« Contemplant les tâches infinies de la vérité, nous nous arrêtons un instant—nous nous attendons à Dieu. Puis nous allons de l’avant… »* De telles pauses ne sont pas des arrêts ; ce sont des moments simples de repos et de régénération, où nous puisons dans les ressources spirituelles afin de nous préparer pour la poussée suivante qui entraîne le mouvement, l’opportunité, la croissance. Les pauses spirituelles sont utiles… et puissantes. Je vous encourage à apprécier vos pauses aujourd’hui ; elles vous préparent pour les prochaines étapes de progrès. *« Contemplant les tâches infinies de la vérité, nous nous arrêtons un instant—nous nous attendons à Dieu. Puis nous allons de l’avant jusqu’à ce que la pensée détachée de toute entrave marche ravie, et que la conception libérée prenne son essor vers la gloire divine. » Science et Santé avec la Clef des Ecritures par Mary Baker Eddy, p. 323 . Sources : Concord Express—A Christian Science Study Resource, la version King James de la Bible, et Les Ecrits Publiés de Mary Baker Eddy.
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Les motards sont très visibles, cependant sur la route beaucoup d’automobilistes ont du mal à les distinguer. Il y a chez les conducteurs ce qu’on appelle souvent l’angle aveugle. Même quand les conducteurs voient un motard, ils ne savent pas toujours à quoi s’attendre de leur part ; par exemple, l’automobiliste peut penser que le motocycliste arrive à virer sur place en un quart de seconde. Parfois on traite les motards comme s’ils étaient comme n’importe quelle voiture sur la route. Cela fait des années que je fais de la moto, et j’ai vécu l’expérience où un conducteur me regardait droit dans les yeux et puis a effectué une manœuvre qui vous fait dresser les cheveux sur la tête. Plus légères d’au moins 500 kilos, et plus petites en toutes les dimensions, les motos doivent être vues et évaluées pour ce qu’elles sont en réalité. Bien que j’aie trouvé encore et encore que les conducteurs ne me voyaient pas sous un bon éclairage, j’ai découvert aussi que je pouvais rester en sécurité si j’arrivais à les voir aussi sous l’éclairage juste. Il ne s’agit pas de m’assurer de ce qui se passe autour de moi, mais de me voir, moi et les autres conducteurs sur la route dans un éclairage spirituel. Je me suis tournée vers le sens spirituel pour ce faire. Le sens spirituel implique la perception authentique de l’être, sens conféré par Dieu, notre source divine. Quand les gens ont une vue d’eux-mêmes comme matériels et vulnérables, cela déteint sur leur perception ainsi que sur leur expérience du monde. D’une perspective matérielle, la cause et l’effet semblent jaillir de la matière et d’une loi matérielle. De ce point de vue, Dieu paraît distant, peu impliqué, voire indisponible pour Sa création. Si un sens matériel de la vie s’enracine, il se peut bien que nous remarquions à peine les limites qu’une telle pensée nous impose, qu’il s’agisse de nos capacités, de nos opportunités, de notre sécurité, de notre compréhension, de notre santé, et ainsi de suite. Pour le sens matériel, tout le monde peut avoir l’air dangereux, et le désastre peut paraître inéluctable. Mais j’ai appris que nous pouvions rejeter ce sens matériel. Nous possédons tous l’autorité spirituelle pour éliminer le sentiment que les autres sont dangereux et que nous sommes vulnérables, en reconnaissant que toute cause, tout effet, sont sous le contrôle divin. La Bible enseigne comment Dieu perçoit Sa création et nous offre le sens spirituel de nous-mêmes et des autres comme le reflet ou l’expression de la loi, de l’ordre, de la maîtrise et la sécurité, créés à la propre image et la ressemblance de Dieu. (Voir Genèse, 1). Dieu déclare que Sa est création très bonne, le reflet du Bien divin. Ceci signifie que la loi de Dieu est le bien ; que le royaume de Dieu est le bien ; que Dieu commande le bien ; que c’est dans le bien de Dieu que