Le dimanche est le jour où je consacre ma prière à l’immigration. Je crois que c’est au cœur de la prière que se réveille le potentiel dormant, que s’adoucissent les préjugés, et que commence le changement authentique. Que faire de « l’étranger dans tes portes » (Exode 20 : 8-10) est une question vieille comme le monde. Les Dix Commandements s’adressaient initialement à une tribu de migrants juifs en pleine expansion. « L’étranger dans tes portes » apparaît dans le Quatrième Commandement, qui donne l’instruction que tous ceux qui se trouvent au milieu de notre territoire—depuis nos familles et ceux sous notre toit, jusqu’à l’inconnu dans la foule—allaient recevoir une bénédiction nouvelle sous la loi nouvelle. « Souviens-toi du jour de repos, pour le sanctifier. Tu travailleras six jours, et tu feras tout ton ouvrage. Mais le septième jour est le jour du repos du Seigneur, ton Dieu: tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bétail, ni l’étranger qui est dans tes portes. » (ibid .). Lire plus Cette règle nouvelle était le grand égalisateur, qui accordait à tous une pause, aux membres de la famille, aux bêtes de somme et jusqu’à l’inconnu dans la foule. Mais nous ne devrions pas négliger la façon dont le Commandement illustre l’équilibre délicate et nécessaire qui existe entre bénédiction et obligation, facteur critique dans le débat sur l’immigration. En acceptant la bénédiction nous-mêmes, nous devons considérer également ceux qui sont autour de nous et qui contribuent au bien dans la communauté. Il y a une obligation morale, applicable à tous les partis en présence, de passer de l’intérêt personnel aux solutions spirituelles, morales, et légales qui aident la communauté dans son ensemble, à progresser. Il y a une bonne raison pour inclure les serviteurs, le bétail, et les étrangers dans le repos du Sabbat. Une pause un jour sur sept, pour réfléchir aux besoins des autres—famille, voisins, travailleurs et étrangers dans nos portes—n’est pas une mauvaise idée. Et une pause d’un jour par semaine qui permet d’acquérir un meilleur sens de la bonté de Dieu—et de la capacité de tous les hommes de voir et de faire l’expérience du bien abondant, là où ils se trouvent et sans enfreindre les droits et la liberté d’autrui—est vraiment une bonne chose. Ma prière pour aujourd’hui est pour comprendre que la bonté infinie de Dieu n’est pas une ressource en constante diminution ou menacée par l’économie. Prenant sa source dans l’Esprit, ce bien est pratique et illimité. Il peut s’exprimer sous la forme d’une bonne idée, un talent utile, un esprit généreux, et un espoir énergique. Il peut se trouver dans l’ouverture à des idées neuves, la capacité de pardonner et d’aller de l’avant, l’humilité et la bonne volonté de travailler dur. Comme la lumière du soleil, il est disponible à tous et à chacun, sans condition préalable ni limite, pour bénir, et jamais menacer aucune expression du bien. J’espère que vous vous joindrez à moi dans cette prière du dimanche. Vous pouvez visiter: PAGE D'ACCUEIL DU SITE-WEB LA PAGE DES BLOGS MES AUTRES DOCUMENTS PUBLIES READ THIS BLOG IN ENGLISH
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Droits d'Auteur 2011-2024. Tous les droits sont réservés. Michelle Boccanfuso Nanouche, CSB (Pages mises à jour le 28 octobre, 2024)
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