11/12/2011 2 Commentaires N’oubliez pas le plus essentiel pendant les préparations de vos repas de Fêtes Cela a commencé comme d’habitude—une belle dinde et tout ce qui va avec, la table dressée avec soin, la famille venue de loin se régalant des plats. Puis, pendant le dessert, quelqu’un a fait une réflexion désobligeante. Un autre a reçu un verre d’eau dans la figure. Et soudain une parente alliée avait mis ses mains sur la gorge d’un autre dans une tentative d’étranglement! J’ai hurlé, « Stop ! » et regardé la moitié de nos invités se glisser avec un air coupable dans l’autre pièce pour se mettre à l’abri de ma colère pour le restant de la soirée. Cette nuit j’ai perdu ma voix—j’étais choquée et furieuse –et j’ai mis une semaine avant de la retrouver. Mais grâce à ce dîner j’ai appris certaines choses qui depuis ont changé pour toujours la dynamique familiale. Lire plus _ Tout d’abord, j’ai réalisé que j’avais investi davantage de temps de préparation en essayant d’éloigner le chat du beurrier qu’en priant pour ma famille. Ce n’est pas que j’anticipais un désastre. Normalement c’est un groupe gentil et sain d’esprit qui exerce un niveau raisonnable de retenue. Mais parfois le stress des préparatifs pour les Fêtes, des changements des emplois du temps au travail et une fatigue générale, peuvent transformer une réunion de famille normale en un champ de bataille sanglant, sauf si nous nous engageons dans la prière qui protège et défend chacun des convives. Ce devrait être une joie de préparer un repas qui réunit une famille. Un ingrédient essentiel de cette préparation, cependant, est la prière qui en appelle au plus haut et au meilleur en tous les participants en tant qu’enfants de Dieu. C’est l’amour qui nous rassemble à la table. L’Amour divin est l’Esprit auquel Mary Baker Eddy fait allusion quand elle écrit, « L’Esprit nourrit et revêt chaque objet comme il convient à mesure qu’il apparaît dans l’ordre de la création spirituelle, exprimant ainsi tendrement la paternité et la maternité de dieu. L’Esprit nomme et bénit tout. » (Science etSanté avec la Clef des Ecritures, p. 507) _ L’identification de chaque participant comme l’enfant de l’Esprit divin peut aider à ôter les étiquettes imposées par le monde, du genre « dedans/dehors » du groupe familial, qui autrement pourraient accaparer la scène pendant les festivités. Dans l’ordre de la création spirituelle, nous sommes tous frères et sœurs en Christ. Les tensions mère-fille, père-fils, et au sein de la fratrie, se dissolvent à mesure que l’ordre de la création nous apparaît en prière. Mme. Eddy explique également ce qui se passe quand on néglige cette prière essentielle, « Dépourvus de natures particulièrement déterminées, les objets et les sujets seraient indistincts, et la création serait rempli de rejetons sans noms—égarés, errant loin de l’entendement, leur Père, des étrangers dans une solitude sauvage .» (ibid.) Au bout de cinq jours sans voix—une attente de guérison la plus longue que j’avais jamais connue—j’ai réalisé que je ne m’étais pas encore remise de ma colère à cause de l’incident de cette nuit-là. Je suppose que j’attendais des excuses ou un signe quelconque derepentir. Rien n’est venu. _ Mis cela ne signifiait pas que je ne pouvais pardonner. Mais pour ce faire, je devais comprendre pourquoi je n’avais aucune raison de craindre une répétition à l’avenir. Je pouvais prier tout de suite—immédiatement après ce dîner de fête—pour la réunion suivante. En prière, j’ai vu que ma maison véritable était ma conscience spirituelle de l’amour de Dieu. Le Psalmiste promet que nous vivons dans la maison de l’Eternel (voir Psaumes 23). Dans la maison de l’Amour divin, il n’y a pas d’espace pour des attitudes ou des comportements inacceptables. Ma maison est conçue par l’Amour pour accueillir et faire ressortir le meilleur en chacun des enfants de Dieu. En ayant un sens plus clair de ce qui est et n’est pas invité à ma table ou acceptable dans ma maison, je pouvais laisser partir la douleur et la colère de mon expérience du désert avec une famille qui n’avait pas été définie par la prière. Je leur ai pardonné. Je me suis pardonné. Ma voix est revenue tout d’un coup. Et je me suis mise à anticiper avec joie le repas de fête suivant. Je vous souhaite les préparations de Noël des plus joyeuses cette semaine ! ET, s’il vous plaît, pour tous ceux qui se réunissent sous votre toit, n’omettez pas la préparation la plus essentielle à un repas heureux et réussi.
2 Commentaires
Kelly
12/12/2011 02:25:31
Bonjour encore un grand merci pour ce temoingage qui nous montre comment identifier nos frère et sœur ainsi nos amis comme des enfants chéris de l'Amour Divin.Kelly grenoble
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Sylvie
12/12/2011 11:03:31
Quel bel article ! C'est si important de ne pas oublier de prier ! Merci de nous l'avoir rappelé.
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Droits d'Auteur 2011-2024. Tous les droits sont réservés. Michelle Boccanfuso Nanouche, CSB. Mentions Légales. (Pages mises à jour le 5 novembre, 2024)
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