plaçait une très haute valeur sur la moralité et la spiritualité du guérisseur ; c’est quelque chose qu’elle avait appris durant sa propre pratique médicale de l’homéopathie, avant sa découverte de la Science Chrétienne. Une dame est entrée dans son cabinet d’homéopathe ; elle souffrait de ce qu’on appellerait aujourd’hui un œdème causée par une insuffisance cardiaque congestive. La femme avait été traitée par un autre homéopathe qui avait prescrit un dosage apparemment responsable d’une mauvaise réaction. Mrs. Eddy a pris le cas et a traité la patiente selon sa propre compréhension de qu’était un dosage correct, et l’état de la patiente s’est amélioré régulièrement. Par la suite Mrs. Eddy devait découvrir qu’en fait, sa prescription était identique à celle de l’autre médecin—le genre et le dosage prescrits qui, sous les soins de celui-ci, avaient produit les affreux effets secondaires ; sous les soins de Mrs Eddy, les mêmes apportaient une amélioration remarquable. Pourquoi la différence de résultats ? Plus tard, Mrs. Eddy a noté qu’elle priait toujours pour que Dieu la garde du péché, et qu’il la guide dans ses cas. Nous pouvons en déduire, à juste titre, que la pensée et la moralité du médecin—c’est-à-dire la moralité et la spiritualité d’un guérisseur—sont un composant actif de la guérison. Dans le chapitre « Pratique de la Science Chrétienne » de son livre Science et Santé avec la Clef des Ecritures, Mrs. Eddy a écrit, « Si le Scientiste a assez d’affection chrétienne pour gagner son propre pardon, …..alors il est assez chrétien pour traiter ses patients scientifiquement et user de compassion envers eux. Si l’hypocrisie, l’indifférence, l’inhumanité, ou le vice pénétrait dans la chambre du malade par le soi-disant guérisseur, cela transformerait, s’il était possible, en un repaire de voleurs le temple du Saint-Esprit—c’est-à-dire le pouvoir spirituel qu’a le patient d’opérer sa propre résurrection. » (p. 365) Les guérisseurs doivent être si alertes pour que leur pensée et leur vie ne projettent pas d’influences négatives par la porte ouverte de la pensée et l’expérience du patient. Les guérisseurs peuvent et doivent prier quotidiennement pour être gardés de la crainte, du découragement, de la fatigue, de la distraction, du vice, afin d’offrir à leurs patients le meilleur soin possible. Le Psaume 25 de offre une prière pour un guérisseur : Eternel! j’élève à toi mon âme. 2 Mon Dieu! en toi je me confie: que je ne sois pas couvert de honte! Que mes ennemis ne se réjouissent pas à mon sujet! 3 Tous ceux qui espèrent en toi ne seront point confondus; Ceux-là seront confondus qui sont infidèles sans cause. 4 Eternel! fais-moi connaître tes voies, Enseigne-moi tes sentiers. 5 Conduis-moi dans ta vérité, et instruis-moi; Car tu es le Dieu de mon salut, Tu es toujours mon espérance. (Nouvelle Edition de Genève) Ceci a fait bouger ta pensée ? Alors partage-le, s’il te plaît !
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Droits d'Auteur 2011-2024. Tous les droits sont réservés. Michelle Boccanfuso Nanouche, CSB (Pages mises à jour le 28 octobre, 2024)
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