se trouve la sécurité . Tout cela fait partie intégrante de notre identité d’enfants de Dieu et ne saurait nous être retiré. L’homme n’est pas la création d’une divinité peu impliquée. Dieu nous chérit tous ! Le livre de Deutéronome décrit ainsi la sollicitude de Dieu. « Car la portion de l’Eternel, c’est son peuple, Jacob est la part de son héritage…Il l’a entouré, il en a pris soin, Il l’a gardé comme la prunelle de son œil, pareil à l’aigle qui éveille sa couvée, Voltige sur ses petits, Déploie ses ailes, les prend, Les porte sur ses plumes. L’Eternel seul a conduit son peuple, Et il n’y avait avec lui aucun dieu étranger. » (Chapitre 32 :9 -12) Dans son Glossaire des termes des Ecritures, Science et Santé avec la Clef des Ecritures par Mary Baker Eddy, fournit le sens spirituel de « Israël » comme suit : « la race de l’Esprit ». Et « Jacob » représente « inspiration. » En tant que race de l’Esprit nous sommes entourés, gardés attentivement, portés par l’inspiration—l’authentique perception de l’être spirituel et réel—que Dieu nous donne, plutôt que par des « dieux étrangers », ce qui pour moi signifie des vues aveugles, limitées, fausses et matérielles de la création. L’homme, en tant que ressemblance de l’Esprit, n’est pas un être limité ou mortel. Il est spirituel. Le sens spirituel nous aide à voir (comprendre) les choses telles qu’elles sont vraiment, et à rester en sécurité. Dans ma pratique de la Science Chrétienne j’ai découvert que ces idées sont autant reliées à la guérison des malades qu’à la vision claire sur la route. Christ Jésus a fondé son ministère de guérison sur ce fait de la spiritualité essentielle de l’homme, ce qui avait pour résultat la protection et la guérison. Le livre de Jean, dans le Nouveau Testament, (voir chapitre 9) relate l’histoire d’un homme aveugle de naissance—c’est-à-dire, né avec tout un éventail de limites. Personne, pas même ses parents, n’envisageait aucune idée, aucun espoir qu’il pût un jour mener une vie utile. Tout le monde croyait en (pouvait ne voir que, percevoir, ou entretenir mentalement) une liste de limites et de « ça il ne peut pas faire » pour lui. Mais Christ Jésus avait une vue tout autre. Jésus percevait, par son sens spirituel, les œuvres de Dieu manifestées en lui. Vu sous cet éclairage véritable, l’homme fut guéri—marchant, sautant, et louant Dieu pour sa vie nouvellement perçue, active, utile. Ensuite ses parents ont vu la guérison, puis les yeux de toute la communauté ont été ouverts à des possibilités nouvelles. Toutes les expériences et les enseignements de Christ Jésus indiquent le fait que nous pouvons et nous devons être vus pour ce que nous sommes : spirituels, non matériels—la parfaite image de Dieu, maintenant et à jamais. Ce point de vue est à la disposition de tous parce qu’il est la réelle vérité de l’être. Il nous rend capables de laisser tomber les limitations fausses et de les remplacer par des qualités spirituelles qui libèrent chaque aspect de l’être. Dieu, étant le Père-Mère de tous, est la source de toute action, capacité, sagesse, pouvoir, protection et guérison. Dieu nous confère la compréhension pratique et la reconnaissance de notre spiritualité innée sans limite ni interruption. Nous sommes conçus dans le but de nous percevoir comme spirituels. Nous voir, nous et les autres, tels que nous sommes faits pour être vus, tient tout le monde en sécurité sur l’aile ascendante de Dieu—sur la route, et partout ! 