Aïd al-Adha est une fête religieuse importante célébrée par les Musulmans et qui a commencé hier. La fête commémore l’acquiescement du prophète Abraham au sacrifice son fils comme acte de soumission à Dieu, ainsi que le consentement du fils à être sacrifié, jusqu’à ce que Dieu envoie un bélier à la place. Selon les traditions chrétienne et juive, le fils en question était Isaac. Pour les Musulmans, la tradition enseigne qu’il s’agissait du fils premier né, Ismaël. Depuis longtemps cette histoire me perturbe. Quelle sorte de Dieu met l’amour de sa création à l’épreuve en exigeant qu’un père fasse une chose si cruelle ? Et quel est ce père qui consent sans réserve à l’idée de sacrifier son enfant ? C’était la foi aveugle ? Était-ce une demande symbolique ? Une illusion religieuse ? Ou est-ce qu’Abraham savait quelque chose que les témoins et ceux qui rapportent l’histoire ignoraient ? Au moment où cet incident a eu lieu, Abraham avait depuis longtemps déjà une relation avec Dieu. Il discutait avec Dieu aussi naturellement qu’un fils avec son père humain. Et quand le Père parlait, Abraham était toujours prêt avec la réponse, « Me voici ! » C’est-à-dire, Me voici, prêt et consentant à mettre toute ma confiance en mon Dieu. Et voilà où l’histoire commence. Dans la version Louis Second, Dieu a dit à Abraham, « Prends ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac ; va-t’en au pays de Morija, et là offre-le en holocauste sur l’une des montagnes que je te dirai. » Et on nous dit que « Abraham se leva de bon matin, sella son âne, et prit avec lui deux serviteurs et son fils Isaac. Il fendit du bois pour l’holocauste, et partit pour aller au lieu que Dieu lui avait dit. » Voici où l’histoire devient intéressante. « Le troisième jour, Abraham, levant les yeux, vit le lieu de loin. » Qu’a vu Abraham au loin ? Un endroit où un sacrifice humain allait bientôt avoir lieu ? Un endroit où un meurtre allait être commis au nom de Dieu ? Quel était « ce lieu au loin » que voyait Abraham de là où il était ? Une chose est certaine : Il a avancé avec confiance et aucune crainte. Il a dit à ses compagnons, « Restez ici avec l’âne ; moi et le jeune homme, nous irons jusque-là pour adorer, et nous reviendrons auprès de vous. » Abraham était-il un menteur ? Considérait-il que c’était un acte d’adoration que de tuer son fils ? Ou bien, est-il possible qu’il sache quelque chose que les témoins ignoraient ? Abraham est bien allé jusqu’au lieu désigné, exactement comme Dieu le lui commandait. Chargeant du bois sur le dos d’Isaac et prenant son couteau, il alla avec son fils, tous deux ensemble, au lieu indiqué. Et quand Isaac a demandé à son père où se trouvait l’agneau pour l’holocauste, Abraham a répondu, « Dieu se pourvoira lui-même de l’agneau. » Ceci me conduit de nouveau à me demander, Abraham était-il un menteur ? Est-ce qu’il cachait la vérité à son fils ? Ou bien est-ce qu’il savait que son Père, son Dieu, était la Vie—la Vie divine qui donne et soutient la vie éternellement, et ne pourrait, ne voudrait pas l’enlever ? La scène se déroule de manière assez dramatique. « Lorsqu’ils furent arrivés au lieu que Dieu lui avait dit, Abraham y éleva un autel, et rangea le bois. Il lia son fils Isaac, et le mit sur l’autel, par-dessus le bois. Puis Abraham étendit la main, et prit le couteau pour égorger son fils. » C’est à cet instant qu’un ange est apparu et a appelé Abraham. Il a répondu, « Me voici ! » Et l’ange dit, « N’avance pas ta main sur l’enfant, et ne lui fais rien ; car je sais maintenant que tu crains Dieu, et tu ne m’as pas refusé ton fils, ton unique. » Abraham, de nouveau, a levé les yeux. Il a vu un bélier retenu par les cornes dans un buisson, et ce bélier fut offert pour l’holocauste. Et il a donné à cet endroit le nom de Jehova-Jiré : ce qui signifie, A la montagne de l’Eternel il sera vu (version Roi Jacques, traduction libre). Que pouvait voir Abraham, qui lui donne une telle confiance au moment où il entrait au pays de Morija ? Que savait-il qui lui permette de rassurer ses compagnons de voyage et son fils que tout était, en effet, bien ? Rappelle-toi, Abraham a dit à ses compagnons, « Moi et le jeune homme, nous irons jusque-là pour adorer, et nous reviendrons auprès de vous. » « Moi et mon fils…reviendrons auprès de vous. » Il a dit qu’ils reviendraient tous les deux. Tu as remarqué cela ? Moi, je ne l’ai remarqué que tout récemment. Abraham savait qu’ils reviendraient tous les deux. Il disait la vérité. A ton avis, que voyait Abraham en levant les yeux ? Qu’est-ce que ce « il » qu’on pouvait voir à Jehova-Jiré ? Je souhaite à tous mes amis et famille musulmans les bénédictions d’Aïd al-Adha. « Abraham. Fidélité ; foi dans la Vie divine et dans le Principe éternel de l’être. » Science et Santé avec la clef des Écritures, par Mary Baker Eddy Ceci a fait bouger ta pensée ? Alors partage-le, s’il te plaît !
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Droits d'Auteur 2011-2024. Tous les droits sont réservés. Michelle Boccanfuso Nanouche, CSB. Mentions Légales. (Pages mises à jour le 5 novembre, 2024)
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