Avez-vous peur que quelque chose que vous avez fait, ou qui vous est arrivé dans le passé vous crée des problèmes maintenant ? Vous vous inquiétez des conséquences sur votre avenir ? Alors que l’offense peut sembler hors d’atteinte dans le temps et l’espace, le divin Esprit qui est Dieu ne vous laisse pas désarmé. L’Esprit, par son Christ guérisseur, peut s’étendre au-delà de la crainte offensante qui vous épingle comme victime des circonstances, et vous réveille à votre être spirituel actuel, libre de tout ennui. Dans un paragraphe intitulé « Obstétrique scientifique » dans Science et Santé avec la Clef des Ecritures, Mary Baker Eddy a écrit, « Une idée spirituelle ne renferme pas un seul élément d’erreur, et cette vérité enlève convenablement tout ce qui est nuisible. » (463) Etre spirituel : qu’est-ce que cela signifie ? Une bonne définition se trouve dans l’Epître de Paul aux Galates. « …le fruit de l’Esprit, c’est l’amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité, la douceur, la tempérance ; la loi n’est pas contre ces choses. » (5:22,23) Une traduction en anglais moderne, The Living Bible, l’explique de la manière suivante : »… Voici la sorte de fruit que l’Esprit Saint produit dans nos vies : amour, joie, paix, patience, gentillesse, bonté, fidélité, douceur, et tempérance. Il n’y a aucune loi contre de telles choses ! » (La Bible Vivante, traduction libre) Nous identifier, nous –mêmes, et les autres, comme les idées spirituelles de l’Esprit divin, c’est découvrir en nous ces fruits—ce dont nous sommes réellement faits. La création de l’Esprit n’est jamais tombée ni n’a été éjectée de la perfection en l’Esprit, puis jetée dans l’imperfection de la matière. L’imperfection n’est pas un facteur pour l’idée spirituelle de Dieu—elle ne fait pas partie de l’équation divine. Le rôle du Christ consiste à nous faire prendre conscience de cette vérité. En même temps que cette prise de conscience, vient le retrait convenable de ce qui nous est offensif—que ce soit une crainte, ou ce qui a l’apparence d’une condition ayant une histoire. Nous appelons cela la guérison-Christ. Ma fille était tout bébé quand elle est tombée malade ; elle présentait des symptômes agressifs et dangereux. La gravité de sa condition et la nécessité d’une guérison immédiate m’ont forcée plus que jamais auparavant, à examiner plus en profondeur mes pensées et mes craintes . En priant pour elle, j’ai pris conscience que je souffrais depuis (trop) longtemps d’une crainte que mon bonheur soit contrôlé et limité par quelqu’un qui me détestait. J’avais accepté cette haine comme un fléau perpétuel sur mon foyer, et même, de bien des manières, je la nourrissais par ma propre réaction négative. Ma fixation sur une cause malveillante ne m'aidait pas. A un moment où je me trouvais extrêmement colérique et réactive, soudain ma fille est tombée malade. Pour moi le signal d’alerte est arrivé quand j’ai réalisé en priant que ni ma fille ni moi ne pouvions être éjectées de la spiritualité, ou de toute la santé et tout le bonheur qu’elle renfermait. Pour une idée spirituelle tout est spirituel et il n’y a aucun mal—ce qui en Science Chrétienne s’appelle souvent « erreur »--avec lequel il faut composer. J’ai reconnu qu’il ne me suffisait pas de savoir cela comme une vérité personnelle. Pour être classée comme vraie, elle devait s’étendre et inclure tous les aspects de mon expérience, y compris l’ennemi que j’avais accepté comme étant mon problème. Voici le côté intéressant : ce n’était pas que je pensais ne plus devoir la détester, comme si j’étais tombée dans un puits et que je devais me forcer à en sortir. Non, j’ai réalisé que je n’étais plus capable de la détester. Dès le moment où je m’identifiais comme appartenant à l’Esprit, je ne pouvais faire autrement que ressentir et exprimer les fruits de l’Esprit. Soudain je ne pouvais connaître cette personne que comme Dieu nous connaissait, elle et moi—comme spirituelle, jamais jetée dans des circonstances matérielles qui pouvaient produire la haine et la réaction. Je l’ai vue comme continuellement bénie, sans interruption. Je me suis vue moi comme bénie. J’ai vu ma fille comme bénie. Le bébé fut guéri instantanément; et l’influence maléfique de la haine sur notre famille s’est arrêtée net. Voilà comment le Christ guérit. Le message de Dieu de la lumière et l’amour et le pouvoir divin révèle chacun d’entre nous comme béni, présentement et de manière permanente. Ces sortes d’expériences sont révélatrices. Elles deviennent des jalons de la croissance spirituelle. Le fait est que nous ne sommes jamais tombés, ni poussés hors de la spiritualité pour finir dans la matérialité. Pas un seul d’entre nous ne passe de la spiritualité à la matérialité, pour ensuite être obligé de lutter pour redevenir spirituel. Nous sommes formés et nés spirituellement et L’Esprit Saint nous maintient précisément à ce point. La loi de Dieu est qu’une idée spirituelle ne renferme pas un seul élément d’erreur. Et comme le déclare le Psalmiste, « Il y a beaucoup de paix pour ceux qui aiment ta loi, Et il ne leur arrive aucun malheur. » (119 :165) Pour t’abonner, va en haut de la page, entre ton mail dans la colonne de droite.
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3 Commentaires
evelyne
25/7/2015 08:14:39
Merci Michelle pour ce billet de blog.
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HANSS
25/7/2015 12:04:37
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25/6/2016 18:24:21
Merci Michelle sur cette illustration sur la façon de prendre soin de nous-mêmes et de notre famille! Makengo, Kinshasa, RDCongo
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