15/7/2016 0 Commentaires « Prière pour le monde » « Clip sonore » « Maîtrise de l’Entendement »--Qu’en dites-vous ?Q : Je reviens de la Terre Sainte. Pouvez-vous suggérer une prière/traitement pour cette partie précieuse de notre monde? R : En Science Chrétienne, il y a une prière quotidienne qui, lorsque l’on prie avec fidélité et de manière réfléchie, est capable de transformer le monde. La voici : « ‘Que ton règne vienne’; que le règne de la Vérité, de la Vie, et de l’Amour divins soit établi en moi, et élimine de moi tout péché ; et puisse Ta Parole enrichir les affections de toute l’humanité et les gouverner ! » (Eddy, Manuel de l’Eglise, p 41) Afin d’être efficace, la prière doit être plus qu’une répétition en autopilote des idées de quelqu’un. Elle devrait, et elle peut, vous conduire loin dans le royaume de Dieu, profondément dans le sanctuaire de l’harmonie divine, de la Vérité, où réside le vrai pouvoir. Priez profondément pour vous-même et pour votre monde—le monde entier. Purifiez-vous de tout péché et vous verrez comment la Parole—la compréhension-Christ de Dieu et de Sa création—transforme l’univers. Votre amour et votre prière peuvent changer le monde si vous découvrez le royaume de Dieu au-dedans de vous, et au-dedans de tous. Q: Comment est-ce qu’on peut expliquer en une ou deux phrases la Science Chrétienne à quelqu’un qui pose des questions à son sujet? Je désire lui rendre justice et l’expliquer sincèrement. R : Honnêtement, à chaque fois c’est différent. Une réponse toute faite n’a pas plus de signification qu’une prière répétée sans y réfléchir. Si la question vous effraie—si vous être nerveux quand il s’agit de d’exprimer ce que la Science Chrétienne signifie pour vous, je peux vous recommander quelque chose qui m’a aidée. Au début de mon activité de conférencière, j’avais peur qu’on me pose un tas de questions diverses. Cela entravait dans une certaine mesure ma capacité de bien communiquer. Alors j’ai fait face à cette crainte et j’ai écrit sur des post-it toutes les questions qui me faisaient peur. Chaque semaine je collais une question différente sur la glace, et en me lavant les dents, je réfléchissais à ce que serait ma réponse ce jour-là, et ce chaque jour de la semaine. L’exercice était utile parce qu’il me poussait à découvrir et à traiter ce qui me faisait peur dans chaque question. Et je ne formulais jamais une réponse toute faite, parce que je me mettais au défi d’avoir une réponse différente chaque jour. Après, chaque nouvelle semaine, je collais une nouvelle question. A la fin j’ai découvert que ces craintes avaient moins à voir avec les questions elles-mêmes qu’avec la confiance que l’Entendement divin pouvait déployer en moi des réponses pleines de signification. L’Entendement qui est Dieu sait tout, et nous pouvons toujours refléter la savoir et le partage parfaits de l’Entendement. Un autre tuyau : Assistez à des conférences sur la Science Chrétienne et écoutez les façons variées dont on décrit la Science Chrétienne. Dans le webinar que vous avez entendu, j’ai décrit brièvement la Science Chrétienne. Retournez à la quatrième minute. Il y a aussi d’autres moments plus loin où je l’explique simplement de nouveau. Q : Comment est-ce que l’Entendement maîtrise les sens corporels ? Je le lis dans Science et Santé. Comment l’Esprit peut-Il traiter quelque chose de matériel ? R : Parfois certaines expressions attirent notre attention à l’exclusion du contexte qui l’entoure. Ce n’est pas mal si la phrase nous incite à retourner au texte de départ, plutôt que de l’examiner hors contexte, ce qui crée la confusion et le doute. Comme c’est souvent le cas, la réponse à votre question se trouve dans le contexte autour de la phrase. Voici le passage auquel vous faites allusion : J’ai mis en italique la réponse à votre question de « comment »--italique qui ne figure pas dans le texte originel. « Le corps semble agir par sa propre impulsion, uniquement parce que l’entendement mortel est ignorant de lui-même, de ses propres actions et de leurs conséquences—il ignore que la cause prédisposante, lointaine et déterminante de tous les mauvais effets est une loi du prétendu entendement mortel, non de la matière. L’Entendement est maître des sens corporels et peut vaincre la maladie, le péché et la mort. Exercez cette autorité que Dieu a donnée. Prenez possession de votre corps et dominez-en la sensation et