_ Je n’y accordais pas beaucoup d’importance pendant ma jeunesse. En fait, j’ai le souvenir très clair d’un jour où je marchais dans le couloir de mon dortoir à la fac et en me disant, « Cela n’a aucune importance ce que je pense, puisque personne d’autre que moi ne connaît mes pensées ! » Je songeais sans doute à quelque chose que je n’aurais pas voulu voir écrit sur mon front . Quelques années plus tard, j’ai découvert combien les pensées intérieures sont importantes. Il s’agissait de maux de tête. Je n’avais jamais eu de maux de tête avant un matin où j’ai senti une douleur intense. Ma première pensée a été d’essayer de trouver un soulagement en me faisant couler un bain chaud—mon endroit habituel où trouver du réconfort quand j’étais perturbée par quelque chose. Me voilà assise, le visage baigné de larmes, parce que je ne trouvais pas de soulagement. _ Puis je me suis mise à considérer ce que j’apprenais par mon étude de la Science Chrétienne. J’étais plutôt débutante à l’époque. Il m’est revenu en mémoire qu’il était important de ne pas permettre au mal de s’incruster dans notre expérience en passant par la porte non surveillée de notre pensée. Alors je me suis demandé ce que j’avais permis d’occuper ma pensée durant la semaine. J’avais pensé presque sans arrêt à ma voisine et à ses problèmes conjugaux. Nous étions devenues de bonnes amies et presque quotidiennement elle me faisait part de son déchirement à propos de sa relation avec son mari. J’ai noté que j’étais même parvenue à la conclusion que c’était son mari qui avait besoin de changer ! Au moment où j’ai réalisé à quel point ma réflexion avait été complètement absorbée par ces problèmes, une autre pensée est arrivée : « Arrêtez, et sachez que je suis Dieu. » (Psaumes 46) Au moment même où en pensée j’ai considéré Dieu au lieu de la douleur ou des problèmes de mon amie, je suis devenue tout à fait immobile—mentalement et physiquement, et la douleur a disparu instantanément. Cela a constitué une de mes premières preuves de quelque chose que Mary Baker Eddy a écrit dans Science et Santé avec la Clef des Ecritures : « ….les pensées scientifiques sont des pensées vraies passant de Dieu à l’homme . » (p. 104) Le fait d’avoir pensé à ce passage biblique si clair et appuyé, au moment où j’en avais tant besoin, m’a convaincue de son origine en Dieu. La pensée de Dieu a fait sauter toutes mes pensées moralisatrices, chargées de jugement, que j’entretenais à propos de mes voisins. Et j’ai appris une leçon importante : Les pensées comptent vraiment! Je n’ai plus jamais eu un autre mal de tête. La pensée de Dieu guérit, et elle guérit de manière permanente. Kay Olson est practicienne de la Science Chrétienne et professeur, et elle aime beaucoup contribuer des blogs pour ce site. Elle lit et parle anglais. Si vous voulez la contacter directement, prenez la liberté de lui écrire à [email protected].
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