Il est naturel de vouloir aider les autres par vos prières. Pratiquer la prière pour autrui n’est pas , et ne devrait pas non plus être effrayant. La prière qui guérit est très gratifiante. Elle est motivée par l’amour pour Dieu et pour l’homme. Il est vrai que tous les praticiens ne se font pas connaître par voie de presse ; cependant, faire publier son nom dans le Journal de la Science Chrétienne peut être une nouvelle étape, à mesure que l’engagement de pratiquer la guérison par la Science Chrétienne mûrit jusqu’à devenir une disponibilité à temps plein au bénéfice des autres. Mais que l’on ait son nom dans le Journal ou non, les conditions et les critères de la pratique sont identiques. Chacun doit faire ce qui est nécessaire afin de fournir l’aide efficace. Mary Baker Eddy, découvreur de la Science Chrétienne, a écrit à un praticien débutant, « Chaque jour traitez-vous afin que nulle suggestion malveillante ni argument ne puisse vous faire vaciller ou vous faire peur—ou vous détourner de guérir et de faire exactement ce qu’exige la situation…Trois fois chaque jour traitez-vous pour cette tentation, puis veillez que l’on n’entre pas chez vous par effraction. » [MBE à Alfred E. Baker, 2/2/1899, F00147] Je me rappelle une époque où je me sentais totalement bloquée comme guérisseuse. Vraiment coincée. Je ne pouvais constater aucun progrès dans mes cas et j’étais apeurée. J’ai pensé que je ne devais peut-être pas pratiquer. Puis j’ai fait front à cette suggestion fausse et agressive que je n’étais pas capable de guérir. Trois fois par jour je me suis traitée, moi, ma pratique et ma communauté afin de comprendre que Dieu à travers le Christ était le guérisseur, et comme reflet de Dieu, j’exprimais son éternel Christ guérisseur. Mrs Eddy a défini le Christ comme « La manifestation divine de Dieu, qui vient à la chair pour détruire l’erreur incarnée. » (Science et Santé avec la Clef des Ecritures, 583) Elle a également parlé de ce Christ comme « énonçant le bien, le message divin de Dieu aux hommes, parlant à la conscience humaine. » (ibid 332) Elle a expliqué que ce Christ est « l’image et la ressemblance divines, dissipant les illusions des sens; le Chemin, la Vérité et la Vie, guérissant les malades et chassant les maux, détruisant le péché, la maladie et la mort. » (ibid 332) J’ai affirmé régulièrement que ce Christ est à tout moment un guérisseur présent et efficace ; et que là où je suis, le Christ guérisseur est manifeste. Au fur et à mesure, j’ai commencé à ressentir l’autorité que donne le Christ à chacun pour guérir par la prière. J’ai commencé à m’envisager moi-même moins comme guérisseuse personnelle, et plus comme le témoin perpétuel et l’expression de ce Christ guérisseur à travers chaque traitement que je prodiguais. J’ai cessé d’avoir peur de ne pas pouvoir guérir. C’est alors que tout a commencé à se mettre en mouvement et vite. Parfois la guérison se produisait si rapidement que je me demandais si j’avais eu le temps de donner un traitement complet en Science Chrétienne. Mais ma prière trois fois par jour m’a toujours montré qu’il ne s’agissait pas d’une « moi » personnelle qui réalisait quelque chose d’extraordinaire en prière. Mon rôle est de témoigner du Christ exprimé en moi et dans le patient—d’être témoin du message-Christ de la sollicitude perpétuelle de Dieu envers Sa création—le divin message du bien sans fin qui rétablit l’harmonie là où semble être la discordance. Je m’efforce de maintenir la pratique régulière qui consiste à me traiter trois fois par jour « afin que nulle suggestion malveillante ni argument ne puisse [me] faire vaciller or [me] faire peur de guérir et de faire exactement ce qu’exige la situation.» Ce n’est pas toujours facile et parfois je dois mettre le réveil pour m’en souvenir. Mais je m’efforce de le faire de manière régulière, parce que voici le fin mot de l’histoire : On a besoin de bons guérisseurs. Et ceux d’entre nous dont l’amour pour Dieu et pour l’homme engendre en eux le désir d’élever nos frères et sœurs dans la prière qui guérit, ont tous les droits d’être efficaces dans notre saint œuvre. Elevons nos cœurs et nos mains à Dieu et disons… « Quand je t’ai appelé, tu t’es approché et tu m’as dit, ‘N’aie pas peur.’ Seigneur tu as plaidé pour moi…. » LAMENTATIONS 3 : 41, 57,58 Ceci a fait bouger ta pensée ? Alors partage-le, s’il te plaît !
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