l’action. Elevez-vous dans la force de l’Esprit pour résister à tout ce qui est dissemblable au bien. Dieu en a rendu l’homme capable, et rien ne saurait invalider les capacités et le pouvoir dont l’homme est divinement doué. « Demeurez ferme dans votre compréhension du fait que l’Entendement divin gouverne, et que, dans la Science, l’homme reflète le gouvernement de Dieu. Ne craignez pas que la matière puisse souffrir, enfler, et s’enflammer en vertu d’une loi quelconque, puisqu’il est évident en soi que la matière ne peut ressentir ni douleur ni inflammation. Sans l’entendement mortel, votre corps ne souffrirait pas plus d’une tension ou d’une blessure que ne souffre le tronc d’un arbre que vous entaillez ou le fil électrique que vous tendez. » Eddy, Science et Santé avec la Clef des Ecritures, 393 : 4-24 Durant le webinar intitulé « La Science Chrétienne : ce qu’elle est et comment elle guérit » je réponds à certaines questions, mais d’autres n’attirent mon attention qu’une fois l’heure écoulée. Cette série « Qu’en dites-vous ? » aborde certaines de ces questions laissées en suspens. Ces remarques ne sont pas destinées à être exhaustives, mais devraient servir à activer la pensée pour vos recherches plus approfondies. Une façon pour réfléchir plus à fond à ces questions est de vous demander « Comment pourrai-je répondre ? » A l’approche de Pâques les ondes une fois de plus sont remplies de reportages de terreur sous la forme de discours religieux ou politiques haineux, et de violence. A l’image du climat mental enflammé qui a abouti à la crucifixion de Jésus, l’attitude moralisatrice, la vanité et la duplicité semblent diriger les opérations. Mary Baker Eddy a écrit, « Le grand Nazaréen, aussi doux qu’il était puissant, réprouva l’hypocrisie qui faisait de longues prières pour attirer des bénédictions sur des méthodes matérielles, mais masquait le crime, latent dans la pensée, qui était prêt à passer aux actes et à crucifier l’oint de Dieu. (Science et Sante avec la Clef des Ecritures, 597) La réprimande a valu à Jésus une épreuve qu’il n’a pas cherché à éluder. Il aurait pu arrêter la crucifixion en invoquant Dieu pour qu’Il lui donne « douze légions d’anges » afin l’en épargner. (Voir Matthieu 26 :53) Mais il ne l’a pas fait. Il a enduré une souffrance indicible, pas simplement afin de nous montrer à quel point le « mauvais » pouvait être mauvais, ou pour nous administrer une leçon sur le péché et la souffrance ; il a agi ainsi pour démontrer la meilleure voie—l’unique voie efficace et permanente—pour avancer et sortir du coin infernal où le mal générique bloque l’humanité. Jésus connaissait les Ecritures. Il connaissait aussi bien le prophète Esaïe que nous, nous connaissons les paroles de notre chanson favorite ou les versets de nos poètes les plus révérés. Mais pour Jésus il s’agissait de bien autre chose que la fierté de la mémorisation. Il faisait confiance à fond aux Ecritures pour le guider-- et nous aussi--pas à pas, vers des solutions aux problèmes de la vie. Esaïe nous promet un refuge divin dans les heures de notre plus grand besoin. Il écrit, "Quand l'ennemi entrera tel une inondation, l'esprit de l'Eternel élèvera un étendard contre lui." (Esaïe 59:20, traduction libre) Pour comprendre précisément ce que voulait dire le prophète, il est utile de consulter l'hébreu originel d'où on tire la traduction:
