Malheureux comme les pierres à ton travail ?

Combien de fois est-ce que nous tombons dans le piège qui consiste à établir un lien de cause à effet en ce qui concerne nos problèmes ? Par exemple, si nous sommes malheureux au travail est-ce que nous supposons que c’est la faute du patron, de notre salaire, de l’organisation ou de notre propre décision mal avisée d’accepter le travail au départ ? En réalité, le seul résultat de tout ça, est de nous préparer à penser qu’il doit y avoir un grand changement—et qu’il va falloir beaucoup de temps—avant que nous ne puissions connaître l’harmonie au travail.

Et ça c’est des salades.

Dans la psychologie de l’Esprit, tout effet vrai est lié à une divine cause omniprésente, à Dieu. Savoir que la seule cause est Dieu, et que l’effet singulier de cette Cause est le bien, ouvre le chemin pour connaître la joie et l’équilibre qui peut enlever les fardeaux, sans qu’on ait besoin d’attendre ou de créer une grande modification.                                            Lire plus

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Que l’insatisfaction semble liée à un conflit ou à une déception, à l’ennui ou au stress, tu peux trouver la joie omniprésente qui est tienne et qui ne dépend ni de ce que tu fais ni de ce qui se passe autour de toi.

Dans l’Apocalypse, Jean a envoyé un message à une église usée et épuisée, leur disant qu’ils devaient se souvenir de leur premier amour. Il a écrit, « Tu as abandonné ton premier amour. Souviens-toi donc d’où tu es tombé, repens-toi… » (Apoc. 2 : 4,5)

Notre premier amour, même si l’on n’en a jamais pris conscience, est de servir et d’exprimer le Bien divin, Dieu. Quand tu te souviens de ton premier amour, l’endroit où tu te trouves n’a pas tant d’importance. Que tu sois assis à un bureau, en train de planter des clous sur un toit, dans un train, ou occupé à labourer un champ ; que tu restes chez toi ou que tu  déménages dans un autre pays, ou que tu changes de travail ; la sécurité et la valeur, le contentement et le progrès, tous sont liés à la concentration sur, et l’accomplissement de ton premier amour. Et la joie est un élément constitutif du salaire très élevé que tu touches en servant le Bien.  En fait la joie fait partie du pacte—un contrat—écrit entre toi et Dieu. Ressentir et exprimer la joie de ton premier amour est écrit dans ton être.

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Si tu as du mal à trouver ton premier amour—de la difficulté à voir et à servir le Bien divin là où tu te trouves—le poème par Benjamin Beddome, le Cantique 354 de l’Hymnaire de la Science Chrétienne, peut t’aider :

L’esprit de Dieu conduit
Sur des sentiers nouveaux.
A nous la tâche, mais en Lui
La force qu’il nous faut !

Sa grâce est le secours,
Nous allons de l’avant :
Il nous promet l’éternel jour,
Nous sommes triomphants.

Dieu donne le vouloir,
La force vient de Lui ;
Il nous soutient par Son pouvoir,
La gloire est Sienne aussi !

Il n’y a aucune excuse pour être malheureux au travail aujourd’hui. Ne rentre pas dans le moule du malheur. Tu es la joie de l’Amour, de Dieu. La capacité de voir, de servir, et d’exprimer le Bien divin est à toi, déjà, là où tu es .N’attends pas. Réclame ton salaire et dépense ta joie.

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