Pour Jésus, la tombe était une cachette, loin de la vue et de l’ouïe de tout ce qui cherchait à s’opposer à lui. Jésus fut enterré, et aux sens matériels il était certainement mort. Mais le fait spirituel réel était que Jésus était le reflet individuel, impérissable, de la Vie divine. Jésus incarnait le Christ—la vraie compréhension de Dieu, et de l’homme comme image et ressemblance de Dieu. Christ Jésus était à jamais vivant, conscient et engagé dans une œuvre importante avant, pendant et après l’expérience humaine de la crucifixion. Dans le Glossaire de Science et Santé nous trouvons une définition du terme « Sépulture » qui expose la vérité de l’expérience de la tombe telle que vécue par Jésus : « Sépulture. Corporéité et sens physique soustraits à la vue et à l’ouïe ; annihilation. Submersion dans l’Esprit ; immortalité mise en lumière. » (582) Revenant en arrière dans Science et Santé, nous trouvons l’explication suivante : « L’enceinte solitaire de la tombe offrit à Jésus un asile contre ses ennemis, un lieu où résoudre le grand problème de l’être. Ses trois jours de travail dans le sépulcre mirent le sceau de l’éternité sur le temps. Il prouva que la Vie est immortelle et que l’Amour est maître de la haine. » (44) Que nous apprend le temps que Jésus passa dans la tombe, quand nous sommes face à des actes de terrorisme, à la persécution religieuse, à la dissension politique, et la peur générale ? Il nous apprend qu’à terme le mal s’auto-détruit. Il ne peut détruire un seul iota de ce qui est réel, vrai et permanent. La Vie est Esprit, Dieu. La Vie et le bien sont spirituels et permanents. Christ Jésus comprenait et prouvait la Vie sans fin de l’homme en ressuscitant les morts en de multiples occasions et, après la crucifixion, par sa propre résurrection de la mort. Jésus prouva que le Christ—la compréhension véridique que la Vie est Dieu, et que l’homme est le reflet impérissable de Dieu—peut détruire tout sens matériel, limité de la vie, un faux sens qui, dès le départ, n’est jamais réel ni permanent. Les trois jours de travail accomplis par Jésus « mirent le sceau de l’éternité sur le temps, » et changèrent le monde. C’est-à-dire, trois jours de travail dans la tombe. Tandis que nous, à notre époque présente, ne pouvons pas toujours éviter les explosions impressionnantes du mal, la prophétie d’Esaïe se réalise. Quand le mal se déverse sur nous, autour de nous, tel une inondation, Dieu nous donne un sanctuaire où nous aussi, nous pouvons nous retirer du champ de bataille sanglant et faire le travail du Christ—travail qui consiste à comprendre que la Vie est Dieu, et que l’homme est l’expression éternelle, vibrante, puissante de la Vie—voilà qui fait une vraie différence dans le monde. Ce sanctuaire est notre tombe. Sous la note marginale « Sanctuaire spirituel » Mary Baker Eddy a écrit, « ‘Quand tu pries, entre dans ta chambre, ferme la porte, et prie ton Père qui est dans ce lieu secret ; et ton Père, qui voit ce qui est secret, te récompensera publiquement’. Dans le jardin de Gethsémané, avant qu’il ne soit trahi, jugé et condamné à mort, Jésus demanda par deux fois à ses disciples de prier— non pour leur épargner, ni à lui ni à eux, les épreuves difficiles à venir, mais « afin que vous ne tombiez pas en tentation. » (Luc 22 :40, 41) Jésus saisissait le côté dramatique de l’expérience humaine. Il comprenait le besoin qu’avaient les praticiens fidèles du Christ de se défendre des tentations qui pourraient les distraire de faire le travail de guérison dans le monde. Par exemple, les tentations :
Alors voici une réponse pascale à la terreur. Eteignez la télévision et les autres média qui tendent à vous attirer dans le spectacle dramatique de la crainte, du mal, de la colère et de la mort. Entrez dans votre tombe (le sanctuaire de l’Esprit) et priez pour que rien ne puisse vous distraire de comprendre et de prouver que Dieu, le Bien, est la seule Vie, le seul pouvoir gouvernant tout, et est Tout. Le temps dans la tombe de Christ Jésus fut essentiel à sa résurrection. Sa résurrection est également la nôtre. Il nous montra le chemin. En cette saison de Pâques, le monde a besoin de votre travail dans la tombe. Vos prières feront la différence. 11/12/2015 0 Commentaires Lien pour la rediffusion du webinar "La Science Chrétienne. Ce que c'est et comment elle fonctionne"Avez-vous des questions ou des commentaires concernant ce webinar? Vous pouver contacter la Societé Science Chrétienne à Toulouse.
La Société de la Science Chrétienne de Toulouse a le plaisir de vous annoncer une conférence sur internet : LA SCIENCE CHRÉTIENNE: CE QUE C'EST ET COMMENT ELLE FONCTIONNE par Michelle Nanouche, praticienne et membre du Conseil des Conférences de la Science Chrétienne le mardi 8 Décembre à 21h (heure de Paris) Pour assister, participer et poser des questions...Il suffit de s'enregistrer en cliquant sur le lien ci-dessous : http://app.webinarjam.net/register/1716/87265cf6e3 LA SCIENCE CHRÉTIENNE: CE QUE C'EST ET COMMENT ELLE FONCTIONNE
(WEBINAR) En direct à 21:00 GMT+1 le 8 dec 2015 Enrégistrement: http://app.webinarjam.net/register/1716/87265cf6e3 Questions? Contactez: Société de la Science Chrétienne, 57 rue des Fontaines 31300 Toulouse Tél. 06 73 71 43 23 26/10/2015 0 Commentaires Une histoire de NoëlCe dernier Noël mon frère a relaté une histoire adorable sur Facebook, et je lui ai demandé la permission de la partager avec vous. Elle me rappelle quelques versets du cantique « Ô Bethléhem dans l’ombre » : « Si la charité veille, Si la foi veut le ciel, A nos yeux point le jour réel, De nouveau c’est Noël ! » (Hymnaire de la Science Chrétienne, # 222) Voici son histoire. Joyeux Noël et bonjour les lève-tôt ! Je vous souhaite un chaleureux et mémorable début de journée. Et j’espère que vous me pardonnerez si je reposte mon histoire de Noël favorite, postée la première fois la veille de Noël il y a deux ans. C’est un souvenir spécial pour moi, et mon vœu pour ce jour c’est qu’après l’avoir lue, vous ressentiez la même chose que moi à chaque fois que qu’elle me revient en mémoire. Jusqu’à l’âge de 39 ans, ma vie d’adulte était une grosse lutte en termes de finances. On avait toujours un toit, et on n’a jamais eu faim, mais il ne restait jamais rien pour les petits plus. Cela a changé un peu quand j’ai pris ma retraite de l’armée et déménagé en Virginie où j’ai trouvé un poste dans une centrale électrique. Mais il suffit de dire que durant ces premières années Noël n’était jamais amusant pour moi en raison du trou qu’il laissait dans mon portefeuille. Attention, j’adorais faire des cadeaux aux enfants et les regarder s’amuser avec. Mais financièrement je peinais. Durant plusieurs de ces années j’ai dû passer mes vacances annuelles à travailler afin de joindre les deux bouts le restant de l’année. On pourrait dire que cette période de ma vie manquait de joie. Mais encore une fois, cela a changé après la retraite de l’armée. Le succès m’a suivi en Virginie et donc j’ai été capable de faire vivre ma famille et leur offrir une meilleure qualité de vie. Mais je n’ai jamais oublié les temps durs. Et c’est vrai encore aujourd’hui. Après quelques années comme responsable, j’ai été promu à un poste de cadre et finalement vers la fin de ma carrière dans la centrale je suis devenu Directeur. C’était un travail dur, exigeant, et j’ai dû sacrifier un peu ma famille, mais le salaire était à la hauteur des responsabilités, et j’étais reconnaissant pour cela, puisque mon fils aîné commençait l’université et que d’autres allaient suivre. Voilà le décor planté pour le Noël aux environs de 1995, ou 1996. J’avais travaillé ce jour-là, une journée de travail écourtée. En rentrant je devais m’arrêter au supermarché. On avait presque tout ce qu’il fallait pour le lendemain, Noël, mais il manquait encore certaines petites choses. Le supermarché se trouvait dans un quartier qui n’était pas des plus agréables, mais il était sur ma route. Alors je m’y suis garé. En me rangeant j’ai observé un jeune homme d’un peu plus de 20 ans, accompagné d’une jeune femme et d’un enfant de 3 ou 4 ans. Le jeune homme portait un marteau, une lampe torche, et un niveau—tous à l’évidence usagés. J’ai observé son manège pendant quelques minutes : il abordait les clients, tentant de leur vendre ses vieux outils. Je m’étais garé assez loin pour les éviter. Le succès peut entraîner une certaine froideur je suppose. Il est dans ma nature d’éviter ces gens. Donc je suis entré dans le magasin et j’ai acheté pour $20 de marchandises pour Noël et je suis parti. En me dirigeant vers la voiture j’ai croisé ces individus qui ont essayé de me vendre leurs outils. J’étais encore méfiant et j’ai refusé, mais en les regardant, lui, la jeune femme et l’enfant, quelque chose m’a touché au cœur. L’homme a dit, « Je me fiche de ce que je dois faire, ma femme et mon fils vont déguster un vrai repas de dinde pour Noël. » Il était tellement gêné et abattu mais très déterminé. J’ai continué jusqu’à ma voiture et me suis garé à un autre endroit du parking. Ils ne m’ont pas vu faire. Je suis retourné dans le magasin, et là j’ai acheté une petite dinde, les accompagnements, peut-être même une tarte aux noix de pecan et d’autres petits à côtés. En retournant sur le parking je suis allée droit sur eux. Sans rien dire, je leur ai fait un grand sourire chaleureux. Je leur ai simplement tendu les sacs avec la dinde et le reste. La jeune femme a fondu en larmes et m’a enlacé, le jeune homme, les yeux brillants de larmes, m’a offert les outils. Je l’ai remercié, décliné l’offre, et leur ai fait tous mes vœux. J’ai souvent entendu mon fils citer le proverbe sur la différence qu’il y a entre donner un poisson à un homme, et lui apprendre plutôt à pêcher. Bien sûr, il a raison. Mais ce jour-là j’ai été fier de donner à cet homme un poisson (pour ainsi dire). Il était clair que leur situation au lendemain de Noël n’avait aucune importance ; j’avais fourni un peu de bonheur inattendu et très nécessaire pour leur Noël et ce faisant j’en avais fait autant pour moi-même. Le résultat : j’ai été sur une autre planète pendant toute la saison des fêtes cette année-là. Cela a été le meilleur Noël que j’avais jamais vécu, à cause de ce que j’avais fait. Et je suis reconnaissant, des décennies plus tard, de pouvoir y réfléchir encore et le partager avec d’autres tels que vous. Joyeux Noël à tous et à chacun ! J’espère que ces fêtes vous apportent la santé, le succès, et le bonheur ! Pat Cathers 26/10/2015 1 Commentaire Intégrité sans failleAujourd’hui je suis en train de réfléchir à l’intégrité. Dans le Psaume 26 :1, version française de Louis Second, nous lisons, « Rends-moi justice, Eternel car je marche dans l’intégrité, Je me confie en l’Eternel, je ne chancelle pas. » Ouah. Alors voici ce que j’aime au sujet de l’intégrité : Elle est incorporée—un état inné de complétude qui reflète l’unité parfaite de l’homme avec l’Esprit éternel. Jésus a dit, « Le royaume de Dieu est au-dedans de vous. » Il n’a pas dit « certains d’entre vous » ont le royaume, ou « une partie du royaume est au-dedans de vous ». Non. Le royaume fait partie intégrante de chacun en tant qu’image et ressemblance de l’Esprit. « Intégral » et « intégrité » dérivent du latin « integritas » ce qui signifie entier. Par conséquent le royaume de Dieu constitue notre totalité. L’Esprit maintient Son propre royaume en nous, produisant l’intégrité « sur la terre comme au ciel. » Voici quelques mots-clé pour considérer l’intégrité :
« Ce verset du livre de l’Ecclésiaste exprime la pensée de la Science Chrétienne, surtout lorsqu’on omet le mot devoir, qui ne se trouve pas dans l’original : ‘ Ecoutons la fin du discours : Crains Dieu et observe Ses commandements ; car c’est le devoir qui s’impose à tout homme. En d’autres termes : Ecoutons la fin du discours : Aime Dieu et observe Ses commandements ; car c’est là le tout de l’homme à Son image et à Sa ressemblance. L’Amour divin est infini. Donc tout ce qui existe réellement est en Dieu, provient de Dieu et manifeste Son amour. »MARY BAKER EDDY Science et Santé avec la Clef des Ecritures, 340 :4) L’Esprit produit et maintient l’intégrité comme une torche enflammée et inextinguible dans le monde. J’aime réfléchir à l’intégrité-- la vôtre, la mienne, celle du monde aujourd’hui. Vous joindrez-vous à moi ? Pendant des années j’ai vécu avec une crainte subtile et sous-jacente de supprimer accidentellement mon code Wi-Fi de mon ordinateur. Pourquoi ? Parce que 1) le code comprend une série ridiculement longue de chiffres, de lettres, et de symboles (afin de décourager les hackers), ce qui fait d’une éventuelle réinstallation un vrai défi, et 2) j’avais noté le code mais je n’avais aucune idée où je l’avais rangé. Bon, le numéro 2 n’est pas exactement vrai. J’avais une idée générale où il était—dans un tiroir de mon bureau—mais l’endroit précis m’échappait. Pourquoi ? Parce que le tiroir en question était un tel fouillis que le code était introuvable. Puis, un jour, j’ai vidé le tiroir, trouvé le code, organisé tout autour, et POOF ! plus de crainte. Ça a l’air si simple de vider et ranger un tiroir. Mais quelle qu’en soit la ou les raisons, par exemple d’autres priorités plus importantes, ce tiroir était resté un fouillis jusqu’à ce jour-là. Ce serait un incident plutôt banal, sans ce qui a suivi. Quand j’ai cessé d’avoir peur de perdre le code Wi-Fi, j’ai eu la sensation que quelque chose—un « quelque chose » de plus pesant que je ne réalisais—se dégageait. Ma crainte de perdre le code était ancrée dans quelque chose de plus lourd et sombre et dont je ne me rendais pas compte—la culpabilité liée avec le secret de ce fourbi privé dans mon bureau. ela fut le début d’une rénovation—une révolution en quelque sorte. Mes yeux se sont ouverts sur d’autres lieux chauds de crainte et culpabilité bien localisées dans ma maison. Pas tous en même temps, notez. Non, car potentiellement cela aurait pu me submerger . Mais un tiroir a conduit à un autre, qui a conduit à un placard, et ensuite à d’autres endroits, jusqu’à me trouver dans un espace libre de crainte, libre de culpabilité. Maintenant, qu’est-ce que cela a à voir avec la prière ? Lorsque la culpabilité et la crainte prennent de la place dans la conscience, les problèmes ont tendance à grossir ; trouver Dieu dans la prière semble difficile—comme s’il y a une résistance invisible au bien. Mais j’ai appris qu’en éliminant le fouillis, même un si petit fouillis—les obstacles mentaux dont je n’avais pas conscience n’entravaient plus le libre mouvement de ma pensée en prière. Dans la mesure où j’essuyais la culpabilité et la crainte, mes pensées devenaient plus libres et plus ordonnées. A présent quand je m’ouvre à Dieu dans la prière je n’utilise plus la tactique qui consiste en l’évitement tout en essayant d’avancer. L’inspiration et l’idée juste qui répond au besoin de l’occasion sont là dans ma prière. Dans la Bible, le Cantique des Cantiques présente une jolie petite prière qui demande à Dieu « Prenez tous les renards, les petits renards qui ravagent les vignes. » Mary Baker Eddy, découvreur de la Science Chrétienne, a débusqué quelques-uns de ces renards dans Science et Santé avec la Clef des Ecritures. Elle a écrit, « Un état mental de propre condamnation et de culpabilité ou une foi chancelante qui doute de la Vérité sont des conditions impropres à la guérison des malades. De tels états mentaux indiquent la faiblesse non la force. » 455 3-6. Elle a expliqué aussi, « Il vaudrait mieux être exposé à toutes les plaies de la terre que d’endurer les effets accumulés d’une mauvaise conscience. » 405, 22-24.
Je ne réalisais pas combien un tiroir désordonné pouvait contenir de culpabilité et de crainte. Ou à quel point le fait de nettoyer un si petit espace chez moi pouvait faire une différence si significative dans ce que je fais. A présent, si. Plus de renards dans mes vignes. Je les ai éliminés en nettoyant ce premier tiroir. Maintenant il est tellement plus facile de repérer un renard destructeur avant qu’il ne puisse creuser une tanière dans ma maison ou dans ma pensée. Je suis reconnaissante. Si si reconnaissante. |
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